L'enfant de jules valles

Publié le 31 mars 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 2 avr. 2010 dans 14A
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Sujet du devoir

Bonjour, j'aimerais avoir un résumé détaillé de l'enfant de jules valles j'ai lu jusqu'à "projet d'évasion"

Où j'en suis dans mon devoir

j'ai lu jusqu'au chapitre 15 "projet d'évasion" mais je n'ai pas trop compris j'aimerais que vous m'aidiez svp



3 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 31 mars 2010
Bonsoir à toi Potontos, look sur ce site je pense qu'il t'aideras :

http://www.alalettre.com/valles-oeuvres-enfant.php
Anonyme
Posté le 31 mars 2010
Bonsoir,

Tout d'abord il faut savoir qui est Jules Valès:

Fils d'un professeur de collège méprisé et d'une paysanne bornée, jules Vallès raconte : « Ma mère dit qu'il ne faut pas gâter les enfants et elle me fouette tous les matins. Quand elle n'a pas le temps le matin, c'est pour midi et rarement plus tard que quatre heures. » Cette enfance ratée, son engagement politique pour créer un monde meilleur, l'insurrection de la Commune, jules Vallès les évoqua, à la fin de sa vie, dans une trilogie : L'Enfant, Le Bachelier et L'Insurgé.



L'Enfant est un roman de Jules Vallès (1832-1885), publié initialement sous le titre de Jacques Vingtras I et sous forme de feuilleton dans le Siècle, du 25 juin au 3 août 1878.

Il s'agit du premier tome d'une trilogie romanesque consacrée à un même personnage et intitulée Mémoires d'un révolté. Le roman présenté ici s'attache tout particulièrement à la partie de l'enfance, comme le titre actuel l'indique. Comme l'auteur, l'enfant connaît une jeunesse malheureuse et pauvre.

C'est le premier livre de la trilogie sur l'autobiographie de Jules Vallès (1832-1885). Les deux autres sont Le Bachelier et L'Insurgé qui conte l'histoire de la commune.

Jacques a cinq ans. Il est le fils d'une mère paysanne, injuste et sournoise, et d'un père professeur. Il raconte : "Ma mère dit qu'il ne faut pas gâter les enfants et me fouette tous les matins. Quand elle n'a pas le temps le matin, c'est pour midi et rarement plus tard que quatre heures".

La dédicace du livre est dédiée à tous les enfants martyrs.

La Famille comporte un certain nombre d'oncles et de tantes, des personnages plus agréables et plus sympathiques. Jacques tombe amoureux de ses cousines.

Après l'oppression maternelle, Jacques connaît l'oppression du collège : il y mange mal, et subit d'autres punitions. Les professeurs sont, eux, d'affreux pédants. L'un d'eux, un philosophe ridicule, prétend même apporter à Jacques les preuves de l'existence de Dieu !

Jacques évoque la petite ville où se trouve son école et la toilette ridicule que sa mère lui oblige de porter. Encore l'humiliation !

Les vacances sont synonymes de détente . Jacques y retrouve quelques libertés.

Son père est nommé à Saint Etienne et toute la famille déménage avec lui. Le narrateur va découvrir de nouvelles personnes, plutôt sympathiques dont Monsieur Fabre. Toutefois, il s'ennuie au lycée. Seule la lecture de Robinson Crusoé le fait rêver.

Les vieilles habitudes maternelles continuent. Les repas sont toujours pénibles : il faut manger ce que l'on n'aime pas et laisser ce qu'on préfère.

La famille très peu aisée, épargne durement.

Un voyage au pays lui permet de goûter à nouveau à la liberté. Jacques se met également à imaginer des projets d'évasion. Mais il doit rentrer.

La famille connaît alors l'infidélité du père qui, las d'une femme détestable, cherche réconfort dans d'autres bras. La famille part vers Nantes.

Sa mère ne cesse de faire honte à son fils. Elle se montre aussi intraitable et cruelle envers les domestiques successives qu'elle exploite.

Martyriser ses enfants, est naturel à l'époque. Louisette, la fille d'un ami de la famille meurt. Elle est victime des mauvais traitements infligés par son père.

Jacques est bon élève. Suite à une aventure avec Madame Devinol, il est envoyé à la pension Legnana, à Paris.

Désespéré, il échoue dans ses études. Sa mère vient le chercher pour le ramener à Nantes. Ce retour est pour lui, une véritable délivrance. Il se réconcilie avec son père et annonce sa décision: il sera ouvrier !

C'est dommage que tu ne le lises pas il a l'air d'être très interressant !
Anonyme
Posté le 31 mars 2010
Re :
Jacques, le narrateur, a au début du récit, 5 ans. Il est le fils d'une mère paysanne, injuste et sournoise, et d'un père professeur. Il raconte : "Ma mère dit qu'il ne faut pas gâter les enfants et me fouette tous les matins. Quand elle n'a pas le temps le matin, c'est pour midi et rarement plus tard que quatre heures". Jacques est triste et seul.

Heureusement la Famille comporte un certain nombre d'oncles et de tantes, des personnages plus agréables et plus sympathiques. Jacques tombe amoureux de ses cousines.

Après l'oppression maternelle, Jacques connaît l'oppression du collège : il y mange mal, et subit d'autres punitions. Les professeurs sont, eux, d'affreux pédants. L'un d'eux, un philosophe ridicule, prétend même apporter à Jacques les preuves de l'existence de Dieu.

Puis Jacques évoque la petite ville où se trouve son école et la toilette ridicule que sa mère lui oblige de porter. Heureusement les vacances sont synonymes de détente. Jacques y retrouve un semblant de liberté.

Son père est nommé à Saint-Etienne et toute la famille déménage avec lui. Le narrateur va découvrir de nouvelles personnes, plutôt sympathiques. Mais Il s'ennuie au lycée, ceci malgré la lecture de Robinson Crusoé.

Les vieilles habitudes maternelles resurgissent. Les repas sont toujours pénibles : il faut manger ce que l'on n'aime pas et laisser ce qu'on préfère. La famille épargne durement.

Un voyage au pays lui permet de goûter à nouveau à la liberté. Jacques se met également à imaginer des projets d'évasion. Mais il faut rentrer. La famille connaît alors un drame : l'infidélité du père qui cherche réconfort dans d'autres bras. Puis avant le départ vers Nantes, Jacques évoque ses souvenirs. Sa mère ne cesse de faire honte à son fils. Elle se montre également intraitable et cruelle envers les domestiques successives qu'elle exploite.

Louisette, la fille d'un ami de la famille meurt, victime des mauvais traitements infligés par son père. Jacques, lui, est un bon élève. Mais suite à une aventure avec Mme Devinol, on l'envoie à la pension Legnana, située à Paris. Mais il échoue dans ses études. Sa mère vient le chercher pour le ramener à Nantes. Ce retour est pour lui, une véritable délivrance. Il se réconcilie avec son père et annonce sa décision : il sera ouvrier.

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