Quelqu'un pourrai t-il me corriger Et M'aider eventuellement .

Publié le 1 mai 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 3 mai 2010 dans 13A
5

Sujet du devoir

Voila je dois faire un commentaire litteraire mais seulement l'introduction et le 1er axe est ce que , ce que je vais vous montrer est bon et SVP corriger moi et modifier les mots mal dit ... :


Dans l'extrait du recueil " Un Barrage .." écrit par M. duras et paru en 1950, le narrateur décrit la vie quotidienne des blancs et des indigénes en Indochine, comme le révèle le passage suivant .Il faut savoir que M.duras est issue d'une famille coloniale , et qu'elle a elle meme vecu en Asie et pu observer la débauche et l'éxcés de consommation des blancs , qui contraste avec la pauvreté des autochotes. Toutefois, à l'issue de la lecture, il est intéressant d'étudier quelles sont les véritables intentions de l'auteur qui sont dévoilées dans ce texte ? En effet, il s'agit d'un prétexte pour dénoncer les abus et les maltraitances mis en place par les colons, l'auteur expliquant que c'est grace à l'exploitation des indigenes que les blancs peuvent vivre dans le luxe. Ainsi, il sera possible d'étudier d'abord..., ensuite... pour finir sur... (annonce de Mon plan mais comment faire car je dois seulement étudier le 1er axe) .

Ce texte est fondé sur le theme de l'argent , par lequel l'auteur oppose les coloniaux au indigenes . Les coloniaux sont riches ( L.1) tandis que les indigenes sont pauvres , ils sont obliger de se saigner ( L 28- 29 ). D'ailleurs, les blancs vont tous faire pour que les indigénes leur ressemble.-
Il faut également observer que Marguerite Duras assortit le théme de l'argent d'une condamnation morale . Pour elle , tant de l'argent possédé par les blancs est inutile et immoral .
En effet , le champ lexical du superflu apparaît au début du texte ( je ne trouve pas exactement) mais egalement " Jusque tard [...]une fois bien colonial "( L 14 -17 ) .
De plus , L'époque de l'action se remarque grâce aux smoking , aux voiture , à la manière de vivre

Où j'en suis dans mon devoir

Voici l'extrait :


Dans le haut quartier n’habitaient que des blancs qui avaient fait fortune. Pour marquer la mesure surhumaine de la démarche blanche, les rues et les trottoirs du haut quartier étaient immenses. Un espace orgiaque*, inutile était offert aux pas négligents des puissants au repos. Et les avenues glissaient leurs autos caoutchoutées, suspendues, dans un demi - silence impressionnant.

Tout cela était asphalté*, large, bordé de trottoirs plantés d’arbres rares et séparés en deux par des gazons et des parterres de fleurs le long desquels stationnaient les files rutilantes des taxis-torpédos. Arrosées plusieurs fois par jour, vertes, fleuries, ces rues étaient aussi bien entretenues que les allées d’un immense jardin zoologique où les espèces rares veillaient sur elles-mêmes. Le centre du haut quartier était leur vrai sanctuaire. C’était au centre seulement qu’à l’ombre des tamariniers* s’étalaient les immenses terrasses de leurs cafés. Là ,le soir, ils se retrouvaient entre eux. Seuls les garçons de café étaient encore indigènes, mais déguisés en blancs, ils avaient été mis dans des smokings, de même qu’auprès d’eux les palmiers des terrasses étaient en pots. Jusque tard dans la nuit, installés dans des fauteuils de rotin derrière les palmiers et les garçons en pot, on pouvait voir les blancs suçant pernods, whisky-soda ou martelperrier* , se faire, en harmonie avec le reste un foie bien colonial.

La luisance des autos, des vitrines, du macadam arrosé, l’éclatante blancheur des costumes, la fraîcheur ruisselantes des parterres faisait du haut quartier un bordel magique où la race blanche pouvait se donner, dans une paix sans mélange, le spectacle sacré de sa propre présence. Les magasins de cette rue, modes, parfumeries, tabacs américains, ne vendaient rien d’utilitaire. L’argent même, ici, ne devait servir à rien. Il ne fallait pas que la richesse des blancs leur pèse. Tout y était noblesse.
C’était la grande époque. Des centaines de milliers de travailleurs indigènes saignaient les arbres des cent mille hectares de terres rouges, se saignaient à ouvrir les arbres des cent mille hectares de terres qui par hasard s’appelaient déjà rouges avant d’être la possession des quelques centaines de planteurs blancs aux fortunes colossales. Le latex coulait. Le sang aussi. Mais le latex* seul était précieux, recueilli, et recueilli, payait. Le sang se perdait. On évitait encore d’imaginer qu’il s’en trouverait un grand nombre pour venir un jour en demander le prix.



5 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 1 mai 2010
Je dit : Ainsi , il sera possible d'étudier ?? .
Anonyme
Posté le 1 mai 2010
Je vous en pri Cyberpro , vous etes une personne honnette meme si je ne vous connais pas . Mais vous etes ma derniere chance SVp aider moi j'ai passer toute l'aprés - midi à chercher et à pleurer ...
Anonyme
Posté le 1 mai 2010
Comment pourrai je continuer ?
Anonyme
Posté le 1 mai 2010
j'ai rédiger ceci mais comment l'introduire .

( Mais Svp , si c'est faux ne me faite pas mettre des choses fauses ):

Tout d’abord l’auteur fait naître de sa description une sorte de description réaliste où il cherche à rendre compte de ce haut quartier sans y faire intervenir sa propre vision de la ville. Mais on voit bien qu’au fur et à mesure de sa description l’auteur engage son propre jugement afin de faire naître chez nous un jugement critique. De plus on le voit bien dans l’utilisation du vocabulaire, à la fois disant la grandeur et la beauté de ce haut quartier des Blancs contraste avec le fond du texte à savoir la critique de la politique coloniale : surhumaine ; immense (trottoirs);impressionnant ; large ; immenses (terrasses) ; sanctuair ; rare .
Anonyme
Posté le 1 mai 2010
Mais egalement est ce que vous pensé que l'imparfait à sa place dans ce commentaire . eT comment dois je procédé pour l'introduire . ( en tout cas je ne suis pas sur )

Ils ont besoin d'aide !

Il faut être inscrit pour aider

Crée un compte gratuit pour aider

Je m'inscrisOU

J'ai déjà un compte

Je me connecte