Expression Ecrite francais je doit la remettre demain

Publié le 20 oct. 2014 il y a 9A par Anonyme - Fin › 22 oct. 2014 dans 9A
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Sujet du devoir


Il était trempé et tout boueux, il avait faim et il était gelé, et il était à cinquante mille années-lumière de chez lui.
La lumière venait d'un étrange soleil jaune, et la pesanteur double de celle qui lui était coutumière, lui rendait pénible le moindre mouvement.
Il se leva pourtant et inspecta les alentours.
Depuis quelques dizaines de milliers d'années, la guerre sévissait dans cette partie de l'univers, figée en guerre de position. Les pilotes et leurs astronefs avaient quitté la place et seuls les fantassins occupaient le terrain. Depuis des milliers d'années, tous les jours, il occupait ce terrain. Cette saloperie de planète d'une étoile devenait un sol sacré, un sol à défendre puisque les Autres y étaient aussi.
Les Autres, c'est à dire la seule race douée de raison de la galaxie... des êtres monstrueux, ces Autres, cruels , hideux, ignobles.
Il était trempé et boueux, il avait faim et il était gelé. Mais les Autres étaient en train de tenter une manoeuvre d'infiltration et la moindre position tenue par une sentinelle devenait un élément vital du dispositif d'ensemble.
Il restait donc en alerte le doigt sur la détente.
A cinquante mille années-lumière de chez lui, il faisait la guerre dans un monde étranger , en se demandant s'il reverrait jamais son foyer.
C'est alors qu'il vit l'autre approcher de lui, en rampant. Il tira une rafale. L'Autre fit un bruit affreux et étrange, s'immobilisa et mourut.
Il frissonna en entendant ce râle, et la vue de l'autre le fit frissonner encore plus. On devait pourtant en prendre l'habitude, à force d'en voir - mais jamais il n'y était arrivé. C'étaient des êtres vraiment répugnants, avec deux bras seulement et deux jambes, et une peau d'un blanc écoeurant nue et sans écailles.

( d'après Frédéric Brown, Lune de Miel en enfer)                                                             Sujet : Un des compagnons de "L'autre" a reussi a se cacher et a s'enfuir ensuite . Il raconte alors dans un journal intime l'arrivée du personage venu d'ailleurs. Tu insisteras sur  ce qu'ila ressenti et sur ses impressions  a la vue de cette etranger . Voici les consignes a respecter :  1-Redige le texte a la premiere personne 2- Utulise des reprises anaphoriques qui montrent les impressions du compagnon de l'Autre  3- Insére des commentaires pour exprimer ce que ressent le compagno de l'Autre 4-Emploie les temps verbaux de maniere coherente  5- Sois vigilent quant a l'orthogrphe , la morphologie , la syntaxe 

Où j'en suis dans mon devoir

 Je venais de sortir de cet enfer de bataille de sang , brutalite ,violence  ,jusqu'au moment ou je me rendis compte que je me trouvais dans le camps adverse . Je continuais  mon chemin n'ayant pas le choix  , je ne pus revenir en arriere de toutes les manieres

apres environs dix minutes  de marche je vois entre le feuillage epais une silouette etrange  avec une queue , je continue a avancer pour mieux distinguer de quelle animal ou il  sagit mais un grognement enorme qui me fit tremble tellement j'etais horrifies puisque je venais de voir cette extra terrestre ou animal douee d'intilligence puis qu'il tpoter sur un clavier , il etait repugnant  avec une longue  et grosse queue ,tout son corp etait couvert d'ecailles, il avait une tete allonger des yeux globulleux ,de la bave  coulait  de sa bouche il avait une mitraillete mais ce n'etait pas une simple arme comme la mienne elle etait beaucoup plus perfectionnes  . J'ai essaye d'etablire un contact il ne me laissa pas approcher et tira dans tous les sens par chance il n'arriva pas a m'atteindre alors voyant que je n'avait aucune chance contre lui,j'ai essaye de le mettre en confiance en mettant mon arme a terre et en levant les mains .

           Apres une longue  discussionnous devinrent des bons amis nous aprimes a nous connaitre nous parlames de nos different mode de vie il acccepta de me proteger  puis il m'emmena sur sa planete ou j'ai reussi a m'adapter et a m'integrer malgre mon physique (Je sais que c'est nul ) merci de m'aider




4 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 21 oct. 2014

Tu as fait plein de faute d'orthographe voici ton texte corriger.


