Exercices de réécriture

Sujet du devoir

1) Réécrivez les phrases ci-dessous en remplaçant le pronom par « elles ». Faites toutes les transformations qui s’imposent
Nous nous regardions, nous ne savions par où commencer. Cela faisait si longtemps que nous ne nous étions pas revus. Nous étions émus et craignions de gâcher ce moment magique par des paroles maladroites.

2) Transposez ce passage au discours indirect en pratiquant les modifications nécessaires.
On disait dans le village :
« Ces Thénardier sont de braves gens. Ils ne sont pas riches, et ils élèvent un pauvre enfant qu’on leur a abandonné chez eux ! »

3) Réécrivez ce passage en remplaçant la première personne du singulier par la première personne du pluriel, et faites toutes les transformations nécessaires
Mon père revenait ivre de ces après-midi récréatives. Et moi, j’avais honte de lui, je le reniais, l’ignorais ; je haïssais ma mère de le mettre au lit, de lui essuyer le front en lui murmurant des tendresses.

4) Réécrivez ce texte aux temps du passé
Un lundi matin, à l’école, mon père, qui est aussi mon instituteur (dans la classe, je l’appelle Monsieur), nous demande de raconter notre dimanche. Je trempe mon porte-plume dans l’encrier, les mots m’appellent et me tirent par la manche, ma main tremble. Les mots jaillissent sans effort, je me laisse emporter par l’inspiration…

5) Réécrivez ce texte au présent et remplacez le tambour par son pluriel en effectuant toutes les modifications nécessaires
Le tambour en peau de requins résonna sourdement et l’enfant qui s’enfuyait vers la montagne s’arrêta malgré lui un instant, comme pétrifié, pour l’écouter. Gravement il résonnait fans les collines, lugubrement il portait son message au cœur de l’île où un autre tambour bientôt lui faisait écho.

Où j'en suis dans mon devoir

1) Elles se regardaient, elles ne savaient par où commencer. Cela faisait si longtemps qu’elles ne s’étaient pas revues. Elles étaient émues et craignaient de gâcher ce moment magique par des paroles maladroites.

2) Je sais pas. Je n’y comprend pas .

3) Notre père revenait ivre de ces après-midi récréatives. Et nous, nous avions honte de lui, nous le renions, l’ignorions ; nous haïssions notre mère de le mettre au lit, de lui essuyer le front en lui murmurant de tendresses.

4) Un lundi matin, à l’école, mon père, qui était aussi mon instituteur (dans la classe je l’appelais Monsieur), nous demanda de raconter notre dimanche. Je trempais mon porte-plume dans l’encrier, les mots m’appelaient et me tiraient par la manche, ma main tremblait. Les mots jaillissaient sans effort, je me laissais emporter par l’inspiration …

5) Les tambours en peau de requins résonnent sourdement et l’enfant qui s’enfuit vers la montagne s’arrête malgré lui un instant, comme pétrifié, pour l’écouter. Gravement ils résonnent dans les collines, lugubrement ils portent leurs messages au cœur de l’île où d’autres tambours bientôt leurs font échos.