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Sujet du devoir
1) Réécrivez le texte en conservant la 3ème personne mais en adoptant le point de vue du père.
Tout en haut le sentier tournait un peu, et redescendait de l’autre côté de la colline. De tout en haut on verrait la maison. On la voyait très bien. Ce qu’on voyait le mieux, c’était la fenêtre de la cuisine, avec le pot de géranium tout vert et orange dans le soleil, et maman était derrière mais on ne la voyait pas. Mais papa devait être fatigué, parce qu’avant d’arriver en haut, il s’assit. D’ordinaire on ne s’asseyait jamais sur ce tronc d’arbre. Il s’assit et attira son petit garçon entre ses genoux. Il dit : « Tu n’es pas fatigué ? »
- « Non », dit le petit garçon. Papa souriait mais c’était d’un seul côté de la bouche. Il lui caressait les cheveux, la joue. Il respira très fort et dit : « Il faut être très, très sage avec ta maman », et le petit garçon fit oui de la tête, mais il ne trouva rien à dire. « Un bon petit garçon » dit encore papa, et il se leva. Il prit son petit garçon sous les aisselles et il le souleva jusqu’à son visage et l’embrassa deux fois sur les deux joues, et il le remit par terre et dit d’une voix ferme : « Allons. » Ils se remirent en route. Ils arrivèrent en haut et on vit le mur du jardin, les deux mélèzes, la maison, la fenêtre de la cuisine. Le pot de géranium… il n’y était plus. Le petit garçon vit tout de suite que le pot de géranium n’était plus à la fenêtre de la cuisine. Papa aussi, sûrement. Parce qu’il s’arrêta en serrant la petite main dans la sienne, plus fort que jamais, et il dit : « Ça y est, je m’en doutais. » Il restait immobile, à regarder, regarder, regarder, en répétant : « Bons dieux, comment ai-je pu… puisque je le savais, puisque je le savais… » Le petit garçon aurait bien voulu demander quoi, mais il ne pouvait pas parce que papa lui serrait la main si fort. Et il commença d’avoir mal au cœur, comme le jour où il avait mangé trop de purée aux marrons.
Vercors, ce jour-là, le silence de la mer, 1943
Où j'en suis dans mon devoir
Tout en haut le sentier tournait un peu, et redescendait de l’autre côté de la colline. De tout en haut on verrait la maison. On la voyait très bien. Ce qu’on voyait le mieux, c’était la fenêtre de la cuisine, avec le pot de géranium, et sa femme était derrière mais on ne la voyait pas. Il êtait fatigué, et avant d’arriver en haut, il s’assit. D’ordinaire on ne s’asseyait jamais sur ce tronc d’arbre. Il s’assit et attira son petit garçon entre ses genoux. Il dit : « Tu n’es pas fatigué ? »
- « Non », dit le petit garçon. Il souriait mais c’était d’un seul côté de la bouche. Il lui caressait les cheveux, la joue. Il respira très fort et dit : « Il faut être très, très sage avec ta maman », et le petit garçon fit oui de la tête, faisant mine de comprebdre. « Un bon petit garçon » dit encore il, et il se leva. Il prit son petit garçon sous les aisselles et il le souleva jusqu’à son visage et l’embrassa deux fois sur les deux joues, et il le remit par terre et dit d’une voix ferme : « Allons. » Ils se remirent en route. Ils arrivèrent en haut et on vit le mur du jardin, les deux mélèzes, la maison, la fenêtre de la cuisine. Le pot de géranium… il n’y était plus. Le petit garçon avait l'air de l'avoir remarqué. Lui aussi. il s’arrêta en serrant la petite main de son fils dans la sienne, plus fort que jamais, et il dit : « Ça y est, je m’en doutais. » Il restait immobile, à regarder, regarder, regarder, en répétant : « Bons dieux, comment ai-je pu… puisque je le savais, puisque je le savais… » Le petit garçon avait l'air de d'être perdu et semblait vouloir demander ce qui se passait, mais il ne dit rien parce qu'il lui serrait la main fortement. Son fils avait l'air d’être mal comme le jour où il avait mangé trop de purée de marron.
J'ai fais ça mais ça me paraît trop facile et j'ai l'impression que mon texte ne veut rien dire peut on m'aider ?
4 commentaires pour ce devoir
Je ne pense pas, j'ai relu plusieurs fois.
D'accord Merci beaucoup
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ça me semble bon.
Il était fatigué, et avant d’arriver en haut, il s’assit.
- « Non », dit le petit garçon. Il souriait mais c’était d’un seul côté de la bouche. Il lui caressait les cheveux, la joue. Il respira très fort et dit : « Il faut être très, très sage avec ta maman », et le petit garçon fit oui de la tête, faisant mine de comprendre. « Un bon petit garçon » dit-il encore et il se leva. Il prit son petit garçon sous les aisselles et le souleva jusqu’à son visage et l’embrassa deux fois sur les deux joues, et il le remit par terre et dit d’une voix ferme :
Son fils avait l'air d’être mal comme le jour où il avait mangé trop de purée aux marrons.
Merci beaucoup c'est vrai que cest mieux
mais c'est tout ? je ne doisais pas rajouter d'autre modificationsolution ?