Questions sur texte

Publié le 18 avr. 2013 il y a 11A par Anonyme - Fin › 25 avr. 2013 dans 11A
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Sujet du devoir


Nous étions un dimanche sur la grève, à l’éventail de la porte Saint-Thomas à l’heure de la marée. Au pied du château et le long du Sillon, de gros pieux enfoncés dans le sable protègent les murs contre la houle. Nous grimpions ordinairement au haut de ces pieux pour voir passer au-dessous de nous les premières ondulations du flux. Les places étaient prises comme de coutume : plusieurs petites filles se mêlaient aux petits garçons. J’étais le plus en pointe vers la mer, n’ayant devant moi qu’une jolie mignonne, Hervine Magon, qui riait de plaisir et pleurait de peur. Gesril se trouvait à l’autre bout du côté de la terre. Le flot arrivait, il faisait du vent ; déjà les bonnes et les domestiques criaient : « Descendez, Mademoiselle ! descendez, Monsieur ! » Gesril attend une grosse lame: lorsqu’elle s’engouffre entre les pilotis, il pousse l’enfant assis auprès de lui ; celui-là se renverse sur un autre : celui-ci sur un autre : toute la file s’abat comme des moines de cartes , mais chacun est retenu par son voisin ; il n’y eut que la petite fille de l’extrémité de la ligne sur laquelle je chavirai qui, n’étant appuyée par personne, tomba. Le jusant l’entraîne; aussitôt mille cris, toutes les bonnes retroussant leurs robes et tripotant dans la mer, chacune saisissant son marmot et lui donnant une tape. Hervine fut repêchée ; mais elle déclara que François l’avait jetée bas. Les bonnes fondent sur moi ; je leur échappe; je cours me barricader dans la cave de la maison : l’armée femelle me pourchasse. Ma mère et mon père étaient heureusement sortis. La Villeneuve4 défend vaillamment la porte et soufflette l’avant-garde ennemie. Le véritable auteur du mal, Gesril, me prête secours : il monte chez lui, et avec ses deux soeurs jette par les fenêtres des potées d’eau et des pommes cuites aux assaillantes.Elles levèrent le siège à l’entrée de la nuit; mais cette nouvelle se répandit dans la ville, et le chevalier de Chateaubriand, âgé de neuf ans, passa pour un homme atroce, un reste de ces pirates dont saint Aaron avait purgé son rocher .


Hervine affirme que c'est François qui la jetée bas, est ce ou non un mensonge? justifier votre réponse

Pouvez vous me dire si elle ment ou pas ?



"Mais elle déclara que François l'avait jetée bas"
Réecrivez cette phrase au discourt direct

Où j'en suis dans mon devoir

Réponse: Mais elle déclara : " François l'avait jetée bas" c'est sa ou pas ?

pour l'autre je ne sait pas si elle ment



2 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 18 avr. 2013
hervine ne ment pas :elle sait que françois l'a poussée mais elle n'a pas vu ce qui s'est passé dans son dos,c'est à dire que françois a été projeté sur elle lui-même poussé par l'enfant qui était derrière lui;il ne l'a pas heurtée volontairement,il n'a pas eu l'intention de la faire tomber.
es-tu d'accord?

style direct = entre guillemets,on met les paroles telles qu'on les dit réellement
Mais elle déclara : " François m'a jetée bas"

Anonyme
Posté le 18 avr. 2013
Ah oui c'était évidant car il n'a pas fait exprès de la faire tombé , Merci beaucoup !

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