Guernica histoire de l'art

Publié le 30 mai 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 4 juin 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

Il faut que je fasse un exposé d'une quinzaine de pages sur guernica.
Je cherche de l'aide
pour les choses que je dis dans mon travail déjà effectué.
merci d'avance en espérant une réponse très très vite!!!

Où j'en suis dans mon devoir

voici mon schéma::
1-mini-résumé de l'histoire(avant-pendant-après Guernica)
2-biographie de franco
3-biographie de Picasso
4-description des circonstance de picasso pour avoir peint Guernica
5-références sur les clins d'oeils de picasso(ex:le bras avec l'épee qui signifie l'espoir)
6-le cubisme et biographie.



7 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 30 mai 2010
Il faut que tu fasse un exposé sur toute l'histoir de ce tableau ou juste sur les éléments du tableau et les manière de mettre en avant certain éléments ?
Anonyme
Posté le 31 mai 2010
il faut en mettant des precisions historiennes,que je devellope la face de ce tableau tout en important un cote historien.
Anonyme
Posté le 31 mai 2010
Tu peut aller sur internet .
Tu tape Guernica et apres tu va sur wikipedia
J'espere que sa va t'aider, moi j'ai fait comme sa est j'ai eu 10/10 ..
Anonyme
Posté le 31 mai 2010
oé mais wikipedia defois c'est pas sur!

donc j'hesite,tu pourrais pas me faire un lien sur ce que tu as trouvais stp
Anonyme
Posté le 31 mai 2010
Guernica est d'une taille imposante (349,3 cm x 766,6 cm). C'est une peinture à l'huile, globalement vue en noir et blanc (en fait aux couleurs peu nombreuses : du gris-noir barré de jaune et blanc). Elle représente une scène de violence, de douleur, de mort et d'impuissance dont la cause n'est pas représentée explicitement dans la série des études préparatoires du premier jour (le 1er mai 1937) conservées au Musée de la Reine Sofia à Madrid : les flammes causées par les bombes ne sont pas encore présentes sur les toits des maisons et les premiers dessins semblent évoquer qu'une simple querelle entre des cheveaux et des taureaux qu'une femme, tendant au bout de son bras une lampe à pétrole, chasse de la place du village par ses cris. Une étude récente montrerait cependant que la toile achevée serait reliée dès ses premières esquisses aux travaux précédents de Picasso sur la Minautoromachie (1930-1937)[[1]] : le taureau présent sur le tableau n'étant plus que l'avatar du Minotaure et son regard celui du monstre mythique qui a joui de son forfait, le viol d'une jument qui représente symboliquement d'après Picasso lui-même, le peuple espagnol. Quand il aura connaissance au cours de la journée du premier mai 1937 des photographies de Guernica en flammes publiées par les journaux, il intègrera le bombardement dans son œuvre comme une conséquence de ce viol, idée première de la construction, en rajoutant par surimpressions successives, les effets désastreux que le machisme effréné peut avoir sur l'humanité : un cortège de massacres et de villes en flammes. Picasso qui aimait se comparer avant Guernica au Minotaure, monstre mythique aux appétits sexuels jamais assouvis, a su faire émerger à la perfection par le syncrétisme qu'il opère entre la vie intérieure de l'artiste et l'événement historique qui révolutionne sa conscience, la brisure de l'espace intime par l'intrusion du viol collectif. Ni Picasso ni le monde ne seront plus pareils après Guernica.

Le choix d'un effet global de noir et blanc évoque les photos de guerre : Picasso vivait en France depuis 1900 mais son cœur espagnol a été profondément choqué quand il a appris par la presse que Guernica avait été bombardée. Le noir et blanc du tableau résulte également des photographies prises lors de la longue élaboration de l'œuvre par la compagne de Picasso, Dora Maar, photographe surréaliste, qui apportait régulièrement au peintre dans son atelier de la rue des Grands-Augustins, les clichés des états successifs de l'œuvre[2]. Picasso consultait les états antérieurs de sa toile pour modifier la peinture par une nouvelle balance des blancs et des noirs pour que Guernica apparaisse comme un immense poster compréhensible par tous, dénonçant le crime contre l'humanité qui venait de se produire. Ainsi, dans le pavillon de la République espagnole de l'Exposition Universelle, Picasso put exposer une critique des totalitarismes qui étaient intervenus militairement dans la guerre d'Espagne, juste à côté de leurs pavillons monumentaux, instruments de leur propagande.

La figure centrale du tableau est un cheval blessé, une jument plus exactement, dont le corps est marqué par le viol. À gauche, une femme porte son enfant mort et hurle de douleur. Derrière elle, un taureau, impassible, image de la cruauté et de la force brutale. À droite du tableau, trois femmes désarticulées pleurent ou hurlent dont le personnage de la mère qui reprend le thème du Massacre des innocents de Nicolas Poussin. En fond de tableau, des formes géométriques sombres évoquent des immeubles effondrés. En bas, une tête d'homme et un bras coupé tient une épée brisée. Seule minuscule trace d'espoir, une main porte une toute petite fleur.



Mais faut que tu trie un peu ...
Anonyme
Posté le 31 mai 2010
merci et avec ca tu as eu 10?
Anonyme
Posté le 31 mai 2010
Ouais ..

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