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Sujet du devoir
Je dois dire comment la scène 9 de l'acte 5 répond à la scène d'exposition de l'école des femmes? en citant le texteOù j'en suis dans mon devoir
je pense qu'elle répond à la scène d'exposition car Agnès va être marié non pas à Arnolphe mais à Chrysalde et on découvre plein de choses sur le passé d'Agnès.3 commentaires pour ce devoir
La dernière scène "clot" la pièce, elle résout donc tout c'est en cela qu'elle répond à la première. Arnolphe quitte la pièce : il n'a plus sa place sur scène, Horace et Agnès se marieront,
Agnès retrouve son oncle et son père. Elle change de statue en passant d'une jeune fille pauvre à une jeune femme riche.
Il faut que vous constatiez l'évolution des personnages : prenez par exemple ce qui fait que l'on peut dire qu'Agnès est pauvre dans l'exposition et comparer le à ce qui fait qu'Agnès est riche dans cette scène (en citant le texte évidemment), idem pour Arnophle et ses désillusions, ...
Agnès retrouve son oncle et son père. Elle change de statue en passant d'une jeune fille pauvre à une jeune femme riche.
Il faut que vous constatiez l'évolution des personnages : prenez par exemple ce qui fait que l'on peut dire qu'Agnès est pauvre dans l'exposition et comparer le à ce qui fait qu'Agnès est riche dans cette scène (en citant le texte évidemment), idem pour Arnophle et ses désillusions, ...
voici le texte
ARNOLPHE
Venez, belle, venez
Qu’on ne saurait tenir, et qui vous mutinez,
Voici votre galant, à qui pour récompense
Vous pouvez faire une humble et douce révérence (À Horace)
Adieu, l’événement trompe un peu vos souhaits ;
Mais tous les amoureux ne sont pas satisfaits.
AGNÈS
Me laissez-vous, Horace, emmener de la sorte ?
HORACE
Je ne sais où j’en suis, tant ma douleur est forte.
ARNOLPHE
Allons, causeuse, allons.
AGNÈS
Je veux rester ici.
ORONTE
Dites-nous ce que c’est que ce mystère-ci,
Nous nous regardons tous sans le pouvoir comprendre.
ARNOLPHE
Avec plus de loisir je pourrai vous l’apprendre,
Jusqu’au revoir.
ORONTE
1730
Où donc prétendez-vous aller ?
Vous ne nous parlez point, comme il nous faut parler.
ARNOLPHE
Je vous ai conseillé malgré tout son murmure,
D’achever l’hyménée [35] .
ORONTE
Oui, mais pour le conclure
Si l’on vous a dit tout, ne vous a-t-on pas dit
1735
Que vous avez chez vous celle dont il s’agit ?
La fille qu’autrefois de l’aimable Angélique
Sous des liens secrets eut le seigneur Enrique.
Sur quoi votre discours était-il donc fondé ?
CHRYSALDE
Je m’étonnais aussi de voir son procédé.
ARNOLPHE
Quoi...
CHRYSALDE
1740
D’un hymen [36] secret ma sœur eut une fille,
Dont on cacha le sort à toute la famille.
ORONTE
Et qui sous de feints noms pour ne rien découvrir,
Par son époux aux champs fut donnée à nourrir.
CHRYSALDE
Et dans ce temps le sort lui déclarant la guerre,
1745
L’obligea de sortir de sa natale terre.
ORONTE
Et d’aller essuyer mille périls divers
Dans ces lieux séparés de nous par tant de mers.
CHRYSALDE
Où ses soins ont gagné ce que dans sa patrie
Avaient pu lui ravir l’imposture et l’envie [37] .
ORONTE
1750
Et de retour en France, il a cherché d’abord
Celle à qui de sa fille il confia le sort.
CHRYSALDE
Et cette paysanne a dit avec franchise,
Qu’en vos mains à quatre ans elle l’avait remise.
ORONTE
Et qu’elle l’avait fait sur votre charité [38] ,
1755
Par un accablement d’extrême pauvreté.
CHRYSALDE
Et lui plein de transport, et l’allégresse en l’âme [39]
A fait jusqu’en ces lieux conduire cette femme.
ORONTE
Et vous allez, enfin, la voir venir ici
Pour rendre aux yeux de tous ce mystère éclairci.
CHRYSALDE
1760
Je devine à peu près quel est votre supplice,
Mais le sort en cela ne vous est que propice ;
Si n’être point cocu vous semble un si grand bien,
Ne vous point marier en est le vrai moyen.
ARNOLPHE, s’en allant tout transporté et ne pouvant parler.
Oh !
ORONTE
D’où vient qu’il s’enfuit sans rien dire ?
HORACE
Ah mon père
1765
Vous saurez pleinement ce surprenant mystère.
Le hasard en ces lieux avait exécuté
Ce que votre sagesse avait prémédité.
J’étais par les doux nœuds d’une ardeur mutuelle [40] ,
Engagé de parole avecque cette belle ;
1770
Et c’est elle en un mot que vous venez chercher,
Et pour qui mon refus a pensé vous fâcher.
