Les comtemplations Victor Hugo

Publié le 11 févr. 2017 il y a 7A par Anonyme - Fin › 14 févr. 2017 dans 7A
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Sujet du devoir

Bonjour mes amis aider moi svp C très urgent !!
Poème " Trois ans après "
1-Pourquoi le poète Victor Hugo est-il révolte ?
2-Comment s'adresse-t-il à Dieu?
3-Qu'est-ce qui montre sa révolte?4- Hugo exprime la tragédie de la condition humaine. Expliquez sa vision en relavant des éléments du poème qui montrent comme quoi la condition humaine ( C'est-à-dire ce qui fait l'homme) est tragique , qu'elle est liée à la fatalité.
Poème " Oh! Je fus comme fou dans le permier moment"
5-vers4et5 : comment expliquez cette interpellation aux " pères" et aux "mères"?
6-vers 8: que recouvre le mot "chose" ? Pourquoi employer un mot aussi banal?
7- vers 13 : la relation ente le père et la fille semble exclusive; il n'est pas question de la douleur éprouvée par les autres membres de la famille. Comment cela est-il posé, exprimé dans le poème? Pourquoi?




2 commentaires pour ce devoir


willffy
willffy
Posté le 11 févr. 2017

Q1:

L'humble enfant que Dieu m'a ravie
Rien qu'en m'aimant savait m'aider ;
C'était le bonheur de ma vie
De voir ses yeux me regarder.

 

De qui parle-t-il?

 

Comment s'adresse-t-il à Dieu?

L'humble enfant que Dieu m'a ravie

Si ce Dieu n'a pas voulu clore
L'oeuvre qu'il me fit commencer,
S'il veut que je travaille encore,
Il n'avait qu'à me la laisser !

Il n'avait qu'à me laisser vivre
Avec ma fille à mes côtés,
Dans cette extase où je m'enivre
De mystérieuses clartés !


Ô Dieu jaloux, tu nous les vends !
Pourquoi m'as-tu pris la lumière
Que j'avais parmi les vivants ?

As-tu donc pensé, fatal maître,
Qu'à force de te contempler,
Je ne voyais plus ce doux être,
Et qu'il pouvait bien s'en aller ?

T'es-tu dit que l'homme, vaine ombre,
Hélas! perd son humanité
A trop voir cette splendeur sombre
Qu'on appelle la vérité ?

 

As-tu pensé qu'une âme tendre
S'ouvre à toi pour se mieux fermer,
Et que ceux qui veulent comprendre
Finissent par ne plus aimer ?

Ô Dieu ! vraiment, as-tu pu croire
Que je préférais, sous les cieux,
L'effrayant rayon de ta gloire
Aux douces lueurs de ses yeux ?

Si j'avais su tes lois moroses,
Et qu'au même esprit enchanté
Tu ne donnes point ces deux choses,
Le bonheur et la vérité,

Plutôt que de lever tes voiles,
Et de chercher, coeur triste et pur,
A te voir au fond des étoiles,
Ô Dieu sombre d'un monde obscur,

 

Mais songez à ce que vous faites !
Hélas! cet ange au front si beau,
Quand vous m'appelez à vos fêtes,
Peut-être a froid dans son tombeau.

 

 

 

 

Anonyme
Posté le 12 févr. 2017

C pas sa


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