Incipit d'une nouvelle

Publié le 20 mars 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 22 mars 2010 dans 14A
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Sujet du devoir

Bonjour,j'ai un sujet de français a réaliser :

A La maniere de Maupassant,vous rédigerez un incipit de nouvelle en vous inspirant du tableau impressioniste que vous aurez selectionné.Vous redigerez un texte a la fois narratif mais surtout descriptif ou vous rendrez compte de la composition, des couleurs, des mouvements et autres détails contenus dans le tableau.

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai choisi comme tableau un tableau de monet intitulé la plage a sainte adresse voici le lien pour le voir http://ambatill.blog.lemonde.fr/files/2007/07/plage-ste-adresse-claude-monet.1184150236.jpg

Je viens juste pour avoir quelques idée j'ai déjà commencé ce devoir ,j'ai écris une page mais il faut une double page
Pour l'hitoire j'ai choisi que par exemple quelqU'un pouvait se noyer comme le couple assis sur la plage mais comme il faut pas trop développe je n'ai pas raconté la noyade.
Ensuite,pour la description,pouvez vous m'aider pour les couleurs
y a t il un contraste???

Merci d'avance



3 commentaires pour ce devoir


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Anonyme
Posté le 20 mars 2010
Si tu sais ce qu'un incipit est, tu as déjà beaucoup. Il s'agit donc de planter le décor et présenter le(s) personnage(s) principal (aux).
Pour Saint Adresse, il faut savoir que cela se trouve en Normandie, près du Havre et qu'il n'y a pas de sable mais des galets sur la plage.
Sur le tableau choisi, une grande place est faite au ciel nuageux mais ils ne sont pas menaçants. Il y a du vent puisque les voiles des bateaux sont déployées et gonflées.
Les bateaux à voile ressemblent à des bisquines mais sont un peu plus petits.
On peut dire que les trois hommes sont des pêcheurs qui reviennent avec une pauvre pêche (les deux paniers au sol semblent vides)
On voit principalement deux bâtiments: le clocher de l'église dans le fond et une maison blanche sur le début de la falaise.
Avec tout cela, tu peux imaginer 1000 histoires.
Plusieurs pêcheurs sont parties en mer au petit jour et à 10h, heure (donnée par les cloches de l'église)du retour sur la plage, un homme est manquant. L'inquiétude monte.....Il discutent pour savoir s'il doivent aller prévenir le maire (qui habite la grande maison) ou repartir en mer et essayer de retrouver l'ami absent.

Pour les contrastes, je ne suis pas une experte en art alors...
Si on regarde le tableau, on remarque plutôt des couleurs froides (bleu, gris). Seules les rames du bteau bleu se distinguent. On peut noter que la mer semble calme et transparente alors que le ciel est couvert et nuageux.

J'espère t'avoir donné un peu d'aide.
Bon courage pour la suite

Anonyme
Posté le 20 mars 2010
MERCI Bcp pouvez vous me dire qsi c'est bien ?? SI JE DOIS CONTINUER a developper ou pas et si je dois mettre un titre merci d'avance