ENRIQUE
Je n’en ai point douté d’abord que je l’ai vue,
Et mon âme depuis n’a cessé d’être émue.
Ah ! ma fille, je cède à des transports si doux.
CHRYSALDE
1775
J’en ferais de bon cœur, mon frère, autant que vous.
Mais ces lieux et cela ne s’accommodent guères ;
Allons dans la maison débrouiller ces mystères,
Payer à notre ami ses soins officieux,
Et rendre grâce au Ciel qui fait tout pour le mieux
ARNOLPHE
Venez, belle, venez
Qu’on ne saurait tenir, et qui vous mutinez,
Voici votre galant, à qui pour récompense
Vous pouvez faire une humble et douce révérence (À Horace)
Adieu, l’événement trompe un peu vos souhaits ;
Mais tous les amoureux ne sont pas satisfaits.
AGNÈS
Me laissez-vous, Horace, emmener de la sorte ?
HORACE
Je ne sais où j’en suis, tant ma douleur est forte.
ARNOLPHE
Allons, causeuse, allons.
AGNÈS
Je veux rester ici.
ORONTE
Dites-nous ce que c’est que ce mystère-ci,
Nous nous regardons tous sans le pouvoir comprendre.
ARNOLPHE
Avec plus de loisir je pourrai vous l’apprendre,
Jusqu’au revoir.
ORONTE
1730
Où donc prétendez-vous aller ?
Vous ne nous parlez point, comme il nous faut parler.
ARNOLPHE
Je vous ai conseillé malgré tout son murmure,
D’achever l’hyménée [35] .
ORONTE
Oui, mais pour le conclure
Si l’on vous a dit tout, ne vous a-t-on pas dit
1735
Que vous avez chez vous celle dont il s’agit ?
La fille qu’autrefois de l’aimable Angélique
Sous des liens secrets eut le seigneur Enrique.
Sur quoi votre discours était-il donc fondé ?
CHRYSALDE
Je m’étonnais aussi de voir son procédé.
ARNOLPHE
Quoi...
CHRYSALDE
1740
D’un hymen [36] secret ma sœur eut une fille,
Dont on cacha le sort à toute la famille.
ORONTE
Et qui sous de feints noms pour ne rien découvrir,
Par son époux aux champs fut donnée à nourrir.
CHRYSALDE
Et dans ce temps le sort lui déclarant la guerre,
1745
L’obligea de sortir de sa natale terre.
ORONTE
Et d’aller essuyer mille périls divers
Dans ces lieux séparés de nous par tant de mers.
CHRYSALDE
Où ses soins ont gagné ce que dans sa patrie
Avaient pu lui ravir l’imposture et l’envie [37] .
ORONTE
1750
Et de retour en France, il a cherché d’abord
Celle à qui de sa fille il confia le sort.
CHRYSALDE
Et cette paysanne a dit avec franchise,
Qu’en vos mains à quatre ans elle l’avait remise.
ORONTE
Et qu’elle l’avait fait sur votre charité [38] ,
1755
Par un accablement d’extrême pauvreté.
CHRYSALDE
Et lui plein de transport, et l’allégresse en l’âme [39]
A fait jusqu’en ces lieux conduire cette femme.
ORONTE
Et vous allez, enfin, la voir venir ici
Pour rendre aux yeux de tous ce mystère éclairci.
CHRYSALDE
1760
Je devine à peu près quel est votre supplice,
Mais le sort en cela ne vous est que propice ;
Si n’être point cocu vous semble un si grand bien,
Ne vous point marier en est le vrai moyen.
ARNOLPHE, s’en allant tout transporté et ne pouvant parler.
Oh !
ORONTE
D’où vient qu’il s’enfuit sans rien dire ?
HORACE
Ah mon père
1765
Vous saurez pleinement ce surprenant mystère.
Le hasard en ces lieux avait exécuté
Ce que votre sagesse avait prémédité.
J’étais par les doux nœuds d’une ardeur mutuelle [40] ,
Engagé de parole avecque cette belle ;
1770
Et c’est elle en un mot que vous venez chercher,
Et pour qui mon refus a pensé vous fâcher.
ENRIQUE
Je n’en ai point douté d’abord que je l’ai vue,
Et mon âme depuis n’a cessé d’être émue.
Ah ! ma fille, je cède à des transports si doux.
CHRYSALDE
1775
J’en ferais de bon cœur, mon frère, autant que vous.
Mais ces lieux et cela ne s’accommodent guères ;
Allons dans la maison débrouiller ces mystères,
Payer à notre ami ses soins officieux,
Et rendre grâce au Ciel qui fait tout pour le mieux
Ils ont besoin d'aide !
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Comment veut-tu qu'on t'aide si on n'a pas étudié le texte ? Tu pourrais pas nous le recopier pour qu'on puisse t'aider ? Sa serait plus facile de t'aider avec le texte.Voilà sinon bon courage pour ton devoir,et bonne continuation.
Cordialement
Rania