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Sujet du devoir
Je doit écrire une rédaction sur le regard. Le sujet est de ce mettre à la place d'un soldat et de regarder ce que l'on voit en face (en face il y a un homme qui vient d'être libéré d'un camps d'extermination). L'homme en face est maigre....Où j'en suis dans mon devoir
J'ai pas vraiment commencer car je ne trouve pas d'idée. Alors c'est vraiment urgent de m'aidé car je doit rendre ce devoirs lundi.2 commentaires pour ce devoir
Bonjour, il est assez facile de trouver des documents sur cette période. Essayer dans visionner quelques uns et décriver vos impressions. Pour ma part, chaque fois que je vois ce genre d'images j'en fais des cauchemars.
Ils ont besoin d'aide !
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Je regardais devant moi et je vis... quelque chose, ou plutot une personne, impossible a decrire. Je peux du moins essayer, mais je ne suis pas sur d'y arriver.
Un jeune garcon maigre, mais, qui devait peser 20 kilos, environ, alors qu'il avit l'air d'avoir 16 ans... Il etait squelettique. Son visage, au lieu d'etre beige, ou, du moins, blanc, etait d'un gris... d'un gris morne, qu'on ne voudrais meme pes avoir comme peinture d'un mur, tellement, il etait.. impossible a decrire. C'est impossible, comme je l'ai deja dit, d'expliquer vraiment ce que je voyais. Sur son visage, ses joues etaient creusees, ses yeux etaient rentres, enfonces dans son visage. Oui, ses yeux etaient ce qui estle plus difficile a decrire. Il parraissaient sans vie, mornes, comme le gris de son visage. Si cela avait ete une peinture, elle n'aurait certainement pas valu beaucoup, elle n'aurait pas semblé réaliste. Mais, malheureusement, ce visage etait on ne peut plus reel. Et ce visage me regardait avec tant de gratitude que, malgres mon etonnement, j'en fus comme rechauffe. Ce visage qui, sans doute pour la premiere fois depuis bien longtemps, souriait et pleurait en meme temps, etait tellement secoué qu'il ne ppouvait faire autre chose que me regarder avec une gratitude, semble-t-il, illimitee. J'etais on ne peux plus heureux, cette homme l'etait devenu grace a moi. Je savais que ma vis avait un but, et je l'avais atteint.
Et pardonnes-moi aussi pour les fautes d'othographes, s'il y en a.