A la fin de l'hiver,lorsque le temps commençait peu à peu à s'améliorer et que le vent procurait une légère brise sur le visage,il nous venait des désirs indéfinis,des envies d'aventures afin de pouvoir s'évader. C'est à cette période qu'un jeune couple décida de venir à Sainte-Adresse. Ce village de pêcheurs était situé au bord des falaises sur le littoral de la Manche près du Havre. Jules,était très ravi de montrer à sa futur épouse le charme qu'émanait de ce petit bourg afin de la persuader de se marier dans cette ville d'où il était originaire. En effet,le choix du lieu de mariage semblait être difficile. Elle,voulait se marier à Bourgival situé à 17 km à l'ouest de Paris en bordure de la Seine car ils s'étaient rencontrés là-bas il y a 2 ans,grâce à des connaissances communes. Lui,n'était pas du tout d'accord. Seul,à ses yeux Saint-Adresse pouvait être le lieu de leur union. Il en avait rêve dans sa jeunesse. Après avoir effectués de nombreuses visites dans et aux alentours du village,Jules réserva le meilleure pour la fin. Il amena sa bien-aimée,nommée Lise,à la Plage. Ce fut pour lui une émotion intense car il se souvenait que c'était de cet endroit là que son père,pêcheur était parti il y a 2 ans et n'était pas revenu depuis,il se rappela aussi les heures passées à attendre le coucher du soleil. La mélancolie le saisissait .Il s'assirent tout au bord de l'eau et contemplèrent le petit groupe de voiliers. Ils ressemblaient à des bisquines mais sont plus petits .La mer si calme,si bleue s'avançait sur le plage dans un léger murmure en formant une courbe harmonieuse au pied du bourg,dégageant une bande de sable plus étroite coupée de brise-lames. Le jeune homme en costume noir ,chapeauté déposa son bras sur l'épaule de sa fiancée vêtue d'une robe de couleurs crème. Émerveillée,elle lui annonça:
«O,qu'ils sont beaux!! Lequel préfères-tu? »Il lui montra le voilier le plus proche aux trois voiles triangulaires charbonnées qui se dirigeait vers le droite laissant ainsi sur le mer les traces de son passage. Plus à droite se trouvaient deux autres voiliers comportant cette fois-ci une unique voile avec des tâches brunes. Ces trois embarcations se laissaient aller au gré d'un vent léger et se reflétaient dans le mer calme formant des ombres verdâtres.
Au premier regard,on pouvait voir qu'a la droite du couple se trouvaient trois autres bateaux à moitié au sec qui attendaient peut-être le prochain départ en mer. Les mâts en tout cas étaient pliés.
La première embarcation était azur, se confondait avec la mer mais la couleur chaude du bois le rendait particulièrement attirant. Il avait l'air neuf et les rames se distinguaient. Les deux autres étaient noirci avec une bande de couleur clair qui s'effaçait. On pouvait apercevoir que deux monde s'opposaient. Les voiliers et le couple profitaient d'un moment de détente tandis qu'a gauche sur la plage de galets il y avait le monde du travail. Effectivement,trois pêcheurs discutaient de leur matinée de pêche qui n'avait pas due être très fructueuse car les paniers déchargés à côté des deux bateaux déjà tirés sur la grève étaient vides. L'un fumait le pipe,main droite dans la poche disait
«Que doit on faire?? »L'autre s'appuyait sur le rebord d'un des deux bateaux dont le mât n'était pas replié et qui formait donc une ligne droite verticale avait le visage désespéré .Le troisième finissait de ranger le matériel:les cordages,les filets et les paniers. Tous trois étaient coiffés de la casquette bleue marine traditionnelle. Vers le haut,une peu plus à gauche,un filet pendait sur un support en bois formant une diagonale afin qu'il puisse sécher. Tout au fond,le petit bourg descendait doucement de gauche à droite le long d'une pointe de terre qui s'étirait dans la ligne d'horizon parsemée de lointaines embarcations. Sur le haut du promontoire ,recouvert de buissons inclinés vers la plage appartenant a cette point,se dessinait une grande demeure telle une tour de garde,elle dominait la baie et créait une sensation singulière. La façade blanchâtre contrastée avec de nombreuses fenêtres et avec le toit d'ardoise. Ensuite;au centre du village le clocher pointu se dressait et surplombait les toits d'ardoise. Les maisons étaient toutes concentrées autour de lui et le pointe se poursuivait par des falaises. De nombreux nuages blancs laissaient apparaître quelques tâches bleutées dans le ciel et étaient en accord parfaits avec la couleur de la mer et celle de la grève.La mer semblait calme et transparente alors que le ciel était couvert et nuageux.
Anonyme
Posté le 21 mars 2010
J'ai corrigé les fautes d'orthographe.
J'ai fait des remarques entre parenthèses.
Je trouve ton texte plutôt bon mais (désolée) il n'es pas bien organisé.
Tu devrais faire toute la description du paysage puis celle des personnages ou le contraire mais ne pas entrecouper la description sinon on ne comprend plus.
La troisième possibilité est d'être un narrateur interne et décrire le paysage au travers des yeux de Lise ou de Jules. Tu l'introduit alors par quelque chose comme Tout à coup, son regard fut attiré par le groupe de pêcheur.... puis, dans ce moment de détente, elle/il s'attarda sur le village....

Voilà. J'espère t'avoir un peu aidé(e). Félicitations pour ton travail, pour l'orthographe et pour l'imagination!
J'ai envie de lire la suite alors c'est bon signe!


