devoir 2 SES seconde cned

Publié le 10 mai 2012 il y a 11A par Anonyme - Fin › 17 mai 2012 dans 11A
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Sujet du devoir

2. Complétez le schéma à l’aide des termes « hausse » et « baisse"

3. Rédiger une synthèse (Séquence 5)
Vous rédigerez une quinzaine de lignes environ afin de traiter le sujet suivant :
Après avoir présenté le fait que la socialisation est différente selon le genre, vous montrerez que cela
a des conséquences sur leurs pratiques culturelles.


4. Étudier un document statistique
a) L’origine sociale se lit-elle en ligne ou en colonne ici ?
b) À quelle ligne correspondent les diplômes de l’enseignement supérieur court ?
c) Faites une phrase de lecture avec chacune des données entourées. (28 et 45)
d) Pour la colonne cadres, complétez la donnée manquante.
e) La scolarité des jeunes semble-t-elle liée à leur origine sociale ?
f) Que peut-on en déduire sur leur probabilité d’être ou non au chômage ?


5. Élaborer une plaquette d’informations
......................

Où j'en suis dans mon devoir

Bonjour.
Je suis très en retard svp aidez moi!!!
Merci d'avance



4 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 10 mai 2012
oui avec plaisir.
5
Anonyme
Posté le 11 mai 2012
slt:)
baisse du cout du tavail=baisse des salaires=baisse des couts de production=baisse de la consommation=hausse de l'emploi=baisse des cotisations sociales=baisse des depenses de protection sociale=baisse des revenus de transfert=baisse de la consomattion=baisse de la demande=baisse de la production=hausse du chomage
Anonyme
Posté le 12 mai 2012
Merci beaucoup tu es très gentil...
Est ce que tu pourrais m'aider Stp pour les autres exercices??
Merci d'avance.
Anonyme
Posté le 12 mai 2012
ok:)
a) L’origine sociale se lit-elle en ligne ou en colonne ici ?
En colonne
b) À quelle ligne correspondent les diplômes de l’enseignement supérieur court ?
DUT, BTS, diplômes de professions de la santé et du secteur social
c) Faites une phrase de lecture avec chacune des données entourées. (28 et 45)
28 % des enfants d’ouvriers âgés de 18 ans avaient arrêté leurs études ou sur 100 enfants d’ouvriers âgés de 18 ans, 28
avaient arrêté leurs études.
45 % des enfants de cadres âgés de 18 ans étaient à l’université ou en classe préparatoire ou sur 100 enfants de cadres âgés
de 18 ans, 45 étaient à l’université ou en classe préparatoire.
d) Pour la colonne cadres, complétez la donnée manquante :
5. Pour l’obtenir on fait 100- (4+7+24+15+45)
e) La scolarité des jeunes semble-t-elle liée à leur origine sociale ?
Selon le milieu social, la part des enfants poursuivant ou non leurs études varie. De la même manière on constate que le type
d’études effectué diffère. Ainsi la part des enfants d’ouvriers à avoir arrêté leurs études est la plus élevée (28 %) de même que
la part des enfants d’ouvriers dans l’enseignement spécialisé, en apprentissage ou en CAP, BEP. La part des enfants d’ouvriers
à l’université ou en classe préparatoire est la plus faible. On peut faire le constat inverse en ce qui concerne les cadres : la part
de leurs enfants à l’université ou en classe préparatoire est la plus élevée alors que sur 100 enfants de cadres seuls 5 ont
arrêté leurs études et seuls 4 sont dans l’enseignement spécialisé, CAP ou BEP. On peut donc en conclure que la scolarité des
jeunes est liée à l’origine sociale. Il faut cependant veiller à nuancer ce constat en insistant sur le fait que l’origine sociale ne
détermine pas la scolarité puisque quel que soit le milieu social il y a des parcours scolaires différents (le chiffre 0 n’apparaît
d’ailleurs nulle part).
f) Que peut-on en déduire sur leur probabilité d’être ou non au chômage ?
Le fait d’être diplômé diminue le risque d’être au chômage. Inversement, ne pas posséder de diplôme accentue ce risque. Or on
constate que ce sont parmi les enfants d’employés et d’ouvriers, respectivement 23 % et 28 % ont arrêté leurs études contre
19 % pour l’ensemble des jeunes quel que soit le milieu social. Le risque d’être confronté au chômage est donc - en moyenne -
plus élevé chez les enfants d’employés et d’ouvriers.
Inversement la part des enfants de cadres à être à l’université ou en classe préparatoire est de 45 % contre 19 % pour
l’ensemble des jeunes quel que soit le milieu social. Les enfants de cadres ont donc de plus fortes probabilités d’être diplômés
(du supérieur ici) et de ce fait auront moins de risques d’être confrontés au chômage.
On peut donc en déduire que la scolarisation diffère selon le milieu social et que cela joue sur le risque de chômage.

la plaquette je l'ai pas faite

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