Notice Biographique de Maupassant.

Publié le 12 oct. 2011 il y a 12A par Anonyme - Fin › 14 oct. 2011 dans 12A
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Sujet du devoir

Donc je voudrais savoir :
4 Professions que Guy de Maupassant à exercées.
La Situation de famille.
Passion(s).
Comment cette maladie s'est elle manifestée ? ( Sa maladie dont il est mort )
Des étapes importantes de ça vie
Par quel écrivain français Maupassant a-t-il été encouragé et influencé.
Et a quelle date et quelle oeuvre c'est fait connaître.

Voilà j'espère que vous aller m'aider c'est la première fois que je poste sur Devoirs.fr ! Merci!

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai déjà effectué la moitié, son Nom,prénom,pseudonymes,naissance,décès, oeuvres importantes et trois auteurs contemporains...



4 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 12 oct. 2011
Tu trouveras tout ce qui te manque là :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Guy_de_Maupassant
Anonyme
Posté le 12 oct. 2011
Oui peut être j'avais vu mais il n'y avais pas ce que je cherchai.
Merci
Anonyme
Posté le 12 oct. 2011
Comment tu met dans ton profil : Points forts : aucun , Points faibles : aucun car je me suis un peut tromper je voudrais enlever ? Merci.
Anonyme
Posté le 13 oct. 2011
Bonsoir,

En 1870, à la déclaration de guerre, il s’engagea comme garde mobile, fut versé à l’intendance divisionnaire de Rouen
Puis, en mars 1872, on lui offrit des fonctions non rémunérées à la bibliothèque ;
Enfin, en octobre, il fut nommé surnuméraire à la direction des Colonies du même ministère
Le 1er février 1873, il fut appointé 125 F par mois comme rédacteur au ministère de la Marine
En 1874, Gustave Flaubert, qui passait alors ses hivers à Paris, l’introduisit dans les principaux salons, dont celui de la princesse Mathilde, le mit en relations aves des écrivains en vue tels que Hérédia, Bergerat, Huysmans, Zola, Daudet, Alexis, Banville, Catulle Mendès, Mirbeau, Edmond de Goncourt, Tourguenieff, lui fit connaître Charpentier, son propre éditeur.

Sa naissance, le 5 août 1850, a été déclarée à la mairie de Tourville-sur-Arques (Seine-Maritime), près de Dieppe, de laquelle dépendait administrativement le château de Miromesnil qui aurait été « loué pour la circonstance », peut-être afin que, par ce subterfuge s’effacent les traces d’une naissance bourgeoise qui aurait plus sûrement eu lieu à Fécamp.
Il était le fils de Laure Le Poittevin, une Normande dont Armand Lanoux, s’appuyant sur les témoignages de ceux qui la connurent, nous dit que c’était « une névropathe de charme » qui aurait d’ailleurs tenté de de suicider avec sa longue chevelure et dont ses fils allaient hériter une forte tendance à la dépression. Elle était la sœur d’Alfred Le Poittevin, qui était le filleul du dr Flaubert et l’ami de coeur de Gustave Flaubert mais qui avait épousé Louise, sœur de Gustave Maupassant. Celui-ci, le père du futur écrivain, était un bel homme mais velléitaire, frivole, incertain, lointain, déséquilibré, violent, incapable d’assumer son rôle de chef de famille. Laure lui aurait déclaré : « Je vous épouserai à la condition que vous vous trouviez une particule. Cherchez dans les siècles passés, peut-être que Maupassant s’appelait de Maupassant. » Il avait cherché, et trouvé que ses ancêtres, d’origine lorraine, avaient été anoblis au XVIIIe siècle et s’étaient fixés en Normandie. Certains ont avancé que Flaubert était le vrai père de Guy, mais rien ne le prouve ; d’ailleurs, au moment de sa conception, l’écrivain s’embarquait à Marseille pour l’Égypte.

