Redaction dialogue avec son pere au sujet d'une cicatrice

Publié le 22 janv. 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 28 janv. 2010 dans 14A
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Sujet du devoir

Bonjour tout le monde,
Pouvez vous m'aider pour une rédaction s'il vous plait.
Je manque d'imagination
merci a vous

Où j'en suis dans mon devoir

sujet: "Intrigué par la cicatrice de mon pére, je cherche à en connaitre l'origine.Un matin, l'occasion se présente et la discussion s'engage avec lui."
Imaginez cette discussion en mêlant parties dialoguées et narratives.



6 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 22 janv. 2010
dans le où j'en suis, on ne met pas le sujet... on met où on en est... pour toi, on veut bien t'aider... mais il nous faut un minimul de tes idées... Quelle cicatrice imagines-tu ? 0 lz lzin ? au Pied ? à la tête ? et ton père travaille-t-il en usine ? Cette cicatrice vient-elle d'un sport ? Donnr-noud tes idées et on t'épaulera. A+
Anonyme
Posté le 22 janv. 2010
bonjour,
alors toi tu n'as pas d'imagination mais nous oui ...

allez je m'y colle
j'avais envoyé mais un problème d'ordi et tout est perdu je recommence

-bonjour papa tu vas bien ?
-oui ma fille aujourd'hui j'ai une journée de repos.
Tu fais quoi cet après-midi
- on va aller avec des copines faire du shopping au centre commercial
- tammy sois prudente
-mais papa ne t'inquiète pas, que veux tu qu'il m'arrive?
A ce moment là mon père soulève son tee shirt et me montre cette cicatrice que je connaissais mais dont j'ignorais l'origine
-tu vois cette cicatrice ma fille sais tu d'où elle me vient ?
-non, il y avait bien longtemps que j'aurais voulu savoir, mais je n'avais jamais osé demander.
-lorsque j'avais ton âge alors que je me promenais avec des copains, une vieille dame a été agressée et tirée sur plusieurs mètres, je me suis aussitôt porté à son secours, mais je n'avais pas vu qu'un des agresseurs avait un couteau qu'il m'a planté en plein torse. Inconscient , je me suis réveillé à l'hôpital où j'ai passé plusieurs jours entre la vie et la mort, aujourd'hui il me reste ça, alors fais bien attention à toi .
C'était donc cela mon père était un héros à sa manière
et d'ajouter
- tu vois ma fille tu as bien failli ne pas avoir de père et moi j'ai bien failli n'avoir jamais une adorable tammy ...

allez j'espère que cela te donnera des idées ..
Anonyme
Posté le 22 janv. 2010
Depuis toujours, j'étais intriguée par la cicatrice que mon père portait au bras gauche, mais jamais il n'avait voulu me dévoiler son origine. Ce dimanche matin, j'étais assise à la table de la cuisine, perdue dans mes pensées, les yeux rougis par le chagrin, encore minée par la récente rupture avec mon petit ami. C'est alors que mon père s'assit près de moi.

"ça ne va pas mon poussin?
- Si si... dis-je sur un ton pas très convainquant
- Tu veux qu'on aille se promener?
- Non je n'ai envie de rien."

Mon père soupira et un silence pesant s'installa dans la pièce. Je levais les yeux vers lui d'un air hagard. Il finit par poser sa main sur mon épaule et rompit le silence en ces termes:

"J'ai toujours eu peur de ce moment, le moment où tu devrais connaitre une déception amoureuse. C'est pour cela que j'ai eu tant de réticence à te voir sortir avec ce garçon. Mais j'ai du me rendre à l'évidence, tu n'es plus une enfant, tu es une jeune fille maintenant... Cela devait arriver tôt ou tard, premier amour, premier chagrin, tu sais c'est comme les shampoings: c'est une formule deux en un. L'un ne va pas sans l'autre."
Il laissa le silence prendre de nouveaux place entre nous et je ne pu m'empêcher de sourire en entendant cette comparaison. Puis il reprit.

"Tu sais j'ai connu la même chose moi aussi. Peut-être qu'il est temps que je te parle de cette mystérieuse cicatrise en haut de mon bras."

Cette dernière phrase attira mon attention. Alors c'était le moment, il allait enfin dévoiler le secret. Je m'étais imaginé tant d'histoires sur l'origine de cette cicatrice que je ne pu m'empêcher de frémir. J'oubliais mon chagrin pour un instant et le fixait avec attention, ouvrant grand mes oreilles.

