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Sujet du devoir
J'ai fait une rédaction et je voudrais savoir si j'ai fait des fautes de conjugaison ou d'orthographe. Le sujet est : Le clown raconte le " numéro du pianiste diabolique " de cette soirée de cirque. Vous ferez votre récit à la 1ere personne. Vous évoquerez les sentiments et sensatioOù j'en suis dans mon devoir
Voila mon récit :Je commençais mon numéro d'un artiste raté, ignare et naïvement prétentieux. Je jouais de la musique avec un piano laid et mauvais. Quand j'effleurais les touches de ce piano, cela déclenchait des crachement de fumées, des bruits grotesques, pet, rot ... Puis le public se mettait à rire de mon numéro de plus en plus ridicule. J'étais assourdi par ses moqueries mais heureusement je ne voyais pas le public car je n'avais pas mes lunettes. Mon numéro n'était pas du tout au point. Ensuite je devais jouer un morceau de musique. J'étais persuadé qu' un vaste déballage de jambons, tartes et tout autre chose arrivaient sur scène. Mais non. Puis je me suis mis à ne plus bouger. Les rires se mirent à diminuer. Puis, quand le silence régna dans le chapiteau, je me mis à jouer. Une mélodie douce retentit. Ce fut " Que ma joie demeure ". Mes mains effleurèrent les touches du piano, elles furent dans le rythme de la mélodie. Celle-ci fut de plus en plus douce, et les spectateurs écoutèrent attentivement. Moi-même je fus ému par cette mélodie. Je continuai à appuyer sur les touche du piano. Cette musique resplendissante, je ne l'ai jamais aussi bien jouée que ce jour-là. Ce fut peut-être mon jour de chance ! Je ne sais pas. Ravi de ma prestation, je terminai tout en douceur. Les spectateurs se levèrent, des applaudissements retentirent dans le chapiteau. Ils m'acclamèrent de plus en plus fort ! Joyeux, je saluai mon public, et quittai mon piano fier de moi.
2 commentaires pour ce devoir
bjr,
Je commençais mon numéro d'un artiste raté, ignare et naïvement prétentieux. Je jouais de la musique avec un piano laid et mal accordé. Quand j'effleurais les touches de ce piano, cela déclenchait des crachementS de fumée, des bruits grotesques, des pets et des rots ... et le public se mettait à rire de mon numéro de plus en plus ridicule. J'étais assourdi par ses moqueries mais heureusement je ne le voyais pas car je n'avais pas mes lunettes. Mon numéro n'était pas du tout au point. Ensuite je devais jouer un morceau de musique. J'étais persuadé qu' un vaste déballage de jambons, tartes et autres choses améliorerait la scène. Mais non. J'entrepris donc de ne plus bouger. Les rires se mirent à diminuer. Enfin, quand le silence régnait dans le chapiteau, je me remis à jouer. Une mélodie douce retentit. Ce fut " Que ma joie demeure ". Mes mains effleurèrent les touches du piano, elles furent dans le rythme de la mélodie. Celle-ci fut de plus en plus douce, et les spectateurs écoutèrent attentivement. Moi-même je fus ému par cette mélodie. Je continuais à appuyer sur les touches du piano. Cette musique resplendissante, je ne l'ai jamais aussi bien jouée que ce jour-là. C'était peut-être mon jour de chance ! Je ne sais pas.Néanmoins, ravi de ma prestation, je terminais tout en douceur. Les spectateurs se levèrent, des applaudissements retentirent dans le chapiteau. Ils m'acclamèrent de plus en plus fort ! Joyeux, je saluais mon public, et quittais mon piano fier de moi.
Je commençais mon numéro d'un artiste raté, ignare et naïvement prétentieux. Je jouais de la musique avec un piano laid et mal accordé. Quand j'effleurais les touches de ce piano, cela déclenchait des crachementS de fumée, des bruits grotesques, des pets et des rots ... et le public se mettait à rire de mon numéro de plus en plus ridicule. J'étais assourdi par ses moqueries mais heureusement je ne le voyais pas car je n'avais pas mes lunettes. Mon numéro n'était pas du tout au point. Ensuite je devais jouer un morceau de musique. J'étais persuadé qu' un vaste déballage de jambons, tartes et autres choses améliorerait la scène. Mais non. J'entrepris donc de ne plus bouger. Les rires se mirent à diminuer. Enfin, quand le silence régnait dans le chapiteau, je me remis à jouer. Une mélodie douce retentit. Ce fut " Que ma joie demeure ". Mes mains effleurèrent les touches du piano, elles furent dans le rythme de la mélodie. Celle-ci fut de plus en plus douce, et les spectateurs écoutèrent attentivement. Moi-même je fus ému par cette mélodie. Je continuais à appuyer sur les touches du piano. Cette musique resplendissante, je ne l'ai jamais aussi bien jouée que ce jour-là. C'était peut-être mon jour de chance ! Je ne sais pas.Néanmoins, ravi de ma prestation, je terminais tout en douceur. Les spectateurs se levèrent, des applaudissements retentirent dans le chapiteau. Ils m'acclamèrent de plus en plus fort ! Joyeux, je saluais mon public, et quittais mon piano fier de moi.
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mets plutot "avec un piano qui était d'un triste état ".
tu as aussi fait une erreur :"Ravi de ma prestation"
il faut que tu mettes :"ravis de ma prestation".