URGENT POUR DEMAIN JE VIENS JUSTE DE SAVOIR QUE C NOTER SVP JAI 6 D EMOYENNE EN FRANCAIS :'(

Publié le 11 janv. 2011 il y a 13A par Anonyme - Fin › 14 janv. 2011 dans 13A
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Sujet du devoir

Texte:

Comme le Patron avait emmené Du Roy pour déjeuner, un matin, Mme Walter, après le repas, fut appelée pour répondre à un fournisseur. Et Georges dit à Suzanne : " Allons donner du pain aux poissons rouges. "

Ils prirent chacun sur la table un gros morceau de mie et s'en allèrent dans la serre.

Tout le long de la vasque de marbre on laissait par terre des coussins afin qu'on pût se mettre à genoux autour du bassin, pour être plus près des bêtes nageantes. Les jeunes gens en prirent chacun un, côte à côte, et, penchés vers l'eau, commencèrent à jeter dedans des boulettes qu'ils roulaient entre leurs doigts. Les poissons, dès qu'ils les aperçurent, s'en vinrent, en remuant la queue, battant des nageoires, roulant leurs gros yeux saillants, tournant sur eux-mêmes, plongeant pour attraper la proie ronde qui s'enfonçait, et remontant aussitôt pour en demander une autre.

Ils avaient des mouvements drôles de la bouche, des élans brusques et rapides, une allure étrange de petits monstres ; et sur le sable d'or du fond ils se détachaient en rouge ardent, passant comme des flammes dans l'onde transparente, ou montrant, aussitôt qu'ils s'arrêtaient, le filet bleu qui bordait leurs écailles.

Georges et Suzanne voyaient leurs propres figures renversées dans l'eau, et ils souriaient à leurs images.

Tout à coup, il dit à voix basse :

" Ce n'est pas bien de me faire des cachotteries, Suzanne. "

Elle demanda :

" Quoi donc, Bel-Ami ?

-- Vous ne vous rappelez pas ce que vous m'avez promis, ici même, le soir de la fête ?

-- Mais non !

-- De me consulter toutes les fois qu'on demanderait votre main.

-- Eh bien ?

-- Eh bien, on l'a demandée.

-- Qui ça ?

-- Vous le savez bien.

-- Non. Je vous jure.

-- Si, vous le savez ! Ce grand fat de marquis de Cazolles.

-- Il n'est pas fat, d'abord.

-- C'est possible ! mais il est stupide ; ruiné par le jeu et usé par la noce. C'est vraiment un joli parti pour vous, si jolie, si fraîche, et si intelligente. "

Elle demanda en souriant :

" Qu'est-ce que vous avez contre lui ?

-- Moi ? Rien.

-- Mais si. Il n'est pas tout ce que vous dites.

-- Allons donc. C'est un sot et un intrigant. "

Elle se tourna un peu, cessant de regarder dans l'eau :

" Voyons, qu'est-ce que vous avez ? "

Il prononça, comme si on lui eût arraché un secret du fond du coeur.

" J'ai... j'ai... j'ai que je suis jaloux de lui. "

Elle s'étonna modérément :

" Vous ?

-- Oui, moi !

-- Tiens. Pourquoi ça ?

-- Parce que je suis amoureux de vous, et vous le savez bien, méchante ! "

Alors elle dit d'un ton sévère :

" Vous êtes fou, Bel-Ami ! "

Il reprit :

" Je le sais bien que je suis fou. Est-ce que je devrais vous avouer cela, moi, un homme marié, à vous, une jeune fille ? Je suis plus que fou, je suis coupable, presque misérable. Je n'ai pas d'espoir possible, et je perds la raison à cette pensée. Et quand j'entends dire que vous allez vous marier, j'ai des accès de fureur à tuer quelqu'un. Il faut me pardonner ça, Suzanne ! "

Il se tut. Les poissons à qui on ne jetait plus de pain demeuraient immobiles, rangés presque en lignes, pareils à des soldats anglais, et regardant les figures penchées de ces deux personnes qui ne s'occupaient plus d'eux.

