Daniel PENNAC argumentation

Publié le 9 mars 2018 il y a 6A par Anonyme - Fin › 12 mars 2018 dans 6A
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Sujet du devoir

bonjour à tous; j'ai un devoir de français.

Je dois trouver des arguments de pourquoi doit on lire le livre "chagrin d'école" de pennac. Je dois m'appuyez sur des exemples tirés du texte

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai trouvé l'arguments qu'il faut se battre pour poursuivre ses rêves car il était cancre et est devenu professeur de français.

Auriez-vous d'autres idées?




5 commentaires pour ce devoir


niogret2m
niogret2m
Posté le 9 mars 2018

parce que ce livre est écrit du point de vue de l'élève.
Celui qu'on croyait cancre deviendra professeur et écrivain.
Ce livre dit les souffrances de l'élève en échec.

Anonyme
Anonyme
Posté le 9 mars 2018

bonjour, pouvez vous développer? Je n'ai pas très bien compris votre idée

niogret2m
niogret2m
Posté le 9 mars 2018

parce que ce livre est écrit du point de vue de l'élève.
Celui qu'on croyait cancre deviendra professeur et écrivain.
Ce livre dit les souffrances de l'élève en échec.

 

D' habitude, ce sont les adultes, les professeurs ou les parents qui parlent des enfants, des écoliers. Ici, c'est l'ancien élève qui parle. Cela change tout. Le point de vue est différent et nous touche.

 

Si celui qui croyait être un cancre, qu'on croyait être un cancre est devenu un professeur et un écrivain, cela donne de l'espoir à chacun.

 

Ce livre va à l'encontre des idées reçues. Certains pensent qu'un élève qu'on a qualifié de cancre, se moque de l'école et de ses résultats. C'est tout le contraire, il souffre et souvent se fait remarquer pour ne pas montrer ses déceptions.

Anonyme
Anonyme
Posté le 9 mars 2018

d'accord merci beaucoup, y'a t"il des passages du livre qui montre ces arguments? je dois m'appuyer sur des passages du texte.

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niogret2m
niogret2m
Posté le 9 mars 2018

De cela, certains enfants se persuadent très vite, et s’ils ne trouvent personne pour les détromper, comme on ne peut vivre sans passion ils développent, faute dmieux, la passion de l’échec.

 

« Donc, j’étais un mauvais élève. Chaque soir de mon enfance, je rentrais à la maison poursuivi par l’école.

 

« Gardons-nous de sous estimer la seule chose sur laquelle nous pouvons personnellement agir… : la solitude et la honte de l’élève qui ne comprend pas, perdu dans un monde où tous les autres comprennent.

Nous seuls pouvons le sortir de cette prison-là, que nous soyons ou non formés pour cela.


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