Est ce que cela est une metaphore

Publié le 9 mai 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 11 mai 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

Des centaines de milliers de travailleurs indigènes saignaient les arbres des cent mille hectares de terres rouges

Où j'en suis dans mon devoir




4 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 9 mai 2010
bjr,

pas certain car le verbe saigner veut aussi dire faire une saignée dans les arbres , donc il faudrait voir le contexte
Anonyme
Posté le 9 mai 2010
voici le texte je dois relever des figures de styles et des connotations et je n'en trouve pas :



atmosphere plus precise :

Relever les adjectifs qui accompagnait les noms .
* Champs lexicaux : du sacré / des sens / de l'ordre

les sentiments du narrateur / emotions[/b]
* champ lexical des couleurs
* figures de style
la position face a une situation
*les connotations.

Où j'en suis :

Les sentiments du narrateur/ emotion

adejectif qui accompagnait les noms :
mesure surhumaine ; espace orgiaque


* champs lexicaux des couleurs :
=> vertes, blancs, blancheur, rouge

* figures de style :

Comparaison : ces rues étaient aussi bien entretenues que les allées d'un immense jardin zoologique

Comparaison : Seuls les garçons de café étaient encore indigènes, mais déguisés en blancs, ils avaient été mis dans des smokings, de même qu'auprès d'eux les palmiers des terrasses étaient en pots

Accumulation :la luisance des autos, des vitrines, du macadam arrosé, l'éclatante blancheur des costumes, la fraîcheur ruisselantes des parterres faisait du haut quartier un bordel magique


Ch.LExical des sens : un demi - silence ; voir
Ch.lexical du sacré : paix ; sanctuaire , spectacle sacré , recueilli
Champ Lexical de L'ordre ???



JE ne trouve pas sinnon vous pouvais chercher avec moi


voici le texte :

Dans le haut quartier n'habitaient que des blancs qui avaient fait fortune. Pour marquer la mesure surhumaine de la démarche blanche, les rues et les trottoirs du haut quartier étaient immenses. Un espace orgiaque*, inutile était offert aux pas négligents des puissants au repos. Et les avenues glissaient leurs autos caoutchoutées, suspendues, dans un demi - silence impressionnant.

Tout cela était asphalté*, large, bordé de trottoirs plantés d'arbres rares et séparés en deux par des gazons et des parterres de fleurs le long desquels stationnaient les files rutilantes des taxis-torpédos. Arrosées plusieurs fois par jour, vertes, fleuries, ces rues étaient aussi bien entretenues que les allées d'un immense jardin zoologique où les espèces rares veillaient sur elles-mêmes. Le centre du haut quartier était leur vrai sanctuaire. C'était au centre seulement qu'à l'ombre des tamariniers* s'étalaient les immenses terrasses de leurs cafés. Là ,le soir, ils se retrouvaient entre eux. Seuls les garçons de café étaient encore indigènes, mais déguisés en blancs, ils avaient été mis dans des smokings, de même qu'auprès d'eux les palmiers des terrasses étaient en pots. Jusque tard dans la nuit, installés dans des fauteuils de rotin derrière les palmiers et les garçons en pot, on pouvait voir les blancs suçant pernods, whisky-soda ou martelperrier, se faire, en harmonie avec le reste un foie bien colonial.la luisance des autos, des vitrines, du macadam arrosé, l'éclatante blancheur des costumes, la fraîcheur ruisselantes des parterres faisait du haut quartier un bordel magique où la race blanche pouvait se donner, dans une paix sans mélange, le spectacle sacré de sa propre présence. Les magasins de cette rue, modes, parfumeries, tabacs américains, ne vendaient rien d'utilitaire. L'argent même, ici, ne devait servir à rien. Il ne fallait pas que la richesse des blancs leur pèse. Tout y était noblesse.
C'était la grande époque. Des centaines de milliers de travailleurs indigènes saignaient les arbres des cent mille hectares de terres rouges, se saignaient à ouvrir les arbres des cent mille hectares de terres qui par hasard s'appelaient déjà rouges avant d'être la possession des quelques centaines de planteurs blancs aux fortunes colossales. Le latex coulait. Le sang aussi. Mais le latex seul était précieux, recueilli, et recueilli, payait. Le sang se perdait. On évitait encore d'imaginer qu'il s'en trouverait un grand nombre pour venir un jour en demander le prix
Anonyme
Posté le 9 mai 2010
Je ne suis pas sûre, mais je pense que c'un plutôt une personnification. En effet, je ne pense pas que les arbres "saignent".
J'espère t'avoir aidée ! ;)
Anonyme
Posté le 9 mai 2010
je pense que dans ce contexte peut être oui car en fait il y a un transfert entre latex, et sang, les deux coulent, et en plus -terres rouges-
L'image est très forte,
mais bon il y a des pros sur ce site comme cyberpro peut être pourrait il t'aider.

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