PARAGRAPHE ARGUMENTE SUR LE CITOYEN ET LES ELECTIONS EN FRANCE AU DEBUT DU XXI EME SIECLE

Publié le 1 avr. 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 6 avr. 2010 dans 14A
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Sujet du devoir

Bonjour tout le monde, je dois faire un paragraphe argumenté sur le citoyen et les élections en France au début du XXIème siècles
Il faudrait parler du taux d'abstention, et il devra faire 15 à 20 lignes.

merci beaucoup pour votre aide

Où j'en suis dans mon devoir

depuis le XXI eme siecles les gens votent de moin en moin . le taux d'abstention ne fait quaugmenter alor.



6 commentaires pour ce devoir


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Anonyme
Posté le 1 avr. 2010


L'inscription sur les listes électorales est une obligation, mais de nombreux Français négligent de se faire inscrire. M. Duverger estime leur nombre à 8,5 % en 1954, à 6,7 % en 1957 ; Olivier Duhamel a avancé le chiffre de 10 % en 1992 ; le ministère de l'Intérieur donne alors une fourchette de 3 à 8,5 % en mesurant l'écart entre nombre d'inscrits et population française d'âge électoral (déchus des droits civiques mis à part), mais sans tenir compte des possibilités de double inscription ou de radiation tardive. En 1989 plus précisément, il estime à 2 millions (soit 5 % du corps électoral potentiel) le nombre des non-inscrits, résultat de la négligence ou d'une volonté délibérée (Q.E. nos 7513, 11863 et 12538, J.O. 13.03.89, 5.06.89 et 12.06.89). En 2007 a été enregistrée une hausse très significative des inscrits : 4,2 %, soit donc 1,8 million d'électeurs nouveaux par rapport au 1er mars 2006, bien qu'assez habituelle avant une élection présidentielle. L'augmentation avait cependant été de 3,7 % en 1981, de 1,9 % en 1988, de 2,1 % en 1995 et 2,03 en 2002.

En France le vote n'a jamais été obligatoire -à la différence d'autres pays, comme la Belgique ou l'Australie- de sorte qu'un certain nombre d'électeurs s'abstiennent.

Or, lors des élections -à la différence des scrutins à l'Assemblée nationale, du moins depuis la Ve République- il n'existe pas de vote spécifique d'abstention" : les votes blancs sont assimilés à des bulletins nuls (ils totalisent, par exemple au référendum de 1945, jusqu'à 5,2 % des bulletins). Quant aux abstentionnistes proprement dits (ceux qui ignorent le slogan "Voter, c'est régner* et qu'on appelait les pêcheurs à la ligne... jusqu'à ce que des listes se présentent sous cette étiquette), leur proportion varie entre 15 % (premier tour de l'élection présidentielle de 1965) et 63 % (référendum de 1988 sur la Nouvelle-Calédonie) selon les circonstances et les types de scrutin -d'autant que les partis (PSU en 1962, PC en 1969, PS en 1972, RPR en 1988) donnent parfois eux-mêmes des consignes d'abstention. L'abstentionnisme n'est sanctionné que par un biais : la nécessité d'obtenir un nombre minimum de voix (le quart des inscrits) pour être élu dès le premier tour (art. L. 126 du Code électoral).

- Jean Morin. Un Français sur dix ne s'inscrit pas sur les listes électorales.
in Économie et statistique - février 1983.
Anonyme
Posté le 1 avr. 2010
merci beaucoup

pourrez tu m'aidez une dernière fois sur le sujet suivant:

"l'organisation et les problèmes de transports en France"

merci beaucoup errabunda
Anonyme
Posté le 2 avr. 2010
Bonsoir,

Tu peux expliquer l'abstention des citoyens :

Les Français prennent de plus en plus de distance avec la politique. D’un point de vue historique, les Régionales sont peu mobilisatrices. De plus, on peut constater une défiance d’une partie de l’électorat déçue par l’action des élus. L’addition de ces plusieurs facteurs ne fait que contribuer à faire grimper les chiffres de l’abstention.
D’un point de vue général, les électeurs ne croient plus en la capacité, la volonté, des politiques à les défendre. La défiance vis-à-vis du pouvoir s’est accrue aussi bien quand la droite gouverne que la gauche. La confiance envers les hommes et femmes politiques s’est brisée.
L’élection présidentielle est incontestablement celle qui passionne le plus les Français. En 2007, l’engouement a été exceptionnel. Les deux principaux candidats (Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal) incarnaient la nouveauté puisqu’ils se présentaient pour la première fois pour occuper la fonction suprême. Il en a résulté un très grand intérêt de la part des électeurs. Pour 2012, si le président sortant venait à se représenter, cet intérêt sera plus contenu. Le renouvellement et la découverte d’un candidat seront atténués parce que tout le monde connaît désormais. De ce fait, la mobilisation risque d’être légèrement moins forte qu’en 2007.

Bonne continuation !
Anonyme
Posté le 2 avr. 2010
Re : je vais regarder ce que je trouve sur les transports.
Anonyme
Posté le 2 avr. 2010
Re :
Voilà ce que je t'ai trouvé :

L'organisation des transports de voyageurs en France, et le plus souvent en Europe, relève de la responsabilité des pouvoirs publics, c’est-à-dire :

* l'État lui-même,
* les régions,
* les départements,
* les communes ou regroupements de communes.

Pour qualifier ces quatre niveaux de responsabilités, on parle d’autorités organisatrices de transports.

Ces autorités organisatrices prennent les grandes décisions en matière de définition du service, de tarification et de financement.

L'insécurité est le problème des transports de masse en France comme ailleurs.
Mais il y a aussi qu'aujourd'hui, de nouvelles contraintes apparaissent : les transports doivent-ils toujours relever de l'Etat ? Jusqu'où doit-il intervenir dans la définition des instruments ? Comment, dans un contexte de concurrence accrue, faire face aux contraintes d'environnement et de sécurité.

Voilà j'espère que ça t'aidera ! A +
Anonyme
Posté le 2 avr. 2010
MERCI A TOUS VOUS M'AVEZ TOUS BEAUCOUP AIDER

MERCI zrom et errabunda

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