Je venais de sortir de cet enfer de bataille de sang, brutalité, violence, jusqu'au moment où je me rendis compte que je me trouvais dans le camp adverse. Je continuais mon chemin n'ayant pas le choix, je ne pus revenir en arrière de toutes les manières

Après environs dix minutes de marche je vois entre le feuillage épais une silhouette étrange avec une queue , je continue à avancer pour mieux distinguer de quel animal où il s'agit mais un grognement énorme qui me fit tremble tellement j'étais horrifies puisque je venais de voir cette extra-terrestre ou animal douée d'intelligence puis qu'il tapoter sur un clavier , il était répugnant avec une longue et grosse queue ,tout son corps était couvert d'écailles, il avait une tête allonger des yeux globuleux ,de la bave coulait de sa bouche il avait une mitraillette mais ce n'était pas une simple arme comme la mienne elle était beaucoup plus perfectionnes . J'ai essaye d'établir un contact, il ne me laissa pas approcher et tira dans tous les sens par chance, il n'arriva pas à m'atteindre alors voyant que je n'avais aucune chance contre lui, j'ai essaye de le mettre en confiance en mettant mon arme a terre et en levant les mains.

Après une longue discussion nous devint des bons amis, nous apprîmes à nous connaitre, nous parlâmes de nos diffèrent mode de vie, il accepta de me protéger puis il m'emmena sur sa planète où j'ai réussi à m'adapter et à m'intégrer malgré mon physique (je sais que c'est nul ) merci de m'aider

Anonyme
Posté le 21 oct. 2014

Est ce que tu peut me suggere des idee ou des mot a enlevee

 

Anonyme
Posté le 21 oct. 2014

J'ai fait une autre vos avis ??? 

Je me suis échappé et caché dans un ermitage en ruines au milieu d’un désert de cratères. Je regarde les écureuils avec une longue queue rousse, monter dans les noyers pour chercher à manger. J'ai faim et je n'ai pas mangé depuis longtemps.Tentant de me mettre à l’abri , au fond de ce désert hostile dans lequel on m’a envoyé depuis je ne sais combien de temps. Puis soudain je sens une présence mais surtout une odeur fétide semblable à celle d’une dépouille qui m’assaille les narines. Je dois avouer que j’ai eu peur. Mourir m’est égal mais voir ces monstre m’effraye, me terrorise. Malheureusement ça ne pouvait qu’être un d’entre eux, la seule race qui puisse exister. Je me retournais lentement et découvrait progressivement ce qu’il était même si je savais à quoi m’attendre. C’était un des compagnons de L’Autre que je tuai, il avait réussi à s’enfuir et à se cacher, rempli de peur, en plein désarroi. Ses gémissements étaient horribles, ils les émettaient tout en étant accoudé sur le mur, ou du moins ce qu’il en reste. Malgré l’épuisement qu’il laissait paraitre il avait encore la force dans son regard, ses yeux globuleux dont pouvait distinguer chacune des veines montraient toute la haine qui semblait être éprouvée par ce mauvais, laid, abjecte, atroce, épouvantable, abominable, horrible créature qui n’était qu’un cadavre vivant et dénué de toute forme d’humanité, qui n’attendais qu’une seule chose : faire encore une fois de plus un geste machinal pour la énième fois sur son arme dans le but de m’ôter la vie parce que l’on lui a demandé et qu’il faisait partie du camp adverse . J’en avais la certitude, c’était la fin au moins je n’aurais plus à revoir ces êtres ignobles, mais il succombait petit à petit à l’anéantissement qui l’envahissait, il tomba d’abord sur ce qui semblait être ses genoux et puis sur tous son corps ou du moins qui paraissait en être un. Il était là dépourvu de toute vie il me fit penser à son compagnon. Enfin je regardais le même tableau, encore une fois.

 

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willffy
willffy
Posté le 21 oct. 2014

Je dois avouer que j’ai  peur. Mourir m’est égal mais voir ces monstres m’effraye, me terrorise. Malheureusement ça ne pouvait qu’être l'un d’entre eux, la seule race qui puisse exister. Je me retournai lentement et découvris progressivement ce qu’il était même si je savais à quoi m’attendre. C’était un des compagnons de L’Autre que je tuai, il avait réussi à s’enfuir et à se cacher, rempli de peur, en plein désarroi. Ses gémissements étaient horribles, ils les émettaient tout en étant accoudé sur le mur, ou du moins ce qu’il en reste. Malgré l’épuisement qu’il laissait paraitre il avait encore la force dans son regard, ses yeux globuleux dont je pouvais distinguer chacune des veines montraient toute la haine qui semblait être éprouvée par ce mauvais, laid, abjecte, atroce, épouvantable, abominable, horrible créature qui n’était qu’un cadavre vivant et dénué de toute forme d’humanité, qui n’attendait qu’une seule chose : faire encore une fois de plus un geste machinal pour la énième fois sur son arme dans le but de m’ôter la vie parce qu'on le lui a demandé et qu’il faisait partie du camp adverse . J’en avais la certitude, c’était la fin au moins je n’aurais plus à revoir ces êtres ignobles, mais il succombait petit à petit à l’anéantissement qui l’envahissait, il tomba d’abord sur ce qui semblait être ses genoux et puis sur tout son corps ou du moins ce  qui paraissait en être un. Il était là dépourvu de toute vie il me fit penser à son compagnon. Enfin je regardai le même tableau, encore une fois.

 

pour l'orthographe .

 


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