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Sujet du devoir
Bonsoir, voilà le sujet:Le monde ouvrier dans la 1re moitié du XIXe siècle.
Où j'en suis dans mon devoir
Je suis en train de rédiger une réponse organisée mais j'ai l'impression de faire un hors-sujet. Dois-je parler de la diffusion de l'industrialisation, du libéralisme, capitalisme, de la progression de l'urbanisation, des campagnes immobiles, des changements sociaux ? Ou seulement du fait d'être ouvrier, de la prise de conscience, des conditions de travail et des solutions?Merci de m'aider!
8 commentaires pour ce devoir
Merci beaucoup. Mais en fait on me demande de faire une réponse organisée sur le monde ouvrier durant la première moitié du 19ème siècle en utilisant le chapitre 2. Mais le chapitre 2 relate touuuuute la révolution industrielle et je ne sais pas si je dois tout raconter, ou seulement quelques éléments, grossièrement, et si oui lesquels ...
non pas tout il faut trier
non pas tout il faut trier
Pendant l’âge industriel, tous les ouvriers n’effectuent pas le même travail, ni dans les mêmes conditions.
Entre le milieu du XIXème siècle et le milieu du XXème siècle, les conditions de vie et de travail des ouvriers se sont améliorées. Au début de l’âge industriel, l’ouvrier dispose d’un salaire très bas qui l’oblige à faire travailler quasiment tous les membres de sa famille. De plus, la journée de travail est souvent très longue (elle varie entre 12 et 10 heures de travail quotidien dans la deuxième moitié du XIXème siècle). es conditions de vie et de travail des ouvriers se sont améliorées. Au début de l’âge industriel, l’ouvrier dispose d’un salaire très bas qui l’oblige à faire travailler quasiment tous les membres de sa famille : le document 3 fait référence aux salaires perçus par l’épouse et les enfants. De plus, la journée de travail est souvent très longue (elle varie entre 12 et 10 heures de travail quotidien dans la deuxième moitié du XIXème siècle). Le travail est souvent physique, dans des ateliers où il fait chaud, et il est aussi parfois abrutissant. Mais à la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle, la durée hebdomadaire du travail diminue, le travail des enfants est interdit et les premiers droits sociaux protégeant les ouvriers voient le jour : ils peuvent manifester légalement leur mécontentement en faisant grève, ils disposent des premières assurances sociales contre le chômage, la vieillesse et les accidents du travail.
Un certain nombre de facteurs d’explication permettent de comprendre l'amélioration des conditions de vie. Elle s’explique d’abord par une élévation du revenu ouvrier. L’âge industriel est à l’origine de gains de productivité ce qui a permis à l’entreprise de produire plus, de vendre plus donc d’augmenter son chiffre d’affaire qu’elle a en partie redistribué à ses salariés sous la forme d’augmentations de salaires ou de primes. Par conséquent, les familles ouvrières ont bénéficié d’un revenu supérieur, ce qui leur a permis de consacrer une part moins importante de leur revenu dans les dépenses vitales. De plus, les progrès de l’hygiène ont permis aux populations ouvrières de vivre mieux et plus longtemps : les premiers vaccins et les médicaments sont découverts et les maladies dont on mourrait encore jusque là peuvent désormais être soignées. Les syndicats ont aussi joué un grand rôle. Ils ont souvent contribué par les grèves ou les négociations avec le patronat à obtenir des avancées sociales non négligeables : la réduction du temps de travail, les congés payés… L’organisation de la classe ouvrière en groupe de pression est une des conditions de son mieux-être à l’âge industriel. Enfin, l’Etat, en adoptant des lois sociales, a fait progresser la condition ouvrière : il s’agit de corriger les excès du libéralisme. Ce constat très général d’une amélioration des conditions de vie de la classe ouvrière ne doit cependant pas cacher un certain nombre d’inégalités qui perdurent.
Entre le milieu du XIXème siècle et le milieu du XXème siècle, les conditions de vie et de travail des ouvriers se sont améliorées. Au début de l’âge industriel, l’ouvrier dispose d’un salaire très bas qui l’oblige à faire travailler quasiment tous les membres de sa famille. De plus, la journée de travail est souvent très longue (elle varie entre 12 et 10 heures de travail quotidien dans la deuxième moitié du XIXème siècle). es conditions de vie et de travail des ouvriers se sont améliorées. Au début de l’âge industriel, l’ouvrier dispose d’un salaire très bas qui l’oblige à faire travailler quasiment tous les membres de sa famille : le document 3 fait référence aux salaires perçus par l’épouse et les enfants. De plus, la journée de travail est souvent très longue (elle varie entre 12 et 10 heures de travail quotidien dans la deuxième moitié du XIXème siècle). Le travail est souvent physique, dans des ateliers où il fait chaud, et il est aussi parfois abrutissant. Mais à la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle, la durée hebdomadaire du travail diminue, le travail des enfants est interdit et les premiers droits sociaux protégeant les ouvriers voient le jour : ils peuvent manifester légalement leur mécontentement en faisant grève, ils disposent des premières assurances sociales contre le chômage, la vieillesse et les accidents du travail.
Un certain nombre de facteurs d’explication permettent de comprendre l'amélioration des conditions de vie. Elle s’explique d’abord par une élévation du revenu ouvrier. L’âge industriel est à l’origine de gains de productivité ce qui a permis à l’entreprise de produire plus, de vendre plus donc d’augmenter son chiffre d’affaire qu’elle a en partie redistribué à ses salariés sous la forme d’augmentations de salaires ou de primes. Par conséquent, les familles ouvrières ont bénéficié d’un revenu supérieur, ce qui leur a permis de consacrer une part moins importante de leur revenu dans les dépenses vitales. De plus, les progrès de l’hygiène ont permis aux populations ouvrières de vivre mieux et plus longtemps : les premiers vaccins et les médicaments sont découverts et les maladies dont on mourrait encore jusque là peuvent désormais être soignées. Les syndicats ont aussi joué un grand rôle. Ils ont souvent contribué par les grèves ou les négociations avec le patronat à obtenir des avancées sociales non négligeables : la réduction du temps de travail, les congés payés… L’organisation de la classe ouvrière en groupe de pression est une des conditions de son mieux-être à l’âge industriel. Enfin, l’Etat, en adoptant des lois sociales, a fait progresser la condition ouvrière : il s’agit de corriger les excès du libéralisme. Ce constat très général d’une amélioration des conditions de vie de la classe ouvrière ne doit cependant pas cacher un certain nombre d’inégalités qui perdurent.
Merci mais j'ai déjà mon cours sur le monde ouvrier là n'est pas le problème mais je ne sais pas quels éléments je dois mettre et lesquels je ne dois pas mettre ...
Il faut que tu parles des points importants de la révolution industrielles (ceux qui ont changé la vie des ouvriers d'une manière radicale).
En gros parler du contexte dans lequel les ouvriers travaillent, sans détailler toute la révolution industrielle?
Tiens un lien qui d'aidera sûrement : http://www.herodote.net/sc26.php
J'ai exactement le même sujet ( Tu es au Cned je suppose ) et c'est ce dont je me suis inspirée pour le faire.
Bonne chance ! =)
J'ai exactement le même sujet ( Tu es au Cned je suppose ) et c'est ce dont je me suis inspirée pour le faire.
Bonne chance ! =)
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