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Sujet du devoir
il me faut la partie centrale et la conclusion s'il vous plait j'en aurait vraiment besoin pour mon exposéOù j'en suis dans mon devoir
j'ai fait l'introduction mais pas le reste de l'exposé.j'ai meme choisi l'image.c'est pour le brevet6 commentaires pour ce devoir
dans la fenêtre "recherche" de cette page, tu tapes "guernica" et tu auras tous les devoirs aidés.
tu pourra m'aider stp en français va voir les nouveau devoir tu me verra moi c melissette 13.
Comme la dit compostelle, il y a plusieurs sujets terminé dessus ;)
devoir deja fini
Picasso multiplie les études dés le 30 avril 1937. A la mi juin il livre son tableau au pavillon espagnol de l'exposition universelle. Les grandes dimensions de Guernica répondent a un souci de visibilité. La barbarie du bombardement du 26 avril doit être dénoncée efficacement.
1) Un tableau monochrome :
La monochromie du tableau s'explique de plusieurs façons. Tout d'abord à la gravité du sujet répond l'austérité de l'absence de couleur. Par ailleurs le noir et blanc évoque la presse. Picasso, informé par voie de presse, a incorporé à son oeuvre de nombreuses références à celle ci. Par exemple le pelage du cheval, fait de petit traits serrés, réguliers et alignés rappelle les caractères typographiques.
2) La pièce maîtresse : le cheval blessé.
Placé au centre de la composition, il symbolise, des dires même du peintre, le peuple. La liberté est mourante. Comme pour la mère portant son enfant mort, la douleur est exprimée par la langue pointue comme un couteau.
La lance qui transperce le flanc du cheval rappelle celle qui blesse la poitrine du Christ. La crucifixion est l'archétype de la souffrance et de l'agonie. (analyse empruntée à W. rubin, L'Art dada et surréaliste)
3) Les différents éléments : le taureau.
Le taureau est un symbole de la force brute, de la cruauté. Au milieu de la débâcle il apparaît impassible. L'iconographie tauromachique est une composante fréquente de l'œuvre de Picasso.
Le chœur des femmes : trois femmes sur le coté droit de la composition forme un chœur antique, pleurant la liberté agonisante.
La mère portant son enfant mort : la douleur et les hurlements de la mère sont perceptibles au premier abord, alors que le reste du tableau peut sembler plus difficile d'accès. L'enfant mort dans les bras de sa mère se rapprochent-ils d'une autre image à portée universelle : celle d'une piéta ?
Les bras levés au ciel, en croix, Picasso fait assurément ici une référence au Tres de Mayo de Goya. La comparaison entre ces deux tableaux nés d'une tragédie historique doit être menée avec prudence : Goya peint 6 ans après les faits, et transmet un message de résistance à l'oppression. Picasso peint dans l'urgence, et lance un cri de douleur face à l'anéantissement.
Le symbolisme de la fleur et de l'épée. La fleure est unique mais présente au centre de la composition comme une lueur d'espoir. Sa délicatesse, sa fragilité résonne face au désordre et à l'horreur de la scène. L'épée brisée complète la symbolique de paix. Cependant Guernica n'est en aucun cas un tableau symbolique.
4) Les visages : l'expression de l'universel.
Les yeux, en larme, et la bouche édentée (= personne désarmée) de la femme tombant dans les flammes (Guernica a été bombardé à la bombe incendiaire) exprime la mort d'un peuple désarmé, la lâcheté du bombardement.
La mère portant son enfant mort exprime une douleur universellement compréhensible, et traduit l'horreur de toutes les guerres. Ses yeux en forme de larme, , sa langue en forme de couteau, son visage tourné vers le ciel (d'où est venu le drame), tout en elle exprime la souffrance et le désarroi.
Au premier plan de la composition apparaît un combattant dont le corps est morcelé et décapité. Ce personnage porte sur son visage toute la violence de la guerre : la dentition précise, et la décapitation sont les signes de la brutalité.
1) Un tableau monochrome :
La monochromie du tableau s'explique de plusieurs façons. Tout d'abord à la gravité du sujet répond l'austérité de l'absence de couleur. Par ailleurs le noir et blanc évoque la presse. Picasso, informé par voie de presse, a incorporé à son oeuvre de nombreuses références à celle ci. Par exemple le pelage du cheval, fait de petit traits serrés, réguliers et alignés rappelle les caractères typographiques.
2) La pièce maîtresse : le cheval blessé.
Placé au centre de la composition, il symbolise, des dires même du peintre, le peuple. La liberté est mourante. Comme pour la mère portant son enfant mort, la douleur est exprimée par la langue pointue comme un couteau.