A la fin de l'hiver,lorsque le temps commençait peu à peu à s'améliorer et que le vent procurait une légère brise sur le visage,il nous venait des désirs indéfinis,des envies d'aventures afin de pouvoir s'évader. C'est à cette période qu'un jeune couple décida de venir à Sainte-Adresse. Ce village de pêcheurs EST situé au bord des falaises sur le littoral de la Manche près du Havre. Jules était très ravi(extrèmement content) de montrer à sa futur épouse le charme qu'émanait de ce petit bourg afin de la persuader de se marier dans cette ville DONT il était originaire. En effet,le choix du lieu POUR LEUR mariage semblait être difficile. Elle voulait se marier à Bourgival situé à 17 km à l'ouest de Paris en bordure de la Seine car ils s'étaient rencontrés là-bas 2 ans AUPARAVANT,grâce à des connaissances communes. Lui n'était pas du tout d'accord. Seule,à ses yeux, Saint-Adresse pouvait être le lieu de leur union. Il en avait rêvé dans sa jeunesse. Après avoir effectué de nombreuses visites dans le village et aux alentours,Jules réserva le meilleure pour la fin. Il EMMENA sa bien-aimée,nommée Lise,à la Plage. Ce fut pour lui une émotion intense car il se souvenait que c'était de cet endroit-là que son père,pêcheur, était parti depuis 2 ans et n'était pas revenu. Il se rappela aussi les heures passées à attendre le coucher du soleil. La mélancolie le saisit .IlS s'assirent tout au bord de l'eau et contemplèrent le petit groupe de voiliers. Ils ressemblaient à des bisquines mais étaient plus petits .La mer si calme,si bleue s'avançait sur le plage dans un léger murmure en formant une courbe harmonieuse au pied du bourg,dégageant une bande de sable plus étroite ENTREcoupée de brise-lames. Le jeune homme en costume noir ,chapeauté déposa son bras sur l'épaule de sa fiancée vêtue d'une robe de couleur crème. Émerveillée,elle lui annonça:
-«Oh! Qu'ils sont beaux!! Lequel préfères-tu? »
Il lui montra le voilier le plus proche aux trois voiles triangulaires charbonnées qui se dirigeait vers le droite laissant ainsi sur lA mer les traces de son passage. Plus à droite se trouvaient deux autres voiliers comportant cette fois-ci une voile unique avec des tâches brunes. Ces trois embarcations se laissaient aller au gré d'un vent léger et se reflétaient dans lA mer calme formant des ombres verdâtres.
Au premier regard,on pouvait voir qu'à la droite du couple se trouvaient trois autres bateaux à moitié au sec qui attendaient peut-être le prochain départ en mer. Les mâts en tout cas étaient pliés.
La première embarcation était azur, se confondait avec la mer mais la couleur chaude du bois le rendait particulièrement attirant. Il avait l'air neuf et les rames se distinguaient. Les deux autres étaient noirS avec une bande de couleur clair qui s'effaçait. On pouvait apercevoir que deux monde s'opposaient. Les voiliers et le couple profitaient d'un moment de détente tandis qu'à gauche sur la plage de galets il y avait le monde du travail. Effectivement,trois pêcheurs discutaient de leur matinée de pêche qui n'avait pas dû être très fructueuse car, à côté des deux bateaux déjà tirés sur la grève, les paniers déchargés étaient vides. L'un DES HOMMES fumait le pipe,main droite dans la poche et disait
-«Que doit on faire?? »
L'autre PECHEUR APPUYE sur le rebord d'un des deux bateaux dont le mât n'était pas ENCORE replié ((et qui formait donc une ligne droite verticale) je ne comprends pas ce passage.Tu peux t'en passer) avait le visage désespéré .Le troisième finissait de ranger le matériel:les cordages,les filets et les paniers. Tous trois étaient coiffés de la casquette bleue marine traditionnelle. Vers le haut(de quoi???),un peu plus à gauche,un filet pendait sur un support en bois formant une diagonale afin qu'il puisse sécher. AU LOIN,le petit bourg descendait doucement de gauche à droite (de la colline jusqu'à la mer) le long d'une pointe de terre qui s'étirait dans la ligne d'horizon parsemée de lointaines embarcations. Sur le haut du promontoire ,recouvert de buissons inclinés vers la plage appartenant à cette pointe,se dessinait une grande demeure telle une tour de garde,elle dominait la baie et créait une sensation singulière. La façade blanchâtre contrastAIT avec de nombreuses fenêtres et avec le toit EN ardoise. Au centre du village le clocher pointu se dressait et surplombait les toits. Les maisons étaient toutes concentrées autour de l'EGLISE et (la pointe se poursuivait par des falaises)(je ne comprends pas trop ce passage là non plus). De nombreux nuages blancs laissaient apparaître quelques tâches bleutées dans le ciel et étaient en accord parfaits avec la couleur de la mer et celle de la grève.La mer semblait calme et transparente alors que le ciel était couvert et nuageux.

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