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Sujet du devoir
Vous ferez le commentaire du texte de Marceline desbordes valmore en vous appuyant sur les idées directrices suivantes :
I- un dialogue qui incite le lecteur à réfléchir...
II- ...sur le sentiment amoureux heureux et malheureux
Vous demandez si l’amour rend heureuse ;
Il le promet, croyez-le, fût-ce un jour.
Ah ! pour un jour d’existence amoureuse,
Qui ne mourrait ? la vie est dans l’amour.
Quand je vivais tendre et craintive amante,
Avec ses feux je peignais ses douleurs :
Sur son portrait j’ai versé tant de pleurs,
Que cette image en paraît moins charmante.
Si le sourire, éclair inattendu,
Brille parfois au milieu de mes larmes,
C’était l’amour ; c’était lui, mais sans armes ;
C’était le ciel… qu’avec lui j’ai perdu.
Sans lui, le coeur est un foyer sans flamme ;
Il brûle tout, ce doux empoisonneur.
J’ai dit bien vrai comme il déchire une âme :
Demandez-donc s’il donne le bonheur !
Vous le saurez : oui, quoi qu’il en puisse être,
De gré, de force, amour sera le maître ;
Et, dans sa fièvre alors lente à guérir,
vous souffrirez, ou vous ferez souffrir.
Dès qu’on l’a vu, son absence est affreuse ;
Dès qu’il revient, on tremble nuit et jour ;
Souvent enfin la mort est dans l’amour ;
Et cependant… oui, l’amour rend heureuse !
Où j'en suis dans mon devoir
Pour le 1 c'est à peu près bon mais je n'arrive pas trouver les arguments correspondant au 2.
Merci de bien vouloir m'aider
4 commentaires pour ce devoir
L'amour rend heureux, puisqu'on le recherche
Mais rend malheureux à cause du doute , de la crainte de le perdre.
Evite ce que tu viens de faire, tu pourrais avoir des ennuis.
Bonne suite.
Ils ont besoin d'aide !
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Vous demandez si l’amour rend heureuse ; déjà un doute.
Il le promet, croyez-le, fût-ce un jour.
Ah ! pour un jour d’existence amoureuse,: très peu
Qui ne mourrait ? la vie est dans l’amour.
Quand je vivais tendre et craintive amante,
Avec ses feux je peignais ses douleurs :
Sur son portrait j’ai versé tant de pleurs,
Que cette image en paraît moins charmante.
Si le sourire, éclair inattendu,
Brille parfois au milieu de mes larmes,
C’était l’amour ; c’était lui, mais sans armes ; au passé
C’était le ciel… qu’avec lui j’ai perdu.
Sans lui, le coeur est un foyer sans flamme ;
Il brûle tout, ce doux empoisonneur.
J’ai dit bien vrai comme il déchire une âme :
Demandez-donc s’il donne le bonheur !
Vous le saurez : oui, quoi qu’il en puisse être,
De gré, de force, amour sera le maître ;
Et, dans sa fièvre alors lente à guérir,
vous souffrirez, ou vous ferez souffrir.
Dès qu’on l’a vu, son absence est affreuse ;
Dès qu’il revient, on tremble nuit et jour ;
Souvent enfin la mort est dans l’amour ;
Et cependant… oui, l’amour rend heureuse !
Merci mais j'aurais besoin de deux arguments distincts pour faire deux paragraphes