Commentaire Littéraire De Français

Publié le 5 mars 2011 il y a 13A par Anonyme - Fin › 14 mars 2011 dans 13A
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Sujet du devoir

Bonjour,
Pour la rentrée j'ai un commentaire sur Les Misérables de Victor HUGO à rédiger & j'ai quelques difficultés pour cela. Pourriez vous m'aider.

Où j'en suis dans mon devoir

Mes Deux Grandes Parties Sont Déjà définies:
I- Le Caractère Pénible et oppressant de la marche de Jean Valjean
A- Le Caractère Pénible
B- Impression De Mort
II- Episode porteur d'espoir.

Mes sous Parties coincident elles avec le I?



3 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 5 mars 2011
Merci de préciser le passage concerné par le travail de commentaire.
Anonyme
Posté le 5 mars 2011
La transition était inouïe. Au milieu même de la ville, Jean Valjean était sorti de la ville; et, en un clin d'oeil, le temps de lever un couvercle et de le refermer, il avait passé du plein jour à l'obscurité complète, de midi à minuit, du fracas au silence, du tourbillon des tonnerres à la stagnation de la tombe, et, par une péripétie bien plus prodigieuse encore que celle de la rue Polonceau, du plus extrême péril à la sécurité la plus absolue.
Chute brusque dans une cave; disparition dans l'oubliette de Paris; quitter cette rue où la mort était partout pour cette espèce de sépulcre où il y avait la vie; ce fut un instant étrange.
Quand il eut tourné l'angle de la galerie, la lointaine lueur du soupirail disparut, le rideau d'obscurité retomba sur lui et il redevint aveugle. Il n'en avança pas moins, et aussi rapidement qu'il put. Les deux bras de Marius étaient passés autour de son cou et les pieds pendaient derrière lui. Il tenait les deux bras d'une main et tâtait le mur de l'autre. La joue de Marius touchait la sienne et s'y collait, étant sanglante. Il sentait couler sur lui et pénétrer sous ses vêtements un ruisseau tiède qui venait de Marius. Cependant une chaleur humide à son oreille que touchait la bouche du blessé indiquait de la respiration, et par conséquent de la vie. Le couloir où Jean Valjean cheminait maintenant était moins étroit que le premier. Jean Valjean y marchait assez péniblement. Les pluies de la veille n'étaient pas encore écoulées et faisaient un petit torrent au centre du radier, et il était forcé de se serrer contre le mur pour ne pas avoir les pieds dans l'eau. Il allait ainsi ténébreusement. Il ressemblait aux êtres de nuit tâtonnant dans l'invisible et souterrainement perdus dans les veines de l'ombre.
Anonyme
Posté le 5 mars 2011
J'ai Oublié de Vous dire Merci

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