JUSTE CORRIGER MOI

Publié le 2 mai 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 4 mai 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

Voila je dois faire un commentaire litteraire ( mais seulement l'introduction et le 1er axe ) voici ce que j'ai commencé :

Dans l'extrait du recueil " Un Barrage .." écrit par M. duras et paru en 1950, le narrateur décrit la vie quotidienne des blancs et des indigénes en Indochine, comme le révèle le passage suivant .Il faut savoir que M.duras est issue d'une famille coloniale , et qu'elle a elle meme vecu en Asie et pu observer la débauche et l'éxcés de consommation des blancs , qui contraste avec la pauvreté des autochotes. Toutefois, à l'issue de cette lecture, on peut se demander quelles sont les intentions de l'auteur ? En effet, il s'agit d'un prétexte pour dénoncer les abus et les maltraitances mis en place par les colons, l'auteur expliquant que c'est grace à l'exploitation des indigenes que les blancs peuvent vivre dans le luxe. Ainsi, il sera possible d'étudier d'abord..., ensuite... pour finir sur... (annonce de Mon plan mais comment faire car je dois seulement étudier le 1er axe) .

Tout d'abord, il est à observer que le theme de l'argent organise tout l'extrait puisque l'auteur oppose les coloniaux au indigenes : les coloniaux sont riches ( L.1) tandis que les indigenes sont pauvres au point de devoir se saigner ( L 28- 29 ).
Il faut ensuite observer que Marguerite Duras assortit le théme de l'argent d'une condamnation morale . Pour elle , tant d'argent possédé par les blancs est inutile et immoral .
En effet , le champ lexical du superflu apparaît au début du texte ( "fortune, orgiaque..."). Le luxe, l'opulence caractérise ce monde des blancs, depuis leurs smokings en passant par les voitures et leur manière de vivre en général.




Merci de me corriger et de m'ajouter des choses qui manque je vous en Supli .

Où j'en suis dans mon devoir



Voila le texte :

Dans le haut quartier n'habitaient que des blancs qui avaient fait fortune. Pour marquer la mesure surhumaine de la démarche blanche, les rues et les trottoirs du haut quartier étaient immenses. Un espace orgiaque*, inutile était offert aux pas négligents des puissants au repos. Et les avenues glissaient leurs autos caoutchoutées, suspendues, dans un demi - silence impressionnant.

Tout cela était asphalté*, large, bordé de trottoirs plantés d'arbres rares et séparés en deux par des gazons et des parterres de fleurs le long desquels stationnaient les files rutilantes des taxis-torpédos. Arrosées plusieurs fois par jour, vertes, fleuries, ces rues étaient aussi bien entretenues que les allées d'un immense jardin zoologique où les espèces rares veillaient sur elles-mêmes. Le centre du haut quartier était leur vrai sanctuaire. C'était au centre seulement qu'à l'ombre des tamariniers* s'étalaient les immenses terrasses de leurs cafés. Là ,le soir, ils se retrouvaient entre eux. Seuls les garçons de café étaient encore indigènes, mais déguisés en blancs, ils avaient été mis dans des smokings, de même qu'auprès d'eux les palmiers des terrasses étaient en pots. Jusque tard dans la nuit, installés dans des fauteuils de rotin derrière les palmiers et les garçons en pot, on pouvait voir les blancs suçant pernods, whisky-soda ou martelperrier, se faire, en harmonie avec le reste un foie bien colonial.la luisance des autos, des vitrines, du macadam arrosé, l'éclatante blancheur des costumes, la fraîcheur ruisselantes des parterres faisait du haut quartier un bordel magique où la race blanche pouvait se donner, dans une paix sans mélange, le spectacle sacré de sa propre présence. Les magasins de cette rue, modes, parfumeries, tabacs américains, ne vendaient rien d'utilitaire. L'argent même, ici, ne devait servir à rien. Il ne fallait pas que la richesse des blancs leur pèse. Tout y était noblesse.
C'était la grande époque. Des centaines de milliers de travailleurs indigènes saignaient les arbres des cent mille hectares de terres rouges, se saignaient à ouvrir les arbres des cent mille hectares de terres qui par hasard s'appelaient déjà rouges avant d'être la possession des quelques centaines de planteurs blancs aux fortunes colossales. Le latex coulait. Le sang aussi. Mais le latex seul était précieux, recueilli, et recueilli, payait. Le sang se perdait. On évitait encore d'imaginer qu'il s'en trouverait un grand nombre pour venir un jour en demander le prix.



