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Sujet du devoir
3. Rendre hommage
a. Vers 31 et 32 : - Qui est désigné par le pronom “nous” ? A qui Jean Ferrat
s’adresse-t-il donc directement ?
b. Quel rôle l’auteur donne-t-il alors à sa chanson ?
c. Quels sont donc les intentions du chanteur à travers les vers 31 et 32 ? Réponds à
cette question en développant ta réponse et en reprenant les idées données par les
deux réponses précédentes.
Vous pouvez, bien sûr, chercher la chanson de Jean Ferrat et être attentif au rythme de la
musique, pour observer comment elle suit les idées du chanteur.
Puis:
Exercice 1 :
Accordez, si nécessaire, les participes passés de ces verbes pronominaux.
Elle s’est évanoui…. en arrivant.
Elles se sont bien amusé…. .
Nous nous sommes perdu…. .
Elles s’est lavé…. .
Elles s’est lavé…. les mains.
Ces articles se sont très bien vendu…. .
Ils se sont regardé…. et se sont souri…. .
Plusieurs incidents se sont succédé…. .
Elles se sont serré…. la main.
Exercice 2
Accordez, si nécessaire, les participes passés.
La recherche de scientifiques indiens a été récompensé…. .
Ils ont trouvé…. le lait le plus riche.
Où l’ont-ils trouvé… ?
Dans le ventre de cafards qui l’avaient fabriqué…. sous forme de cristaux.
Pourquoi les a-t-on laissé…. entreprendre ces recherches ?
La lutte contre la faim les avait motivé…. .
Les autres nations se sont-elles intéressé…. à cette découverte ?
Où j'en suis dans mon devoir
merci d'avance
Devoirs.fr va bientôt disparaître , rejoins nous sur :
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A bientôt . et merci de nous avoir fait confiance toutes ces années .
Toute l’équipe Digischool.
6 commentaires pour ce devoir
1° règle avec avoir: pas d'accord si le COD est placé après :
Ils ont trouvé le lait le plus riche : pas d'accord, le COD ( le lait) est placé après
Pourquoi les a-t-on laissés entreprendre ces recherches ? : accord, le COD( les ) au masculin pluriel est placé avant.
2° règle
avec être accord, sauf s'il y a un COD placé après:
Elle s’est lavée.: accord , il n'y a pas de COD
Elle s’est lavé les mains.: pas d'accord le COD ( les mains) est placé après
Donne tes réponses,je regarderai .
Sa ne m'aide pas
Pour t'aider à démarrer sur les questions relatives au texte:
a. Vers 31 et 32 : - Qui est désigné par le pronom “nous” ? n'est-ce pas plutôt le pronom "vous" ?A qui Jean Ferrat s’adresse-t-il donc directement ?
Il s'adresse à ceux qui aujourd'hui écoutent sa chanson pour qu'ils se souviennent de "vous", les déportés dans les camps nazis de la seconde guerre mondiale.
Merci je croix que ma prof de français c'est tromper
Mais qui donc est de taille à pouvoir m'arrêter ?
L'ombre s'est faite humaine, aujourd'hui c'est l'été
Je twisterais les mots s'il fallait les twister
Pour qu'un jour les enfants sachent qui vous étiez
Ils ont besoin d'aide !
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Voici le texte:
Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers,
Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés,
Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants,
Ils étaient des milliers, ils étaient vingt et cent.
Ils se croyaient des hommes, n'étaient plus que des nombres :
Depuis longtemps leurs dés avaient été jetés.
Dès que la main retombe, il ne reste qu'une ombre,
Ils ne devaient jamais plus revoir un été.
La fuite monotone et sans hâte du temps,
Survivre encore un jour, une heure, obstinément,
Combien de tours de roues, d'arrêts et de départs,
Qui n'en finissent pas de distiller l'espoir.
Ils s'appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel,
Certains priaient Jésus, Jéhovah ou Vishnou,
D'autres ne priaient pas, mais qu'importe le ciel,
Ils voulaient simplement ne plus vivre à genoux.
Ils n'arrivaient pas tous à la fin du voyage;
Ceux qui sont revenus peuvent-ils être heureux ?
Ils essaient d'oublier, étonnés qu'à leur âge
Les veines de leurs bras soient devenues si bleues.
Les Allemands guettaient du haut des miradors,
La lune se taisait comme vous vous taisiez,
En regardant au loin, en regardant dehors,
Votre chair était tendre à leurs chiens policiers.
On me dit à présent que ces mots n'ont plus cours,
Qu'il vaut mieux ne chanter que des chansons d'amour,
Que le sang sèche vite en entrant dans l'histoire,
Et qu'il ne sert à rien de prendre une guitare.
Mais qui donc est de taille à pouvoir m'arrêter ?
L'ombre s'est faite humaine, aujourd'hui c'est l'été,
Je twisterais les mots s'il fallait les twister,
Pour qu'un jour les enfants sachent qui vous étiez.
Vous étiez vingt et cent, vous étiez des milliers,
Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés,
Qui déchiriez la nuit de vos ongles battants,
Vous étiez des milliers, vous étiez vingt et cent.