il commença à canoter avec ardeur, des heures durant, sur la Seine que, chaque fin de semaine, il parcourait avec sa yole, en aval de Paris, du côté de Bougival et de Chatou, fréquentant « les guinguettes » où l’on s’amusait, dans des lieux que peindront les impressionnistes, ces sorties allant lui fournir la matière de plusieurs nouvelles. Il s’adonna à des parties de campagne, des farces d’artistes, des beuveries, des aventures avec des « filles de petite vertu ». Mais il se lia aussi d’amitié avec Henry Céard, Robert Pinchon, Léon Fontaine, A. de Joinville, formant ainsi avec eux «le groupe des Cinq». Mais sa plus grande joie était de passer ses vacances à Étretat, lieu propice à toutes les rencontres de poètes, d'artistes et de femmes, les aimant (« les seules personnes dont le commerce me plaise vraiment ») et étant aimé car il était un bel athlète au visage plein, au teint fleuri, barré par une épaisse moustache blonde, au regard ardent débordant de sensuelle vitalité, à l’encolure de taureau (les Goncourt l’ont surnommé « le taureau normand »), aux épaules larges ; il était gai, grand blagueur. Il se promenait le nez au vent, les moustaches en crocs, l’œil fripon, la canne virevoltante, l’œillet à la boutonnière dans les promenoirs des halles aux filles ou sur les boulevards, en quête de chair à plaisir bienvenue pourvu qu’elle ne soit que cela. Car il préférait trouver le plaisir auprès de femmes faciles avec lesquelles il n’avait que des liaisons courtes, seul l’amour physique lui paraissant respectable.

Le 28 août 1876, il fit part à Flaubert d’inquiétudes concernant sa santé. Celui-ci le mit en garde : « Je vous engage à vous modifier, dans l’intérêt de la littérature. » C’était une allusion aux abus auxquels son protégé se livrait et qui devaient abréger ses jours, usage de drogue et intempérance sexuelle. En effet, condamnant toute forme d’attachement (il ironisait : « J’ai peur de la plus petite chaîne, qu’elle vienne d’une idée ou d’une femme […] Je suis le mauvais passant. » [lettre à Catulle Mendès, 1876]), il courait infatigablement le cotillon, multipliait les conquêtes, se vantant de les compter par centaines, faisant montre de capacités sexuelles hors du commun. Parmi tant de maîtresses, la plus importante (par la place qu’elle tint dans sa vie) fut Gisèle d’Estoc. Comme il était aussi un habitué des bordels, il contracta la syphilis, se réjouissant, dans une lettre absurde et enfantine à Robert Pinchon du 21 mars 1877, de l'avoir attrapée comme un grand garçon : « J’ai la vérole ! enfin ! la vraie !! pas la méprisable chaude-pisse, pas l’ecclésiastique christalline, pas les bourgeoises crêtes de coq, ou les légumineux choux-fleurs, non, non, la grande vérole, celle dont est mort François Ier.»
Terrassé par une convulsion, il mourut le 6 JUILLET 1893, «des suites d’une syphilis à marche neurotrope». Mourait à l'âge de quarante-trois ans, alors qu'il était fêté partout, celui qu’on a appelé «un météore», que la maladie et la folie avaient emporté en le préservant de cette dégradation perfide évoquée avec angoisse dans bon nombre de ses écrits.

En 1874, Gustave Flaubert, qui passait alors ses hivers à Paris, l’introduisit dans les principaux salons, dont celui de la princesse Mathilde, le mit en relations aves des écrivains en vue tels que Hérédia, Bergerat, Huysmans, Zola, Daudet, Alexis, Banville, Catulle Mendès, Mirbeau, Edmond de Goncourt, Tourguenieff, lui fit connaître Charpentier, son propre éditeur. Chez Zola, il rencontra Cézanne, Duranty, Taine, Renan, Maxime Du Camp et Maurice Sand. Il n’avait pas atteint vingt-cinq ans que, déjà, avant même d’avoir publié une seule ligne, il était mêlé au Tout-Paris littéraire.

‘’Boule de suif’’(1880)Nouvelle de 50 pages
Durant la guerre de 1870, une prostituée qui se rendait de Rouen au Havre est persuadée par ses compagnons de voyage de se livrer à un officier prussien décidé à retenir la diligence tant qu’elle n’aura pas satisfait le désir qu’il a d’elle.

Presque inconnu, Maupassant obtint son premier succès , qui détermina sa vocation de conteur. Mais, si la nouvelle était parue dans le recueil dirigé par Zola, il prit soin de garder ses distances avec le naturalisme, comme avec toute théorie, soucieux qu’il était de se ménager, en littérature, la même indépendance qu’en matière d’opinions


Je vous lasse noter dans le document de site qui suit les grandes étapes de sa vie :

www.comptoirlitteraire.com/docs/194-maupassant.doc

Bonne lecture.







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