Faire une suite de la nouvelle Aux Champs à partir de cet extrait

Publié le 18 sept. 2018 il y a 5A par Anonyme - Fin › 21 sept. 2018 dans 5A
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Sujet du devoir

Bonjour ! J'ai besoin d'aide s'il vous plaît :)
A partir ce cet extrait Aux Champs Guy De Maupassant, créez une suite réelle et non une suite identique à la nouvelle.
Extrait :

"Et, sautant de la voiture, elle courut aux enfants, prit un des deux derniers celui des Tuvache, et, l'enlevant dans ses bras, elle le baisa passionnément sur ses joues sales, sur ses cheveux blonds frisés et pommadés de terre, sur ses menottes qu'il s'agitait pour se débarrasser des caresses ennuyeuses.
Puis elle remonta dans sa voiture et partit au grand trot."

Votre suite doit être un peut longue 40 lignes ou 35.

Merci d'avance pour votre aide !




5 commentaires pour ce devoir


niogret2m
niogret2m
Posté le 18 sept. 2018

Puis elle remonta dans sa voiture et partit au grand trot.

Elle ordonna au cocher de la conduire chez le curé de la paroisse, ils pourraient arriver avant les vêpres. Elle demanderait au curé de l'accompagner dans cette famille de paysans pour soutenir sa demande : devenir la marraine du petit dernier. Au curé de convaincre et s'il y parvenait, elle s'engageait à payer la réparation du clocher que les maigres quêtes n'arrivaient pas à financer.

Anonyme
Posté le 18 sept. 2018

Bonjour ! ^^ merci de ton aide mais je voulais seulement savoir si tu pouvais en faire une de 40 lignes ? sa m'aiderais beaucoup ! 

Anonyme
Posté le 18 sept. 2018

Merci d'aider et d'accompagner, mais de ne pas faire le devoir dans son intégralité.

 

Tu as oublié de lire le règlement.

Anonyme
Anonyme
Posté le 19 sept. 2018

Tu peux aussi développer sur ses états d'âme en disant par exemple qu'elle se mourait de ne pas avoir d'enfant et qu'elle était prête à tout pour en avoir un, quitte à l'arracher à cette famille de paysans miséreux.

Montre son avidité, sa convoitise et que son désir de faire le bonheur d'un enfant tel quel le présente aux yeux du monde est en fait un mensonge basé sur son propre égoïsme qui consistait à satisfaire son propre désir.

Les paysans, quant à eux n'ont pas le choix. Ils sont déchirés à l'idée de laisser partir leur enfant, mais  le soulagement d'une bouche à mourir en moins les pousse à accepter un marché sordide qui sera conclu par une petite somme d'argent et une paire de chaussures usagées de son mari !

willffy
willffy
Posté le 19 sept. 2018

 

le soulagement d'une bouche à nourrir en moins les pousse à accepter un marché sordide

 

Lol!

 


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