Le Port Verahren

Sujet du devoir

J'ai les 33 vers a exploiter pour pouvoir faire un commentaire ( plan detailler et commentaire de texte ) sachan que j'en n'ai fait que un jusqu'a la, et que j'ai vraiment du mal a trouver des idées sur ce poeme :$

Voila les vers : Toute la mer va vers la ville

Son port est surmonté d'un million de croix
Vergues transversales barrant de grand mât droit

Son port est pluvieux de suie a travers brumes
Ou le soleil comme un œil rouge colossal larmoie

Son port est ameuté de steamers noirs qui fument
Et mugissent, au fond du soir, sans qu'on les voie

Son port est fourmillant et musculeux de bras
Perdus en un fouillis dedalien d'amarres

Son port est tourmenté de chocs et de fracas
Et des marteaux tonnant dans l'air leurs tintamarre

Toute la mer va vers la ville

Les flots qui voyagent comme les vents
Les flots légers, les flots vivants

Pour que la ville en feu l'absorbe et le respire
Lui rapporte le monde en leurs navires
Les Orients et les Midi tanguent vers elle
Et les Nords blanc et la folie universelle
Et tout nombres dont le désir prévoit la somme.
Et tout ce qui s'invente et tout ce que les hommes
Tirent de leur cerveaux puissants et volcaniques.
Tend vers elle, cingle vers elle, et vers ses luttes :
Elle est le brasier d'or des humains disputes
Elle est le réservoir des richesses uniques
Et les marins naïfs peignent son caducée
Sur leur peau rousse et crevassée,
A l'heure ou l'ombre emplit des soirs océanique.

Toute la mer va vers la ville

O les Babels enfin réalisées !
Et cent peuples fondus dans la cité commune
Et les langues se dissolvant en une
Et la ville, comme une main, les doigts ouverts
Se refermant sur l'univers.

Où j'en suis dans mon devoir

Ma problématique est la suivant : Comment Verahren suggère-t-il que la ville est puissante et attractive ?

Iere partie : Par un éloge de la ville qui est au centre de tout
IIeme partie : Par une ville qui prend une dimension épique et fantastique