"Tu sais j'ai connu d'autres femmes avant de rencontrer ta mère, beaucoup de femmes pour ne rien te cacher... Mais très peu ont vraiment comptées. A vrai dire, deux seulement ont su faire battre mon coeur. Ta mère bien sur, mais aussi mon premier amour. J'avais à peu près ton age quand je suis tombé amoureux de cette fille. Elle était différente des autres, du genre un peu rebelle tu vois mais très brillante... Je me souviens encore des poèmes qu'elle m'écrivait. J'ai toujours cru qu'elle deviendrait un écrivain célèbre. Bref, j'étais sur que c'était la femme de ma vie. J'ai partagé un an de ma vie avec elle. On s'était même fait des tatouages assortis. Mais pour que tu comprennes il faut que je te raconte notre rencontre.
Noémie, une nymphe sculptée par les anges. Des gouttelettes d'étoiles sur ses cheveux mouillés. Voici l'image que je garde de la toute première fois où je l'ai vue. C'était une soirée entre amis: quelques bouteilles d'alcool, des éclats de rire, Noémie sortant de la piscine. Noémie et son ciel étoilé. Noémie et ses ailes d'anges tatouées dans le dos. Elle semblait vulnérable. Un petit ange mouillé perdu dans cette foule, dans ce vacarme. Pourtant, elle n'était pas timide, c'est elle qui m'a abordé, c'est elle qui m'a fait la cour.
Et puis l'inévitable est arrivé, elle m'a quitté. J'ai laissé de nombreux messages sur son répondeur, où je l'aimais, où je la détestais. Elle ne m'a jamais répondu. Au bout du fil mon coeur était en morceaux. Mon coeur ne tenait plus qu'à ce fil téléphonique, et s'y accrochait comme à un ultime souffle de vie, un dernier espoir. J'ai passé un temps fou à me morfondre, des années en fait. J'ai enchaîné les conquêtes, me promettant de ne plus jamais laisser mes sentiments prendre le dessus, c'était trop douloureux... Et puis un jour j'ai rencontré ta mère. Elle a fait tomber une à une toute mes barrières."

Il se tut un instant. J'étais abasourdie par cette confession, mais je ne voyais pas le rapport avec cette fameuse cicatrice. Je me permettais alors de demander:

"Et ta cicatrice dans tout ça?
- Je n'ai jamais voulu te le dire pour ne pas que tu ais une mauvaise image de moi... Quelques mois après la rupture avec Noémie j'étais devenu complètement fou, le désespoir me tuait peu à peu. Je me suis mis à boire, sans doute un peu trop... Et un soir où il y avait plus d'alcool que de sang dans mes veines, j'ai pris un couteau de cuisine et j'ai coupé la parcelle de peau où il y avait le tatouage que l'on s'était fait ensemble. Par la suite on m'a emmené à l'hôpital. Voilà, tu connais toute l'histoire."

Je restais muette, je ne savais que dire. Je n'aurais jamais cru que mon père avait vécu de pareils choses, je n'aurais jamais imaginé que cette cicatrice était du à un chagrin d'amour. Ma souffrance me paru tout à coup bien ridicule comparée à la sienne. Je me sentis allégée d'un poids.

"Tu vois, cette cicatrice sera toujours là pour me rappeler qu'il vaut mieux aimer à en souffrir que de ne pas aimer du tout. On se console toujours."

Il se leva, se dirigea vers la bibliothèque et en sorti un livre qu'il me tendit avec un sourire.

"Tiens, peut-être que le petit prince t'expliquera mieux que moi. Lis le passage avec le renard."

Je le remercie en le gratifiant d'un sourire et me mis à lire le livre.
Anonyme
Posté le 23 janv. 2010
J'imaginais une cicatrice au visage par exemple.
Sur le front
Mon pere travaillerait plutot dans un métier de bureau de maniere a ce que la maniere qu il se soit fait cette cicatrice soit assez etonnante.
La cicatrice remonterait a son enfance ou son adolescence.
Anonyme
Posté le 23 janv. 2010
merci
Anonyme
Posté le 23 janv. 2010
merci je me suis inspiré de ton texte mais j ai fait sur le sport.

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