Lucien

Publié le 30 sept. 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 1 oct. 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

La nuit même, le malheureux fut réveillé pas des douleurs épouvantables. Il était pris dans un étau, broyé par les mâchoires féroces de quelque fléau. Quel était ce mal qui lui fondait dessus ? Et pourquoi sur lui plutôt que sur un autre ? Quelle punition lui était infligée ? « C'est la fin », se dit-il.

5)a)a quelle ligne voit-on une rupture .Quelle expression introduit la rupture?

b)A quel temps sont les verbes qui marquent cette rupture ? Précisez sa valeur ?

Où j'en suis dans mon devoir

jai fait le a) mais le b jarive pasfaire le b) a par que ses du passé simple mais la valeur ses dur alors que je suis en troisieme je devrai le savoir



5 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 30 sept. 2010
bonsoir Patricia, qu'as tu répondu pour le a)?
Anonyme
Posté le 30 sept. 2010
j'ai repondu:
Nous voyons une rupture a la ligne 6.L'expression qui l'introduit est la suivante: La nuit même.
Anonyme
Posté le 30 sept. 2010
ok
donc tout le texte n'est pas noté ici si je comprends bien.
En effet il peut s'agir d'une rupture qui commence par "la nuit même", dans ce cas je pense que cela va jusqu'à la fin de l'extrait que tu as écrit.

donc on trouve des verbes à plusieurs temps
du passé simple, de l'imparfait et du présent

le passé simple montre la rupture, quelque chose qui arrive d'un seul coup.
l'imparfait montre quelque chose qui dure dans le temps
et le présent exprime la pensée immédiate (il parle tout haut puisque c'est entre guillemets)
Anonyme
Posté le 30 sept. 2010
le texte entier ses sa
Lucien était douillettement recroquevillé sur lui-même. C'était sa position favorite. Il ne s'était jamais senti aussi détendu, heureux de vivre. Tout son corps était au repos, léger, presque aérien. Il si sentait flotter. Pourtant, il n'avait absorbé aucune drogue pour accéder à cette sorte de béatitude. Lucien était calme et serein naturellement ; bien dans sa peau, comme on dit. Un bonheur égoïste, somme toute.

La nuit même, le malheureux fut réveillé pas des douleurs épouvantables. Il était pris dans un étau, broyé par les mâchoires féroces de quelque fléau. Quel était ce mal qui lui fondait dessus ? Et pourquoi sur lui plutôt que sur un autre ? Quelle punition lui était infligée ? « C'est la fin », se dit-il.

Il s'abandonna à la souffrance en fermant les yeux, incapable de résister ce flot qui le submergeait, l'entraînant loin des rivages familiers. Il n'avait plus la force de bouger. Un carcan l'emprisonnait de la tête aux pieds. Il se sentait emporté vers un territoire inconnu qui l'effrayait déjà. Il crut entendre une musique abyssale. Sa résistance faiblissait. Le néant l'attirait.

Un sentiment de solitude l'envahit. Il était seul dans son épreuve. Personne ne pouvait l'aider. Il devrait franchir le passage en solitaire. P as moyen de faire autrement.

« C'est la fin », se répéta-t-il.

La douleur finit par être si forte qu'il faillit perdre la raison et soudain ce fut comme un déchirement en lui. Et puis, soudain, ce fut lumière intense l'aveugla. Ses poumons s'embrasèrent. Il poussa un cri.
En le tirant par les pieds, la sage-femme s'exclama, d'une voix tonitruante : « C'est un garçon ! »
Lucien était né


Claude Bourgeyx, « Lucien », in Les Petits Outrages,
Anonyme
Posté le 30 sept. 2010
avec le texte entier, je pense que ta première solution n'est pas tout à fait exacte,

il me semble que le mot SOUDAIN marque davantage la rupture, c'est aussi à ce moment qu'on trouve uniquement des verbes au passé simple : ce fut, la lumière l'aveugla, ses poumons s'embrasèrent, il poussa un cri, la sage femme s'exclama
ce sont des verbes au passé simple qui expriment une action passée soudaine, rapide .

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