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Sujet du devoir
Réécriture de la fin de la 1er partie de L’Étranger d'Albert Camus à la façon de Zola.
Consigne:
-écrire a la 3eme personne.
-Omniscient
-Les personnages ont une histoire, un passé (nommez et caractériser)
-description du cadre
-meurtre évoqué en détail
-1 mobile
-psychologie (un peu comme Jack (dans l’Assommoir) dans Zola avec la fêlure héréditaire)
-imitation stylistique de Zola
La professeure de français veut que ça fasse 90 lignes. Et je suis assez loin de ses exigences. Mais j'aimerais surtout que vous puissiez me donner quelques en plus idées en plus et savoir si je ne suis pas hors sujet.
Où j'en suis dans mon devoir
Meursault pensait qu'il n'avait qu'un demi-tour à faire et ce serait fini. Mais chaque pas qu'il fessait était tel un pas vers l’Enfer. Ces pas sont rapides et saccadés comme s'il voulait échapper à quelque chose. Le soleil brûlant, tapait comme des milliers de clous enfoncé dans sa chaire. Une intense douleur le submergeait. La plage est étonnamment bruyante, qu'elle pourrait recouvrir n'importe qu'elle son.
Alors qu'il continuait sa promenade infernale, il s’arrêta instantanément et aperçu un panneau publicitaire d'un film, dont le titre est « Haut les main ! » on voyait un homme vêtu d'une veste en cuire surmonté d'un chapeau assortie à la veste. Cette homme portait un revolver à la main, avec un sourire au lèvre, il avait l'aire heureux. C'est comme s'il portait un trophée au lieu du revolver. A cette vue de cette affiche, Meursault serra fort le revolver entre sa main. Puis en jetant un dernier coup d’œil, il s’aperçut que le réalisateur de ce film était le même que celui dont il était allé voir avec Marie. Il se remémora ces moments passé avec Marie, auxquels il avait passé de beaux moments et d'autre dont il ne se souvenait pas, sa lui était assez égale. Il ne se souvenait que des instants de bonheur avec Marie.
Après cette longue pose, le soleil le brûlait toujours autant et ça commençait même à lui brûler la tête. La douleur était atroce. Des goutte de sueur s'amassait autour de son visage. Il continuait alors mon chemin, Il marchait en ayant aucune idée d’où il allait. Puis soudain, il vit l'Arabe affalé sur le sable.
1 commentaire pour ce devoir
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je suis désolée mais je ne peux pas t'aider je n'ai pas lu le livre...