7 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 2 mai 2010
Mais sa c'est le texte donné
Anonyme
Posté le 2 mai 2010
slt!

pour ton intro je te conseil d'annoncer que ton I-. oublier pas de souligner le titre des œuvres que tu site.
sur ton premier paragraphe: essai de plus développer ta première partie (ton intro est plus longue que ta première partie!!!!)
Il faut aussi plus utiliser les procédés stylistiques du texte ( comparaison, métaphore, champ lexicaux, répétition, ...) Il faut que tu apportes des "preuves" a ce que tu dis:
par exemple au début tu dis "Les coloniaux sont riches ( L.1) " il faut que tu relèves des mots des bouts de phrase qui vont renforcer ton idée : des blancs qui avaient fait fortune; étaient immenses; autos caoutchoutées. Chaque argument que tu annonce doit avoir une "preuve" .

c'est pas pour me vanter, mais j'ai regarder mon dernier bac blanc et pour te donner un ordre d'idée mes parties font en moyenne une 20ène de lignes. et mon intro fait que 10 lignes.
Anonyme
Posté le 2 mai 2010
Pourrai tu m'aider STp
Anonyme
Posté le 2 mai 2010
désolé mais si les phrases sont bien recopiées elles sont bizarres! après je ne comprends rien de ta demande
Anonyme
Posté le 2 mai 2010
Enfet je dois ecrire un commentaire littéraire ( L'introduction et seulement le 1er axe ); ce que j'ai fait est tout la haut et le texte ( l'extrait) qu'on nous a donner c'est :



Dans le haut quartier n'habitaient que des blancs qui avaient fait fortune. Pour marquer la mesure surhumaine de la démarche blanche, les rues et les trottoirs du haut quartier étaient immenses. Un espace orgiaque*, inutile était offert aux pas négligents des puissants au repos. Et les avenues glissaient leurs autos caoutchoutées, suspendues, dans un demi - silence impressionnant.

