Commentaire littéraire cned seconde

Publié le 24 janv. 2017 il y a 7A par Anonyme - Fin › 27 janv. 2017 dans 7A
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Sujet du devoir

Bonjour, j'ai besoin d'aide pour le commentaire de ce passage d'Electre de Giraudoux.

LE MENDIANT

Alors voici la fi n. La femme Narsès et les mendiants délièrent Oreste. Il se précipita à travers la cour. Il ne toucha même pas, il n’embrassa même pas Électre. Il a eu tort. Il ne la touchera jamais plus. Et il atteignit les assassins comme ils parlementaient avec l’émeute, de la niche en marbre. Et comme Égisthe penché disait aux meneurs que tout allait bien, et que tout désormais irait bien, il entendit crier dans son dos une bête qu’on saignait. Et ce n’était pas une bête qui criait, c’était Clytemnestre. Mais on la saignait. Son fils la saignait. Il avait frappé au hasard sur le couple, en fermant les yeux. Mais tout est sensible et mortel dans une mère, même indigne. Et elle n’appelait ni Électre, ni Oreste, mais sa dernière fille Chrysothémis, si bien qu’Oreste avait l’impression que c’était une autre mère, une mère innocente qu’il tuait. Et elle se cramponnait au bras droit d’Égisthe. Elle avait raison, c’était sa seule chance désormais dans la vie de se tenir un peu debout. Mais elle empêchait Égisthe de dégainer. Il la secouait pour reprendre son bras, rien à faire. Et elle était trop lourde aussi pour servir de bouclier. Et il y avait encore cet oiseau qui le gifl ait de ses ailes et l’attaquait du bec. Alors il lutta. Du seul bras gauche sans armes, une reine morte au bras droit avec colliers et pendentifs, désespéré de mourir en criminel quand tout de lui était devenu pur et sacré, de combattre pour un crime qui n’était plus le sien et, dans tant de loyauté et d’innocence, de se trouver l’infâme en face de ce parricide, il lutta de sa main que l’épée découpait peu à peu, mais le lacet de sa cuirasse se prit dans une agrafe de Clytemnestre, et elle s’ouvrit. Alors il ne résista plus, il secouait seulement son bras droit, et l’on sentait que s’il voulait maintenant se débarrasser de la reine, ce n’était plus pour combattre seul, mais pour mourir seul, pour être couché dans la mort loin de Clytemnestre. Et il n’y est pas parvenu. Et il y a pour l’éternité un couple Clytemnestre-Égisthe. Mais il est mort en criant un nom que je ne dirai pas.

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai fait l'intro et le plan.

En 1937, Jean Giraudoux sort une pièce de théâtre intitulée Electre, une réécriture moderne du mythe antique Electre. Dans ce passage, nous allons découvrons un personnage narrant la vengeance d'Oreste. Nous verrons dans un premier temps le sort réservé à la mère puis ce qui advient d'Egisthe.

Merci pour votre aide !!




4 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 24 janv. 2017
Anonyme
Anonyme
Posté le 24 janv. 2017

ça ne convient pas au plan que j'ai fait.

Anonyme
Posté le 24 janv. 2017

 

En 1937, Jean Giraudoux sort (ce n'est pas le verbe qui convient le mieux) une pièce de théâtre intitulée Electre, une réécriture moderne du mythe antique d' Electre. Dans ce passage, nous allons découvrir un personnage narrant la vengeance d'Oreste. Nous verrons dans un premier temps le sort réservé à la mère puis ce qu'il advient d'Egisthe.


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