La jeune fille murmura, moitié tristement, moitié gaiement :

" C'est dommage que vous soyez marié. Que voulez-vous ? On n'y peut rien. C'est fini ! "

Il se retourna brusquement vers elle, et il lui dit, tout près, dans la figure :

" Si j'étais libre, moi, m'épouseriez-vous ? "

Elle répondit, avec un accent sincère :

" Oui, Bel-Ami, je vous épouserais, car vous me plaisez beaucoup plus que tous les autres. "

Il se leva, et balbutiant :

" Merci..., merci..., je vous en supplie, ne dites " oui " à personne ? Attendez encore un peu. Je vous en supplie ! Me le promettez-vous ? "

Elle murmura, un peu troublée et sans comprendre ce qu'il voulait :

" Je vous le promets. "

Du Roy jeta dans l'eau le gros morceau de pain qu'il tenait encore aux mains, et il s'enfuit, comme s'il eût perdu la tête, sans dire adieu.

Tous les poissons se jetèrent avidement sur ce paquet de mie qui flottait n'ayant point été pétri par les doigts, et ils le dépecèrent de leurs bouches voraces. Ils l'entraînaient à l'autre bout du bassin, s'agitaient au-dessous, formant maintenant une grappe mouvante, une espèce de fleur animée et tournoyante, une fleur vivante, tombée à l'eau la tête en bas.

Suzanne, surprise, inquiète, se redressa, et s'en revint tout doucement. Le journaliste était parti.











DEVOIR A FAIRE:A partir de l'idée suivante:"Le cadre du bassin à poissons pour la déclaration amoureuse de Duroy à Suzanne permet à Maupassant de nous faire comprendre ce qu'est,selon lui,l'amour.

Objectif:
-Le paragraphe doit débuter par l'annonce de l'idée et se terminer par un bilan
-la citation doit etre courte
-elle doit permetttre de justifier précisement l'idée proposée grace a une analyse
-elle doit s'integrere grammaticalemtn dans vos propres phrases(les mots modifiés doivent etre placés entre crochets).
exemple de travail:
Expression utilise pr inserer une citation:nous le voyons quand/c'est ce que montre le passage ou....../ainsi .../citons par exemple ce.. 19h17
Exemple idée:Clotilde de marelle est l'antithese de madame walter,citations:"elle le repoussait avec calme" 19h18
,"j'irai vous faire une petite visite chez vous"/"elle se debattait ,luttait begayai","non,non je ne veut pas"! 19h19
Le travail fait est: 19h21
Pourquoi clotilde semblet-elle etre l'anthitese de madame walter? mauppassant fait de clotilte une femme entreprenante qui sait prendre des initiative amoureyuses comme quand elle utilise l'euphémisme 19h22
"d'aller faure une petite visite chez lui" 19h22
pour dire a duroy quelle laime. 19h22
a l'inverse,madame walter s'exprimer par des négations et des exclamations répétées comme si elle avait peur de son propre désir en "balbutiant":-non non je neveut pas" 19h23
Lre narrateur montre egalement que clotilte maitrise parfaitemeny le jeu de la seduction,en fixant son rythme"avec calme" 19h24
au contraire,mme walter ne maitrise ni les gestes ,ni son language ce qui se traduit par des accumuklations de verbes commme dans ce passage "ou elle se debattait,luttait,begayait". 19h25
clotilde parait donc comme une femme experte en amour ,elle est complice avec duroy,tandis que mme walter estnovica en amour et parait la victime du seducteur. 19h26
voila 19h26
le texte fait en classe





Où j'en suis dans mon devoir

jai fais sa moi :
Daans son livre bel ami, Guy de Maupassant nous fait partager sa vision de l'amour a travers la déclaration amoureuse de Durrroy a ssuzanne" 20h01
"je suis plus que fou, je suis coupable, presque misérable" 20h01
onc maupassant considère l'amour comme une folie les éloigne donc de la réalité, les rend aveugles et sourd, les emprisonne de ses lien et peut meme leur faire perdre tous leurs moyens 20h02
D* 20h02
il est assez réservé (met du temps pour faire comprendre à Suzanne qu'il l'aime , balbutie (j'ai... j'ai...j'ai que je suis jaloux de lui) et tourne plusieurs foisautour du pot) 20h02

et puis de l'autre coté suzanne qui semble ne pas vouloir admettre la réalité (vous etes fou bel ami) et cache mme ses sentiments puiqu'à la fin elle avoue (je vous épouserai car vous me plaisez beaucoup plus que tous les autres)uroy parait donc comme un homme plus ou moin expert et uzanne comme une femme qui refoule un peu ses sentiment 20h04
Voila ceque jai mis



1 commentaire pour ce devoir


Anonyme
Posté le 12 janv. 2011
j'aime bien ce que tu as fait. mais sa c'est le début de l'analyse non?? il te faut faire l'introduction!

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