Tout cela était asphalté*, large, bordé de trottoirs plantés d'arbres rares et séparés en deux par des gazons et des parterres de fleurs le long desquels stationnaient les files rutilantes des taxis-torpédos. Arrosées plusieurs fois par jour, vertes, fleuries, ces rues étaient aussi bien entretenues que les allées d'un immense jardin zoologique où les espèces rares veillaient sur elles-mêmes. Le centre du haut quartier était leur vrai sanctuaire. C'était au centre seulement qu'à l'ombre des tamariniers* s'étalaient les immenses terrasses de leurs cafés. Là ,le soir, ils se retrouvaient entre eux. Seuls les garçons de café étaient encore indigènes, mais déguisés en blancs, ils avaient été mis dans des smokings, de même qu'auprès d'eux les palmiers des terrasses étaient en pots. Jusque tard dans la nuit, installés dans des fauteuils de rotin derrière les palmiers et les garçons en pot, on pouvait voir les blancs suçant pernods, whisky-soda ou martelperrier, se faire, en harmonie avec le reste un foie bien colonial.la luisance des autos, des vitrines, du macadam arrosé, l'éclatante blancheur des costumes, la fraîcheur ruisselantes des parterres faisait du haut quartier un bordel magique où la race blanche pouvait se donner, dans une paix sans mélange, le spectacle sacré de sa propre présence. Les magasins de cette rue, modes, parfumeries, tabacs américains, ne vendaient rien d'utilitaire. L'argent même, ici, ne devait servir à rien. Il ne fallait pas que la richesse des blancs leur pèse. Tout y était noblesse.
C'était la grande époque. Des centaines de milliers de travailleurs indigènes saignaient les arbres des cent mille hectares de terres rouges, se saignaient à ouvrir les arbres des cent mille hectares de terres qui par hasard s'appelaient déjà rouges avant d'être la possession des quelques centaines de planteurs blancs aux fortunes colossales. Le latex coulait. Le sang aussi. Mais le latex seul était précieux, recueilli, et recueilli, payait. Le sang se perdait. On évitait encore d'imaginer qu'il s'en trouverait un grand nombre pour venir un jour en demander le prix.
Anonyme
Posté le 2 mai 2010
voila ce que j'ai fait :
Dans l'extrait du recueil " Un Barrage .." écrit par M. duras et paru en 1950, le narrateur décrit la vie quotidienne des blancs et des indigénes en Indochine, comme le révèle le passage suivant .Il faut savoir que M.duras est issue d'une famille coloniale , et qu'elle a elle meme vecu en Asie et pu observer la débauche et l'éxcés de consommation des blancs , qui contraste avec la pauvreté des autochotes. Toutefois, à l'issue de cette lecture, on peut se demander quelles sont les intentions de l'auteur ?
En effet, il s'agit d'un prétexte pour dénoncer les abus et les maltraitances mis en place par les colons, l'auteur expliquant que c'est grace à l'exploitation des indigenes que les blancs peuvent vivre dans le luxe.
Ainsi, il sera possible d'étudier comment M.Duras décrit la vie quotidienne des blancs et des indigénes en Indochine.

Nous allons voir dans cette première partie que le theme de l'argent organise tout l'extrait, puisque l'auteur oppose les colons au indigénes : les colons sont riches " Vivent dans les hauts quartiers; Grandes rues ; Voitures (taxis-torpédos) ; "Rien d'utilitaire ; Seul l'argent compte " Immenses terrasses ; « Ils se retrouvaient entre eux », on retrouve l'éternelle barrière entre les colons et les colonisés. Ils ne les fréquentent pas" .

tandis que les indigenes sont pauvres au point de devoir se saigner " Des centaines de milliers de travailleurs indigènes [...]se saignaient " . En effet , Ils sont transformés par les blancs, phénomène typique de la colonisation. Les colons veulent qu'ils adoptent leur culture en quelque sorte « Seuls les garçons de café étaient encore indigènes, mais déguisés en blancs, ils avaient été mis dans des smokings, de même qu'auprès d'eux les palmiers des terrasses étaient en pots. Jusque tard dans la nuit, installés dans des fauteuils de rotin derrière les palmiers et les garçons en pot ».
Il faut egalement observer que Marguerite Duras assortit le théme de l'argent d'une condamnation morale . Pour elle , tant d'argent possédé par les blancs est inutile et immoral " les magasins de cette rue , modes , parfumeries ,tabacs américains , ne vendaient rien d'utilitaire " , en d'autre termes , les blancs vendent des choses qui ne servent pas à la survi .Mais encore , L'auteur , nous explique que les hommes ne comptait pas ." Le latex coulait . Le sang aussi . Mais le latex seul était précieux " .
Enfin, le champ lexical du superflu apparaît au début du texte ( "fortune, orgiaque...").
Le luxe, l'opulence caractérise ce monde des blancs, depuis leurs smokings en passant par les voitures et leur manière de vivre en général.
Il faut ensuite observer que Marguerite Duras M.Duras veut montré l'injustice des blancs.
Anonyme
Posté le 2 mai 2010
Oui oui , Mais dite moi si des choses ne vont pas pour un commentaire litteraire et comment términer ( CAD la fin , enfin ... )

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