La lance qui transperce le flanc du cheval rappelle celle qui blesse la poitrine du Christ. La crucifixion est l'archétype de la souffrance et de l'agonie. (analyse empruntée à W. rubin, L'Art dada et surréaliste)
3) Les différents éléments : le taureau.
Le taureau est un symbole de la force brute, de la cruauté. Au milieu de la débâcle il apparaît impassible. L'iconographie tauromachique est une composante fréquente de l'œuvre de Picasso.
Le chœur des femmes : trois femmes sur le coté droit de la composition forme un chœur antique, pleurant la liberté agonisante.
La mère portant son enfant mort : la douleur et les hurlements de la mère sont perceptibles au premier abord, alors que le reste du tableau peut sembler plus difficile d'accès. L'enfant mort dans les bras de sa mère se rapprochent-ils d'une autre image à portée universelle : celle d'une piéta ?
Les bras levés au ciel, en croix, Picasso fait assurément ici une référence au Tres de Mayo de Goya. La comparaison entre ces deux tableaux nés d'une tragédie historique doit être menée avec prudence : Goya peint 6 ans après les faits, et transmet un message de résistance à l'oppression. Picasso peint dans l'urgence, et lance un cri de douleur face à l'anéantissement.
Le symbolisme de la fleur et de l'épée. La fleure est unique mais présente au centre de la composition comme une lueur d'espoir. Sa délicatesse, sa fragilité résonne face au désordre et à l'horreur de la scène. L'épée brisée complète la symbolique de paix. Cependant Guernica n'est en aucun cas un tableau symbolique.
4) Les visages : l'expression de l'universel.
Les yeux, en larme, et la bouche édentée (= personne désarmée) de la femme tombant dans les flammes (Guernica a été bombardé à la bombe incendiaire) exprime la mort d'un peuple désarmé, la lâcheté du bombardement.
La mère portant son enfant mort exprime une douleur universellement compréhensible, et traduit l'horreur de toutes les guerres. Ses yeux en forme de larme, , sa langue en forme de couteau, son visage tourné vers le ciel (d'où est venu le drame), tout en elle exprime la souffrance et le désarroi.
Au premier plan de la composition apparaît un combattant dont le corps est morcelé et décapité. Ce personnage porte sur son visage toute la violence de la guerre : la dentition précise, et la décapitation sont les signes de la brutalité.
Le bombardement de la petite ville de Guernica le 26 avril 1937 a causé à Picasso une émotion sans pareille. Aussitôt, il exécute les premiers dessins et met en place les principaux éléments de l'œuvre : le taureau impassible, le cheval agonisant, le combattant étendu sur le sol, la porteuse de lumière. Le 11 mai, Picasso commence l'œuvre sur toile. Il tâtonne, exécute sept versions photographiées par Dora Maar. Ce témoignage de la genèse de l'œuvre est exceptionnel.
Guernica est peint en noir et blanc. Les principales lignes de force du tableau forment un triangle. Au centre, le cheval agonisant, transpercé d'uen lance, domine le combattant blessé. La partie gauche est occupée par l'inébranlable taureau dont l'origine artistique et mythique remonte à l'âge minoen. Il symbolise la force. Trois femmes forment un chœur tragique : celle de droite tombe dans uen maison en flamme, la deuxième s'enfuit en courant et la dernière, une mère, hurle avec son enfant dans les bras. Guernica est un immense cri. Toutes les têtes sont béantes et, sauf celle de la femme témoin et du taureau, tournées vers le haut. Le thème, qu'on retrouve d'ailleurs dans tous les tableaux guerriers de Picasso, jusqu'à l'Enlèvement des Sabines, est celui du massacre des innocents.
Guernica est peint en noir et blanc. Les principales lignes de force du tableau forment un triangle. Au centre, le cheval agonisant, transpercé d'uen lance, domine le combattant blessé. La partie gauche est occupée par l'inébranlable taureau dont l'origine artistique et mythique remonte à l'âge minoen. Il symbolise la force. Trois femmes forment un chœur tragique : celle de droite tombe dans uen maison en flamme, la deuxième s'enfuit en courant et la dernière, une mère, hurle avec son enfant dans les bras. Guernica est un immense cri. Toutes les têtes sont béantes et, sauf celle de la femme témoin et du taureau, tournées vers le haut. Le thème, qu'on retrouve d'ailleurs dans tous les tableaux guerriers de Picasso, jusqu'à l'Enlèvement des Sabines, est celui du massacre des innocents.
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