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Sujet du devoir
Il faut imaginez la suite du texte "Le bleu qui fait mal aux yeux" Alex du Prel :Imaginez en une vingtaine de lignes qu'apres le depart de la gouvernante, deux employes parlent ensemble. Elles imaginent ce qui va arriver a la Suissesse et portent un jugement sur sa personnalite et son comportement.
Où j'en suis dans mon devoir
J'ai deja fais quelques petits dialogues au broullion mais sa ne respectent pas du tout la consigne .. C'est donc pour cela que je demandes votre aide. Surtout que je suis super nul en redaction et je deteste sa.5 commentaires pour ce devoir
Salut. où est le texte ? ce n'est pas tout le monde qui à ce texte. même ci tu respecte pas les consigne nous allons t'aider à comprends. poste le brouillon!! sans le texte nous pouvons pas vraiment t'aider.
Voici le texte :
<< Offrons poste de gouvernante pour grand hotel a Tahiti. Cherchons dame serieuse et qualifiee ne croyant pas aux fantomes, etc. >>
Elle arriva un mois plus tard. Elle etait des plus qualifiees. Triee sur le volet. Le directeur avait ete personnellement en Europe pour la choisir. C'etait une dame helvetique (de nationalite suisse) de forte corpulence. Son chignon impeccable faisait aussi severe que les traits de son visage. Elle claquait les talons en marchant. Pas de sourire. Cela aurait ete un signe de faiblesse. Elle avait ete a l'Ecole Hoteliere de Lausanne. On ne pouvait trouver plus efficace. Plus propre. Plus net. Plus << blitzeblanke >>, comme on dit en Suisse.
Elle fut comme une tornade avec les filles. Les ordres fusaient. Elle etait partout. Elle n'etait jamais contente. Les mennageres commencerent a courir. Du jamais vu. Les chambres etaient astiquees. Les lavabos brillaient commes des miroirs. Le directeur se frottait les mains de plaisir.
Le deuxieme soir, elle donna ses ordres : << Faire les couvertures >> dans les etages. Une equipe au douzieme. Entendant cet ordre, toutes les filles s'arreterent net. Pas question de descendre la-bas. Refus sec de toute l'equipe. C'etait la mutinerie (au sens premier, revolte armee de l'equipage sur un bureau). Les filles ne descendraient pas. Mais la Suissesse n'abandonna pas. Elle allait leur montrer. A ces primitifs, a ces credules (naif, qui croit tout ce qu'on lui dit). Les fantomes, ca n'existe pas, voyons. Elle descendrait elle-meme ouvrir les lits. Cette fois-ci. Ensuite, il n'y aurait plus d'excuses. Les filles seraient obligees de se plier.
Elle se dirigea vers l'ascenseur avec seau et balai, claquant les talons. Les filles la suivaient. La suppliaient de ne pas descendre. L'imploraient de les ecouter. Sans repondre, le tete haute, le visage meprisant, elle disparut dans l'ascenseur.
<< Offrons poste de gouvernante pour grand hotel a Tahiti. Cherchons dame serieuse et qualifiee ne croyant pas aux fantomes, etc. >>
Elle arriva un mois plus tard. Elle etait des plus qualifiees. Triee sur le volet. Le directeur avait ete personnellement en Europe pour la choisir. C'etait une dame helvetique (de nationalite suisse) de forte corpulence. Son chignon impeccable faisait aussi severe que les traits de son visage. Elle claquait les talons en marchant. Pas de sourire. Cela aurait ete un signe de faiblesse. Elle avait ete a l'Ecole Hoteliere de Lausanne. On ne pouvait trouver plus efficace. Plus propre. Plus net. Plus << blitzeblanke >>, comme on dit en Suisse.
Elle fut comme une tornade avec les filles. Les ordres fusaient. Elle etait partout. Elle n'etait jamais contente. Les mennageres commencerent a courir. Du jamais vu. Les chambres etaient astiquees. Les lavabos brillaient commes des miroirs. Le directeur se frottait les mains de plaisir.
Le deuxieme soir, elle donna ses ordres : << Faire les couvertures >> dans les etages. Une equipe au douzieme. Entendant cet ordre, toutes les filles s'arreterent net. Pas question de descendre la-bas. Refus sec de toute l'equipe. C'etait la mutinerie (au sens premier, revolte armee de l'equipage sur un bureau). Les filles ne descendraient pas. Mais la Suissesse n'abandonna pas. Elle allait leur montrer. A ces primitifs, a ces credules (naif, qui croit tout ce qu'on lui dit). Les fantomes, ca n'existe pas, voyons. Elle descendrait elle-meme ouvrir les lits. Cette fois-ci. Ensuite, il n'y aurait plus d'excuses. Les filles seraient obligees de se plier.
Elle se dirigea vers l'ascenseur avec seau et balai, claquant les talons. Les filles la suivaient. La suppliaient de ne pas descendre. L'imploraient de les ecouter. Sans repondre, le tete haute, le visage meprisant, elle disparut dans l'ascenseur.
Passe nous tes débuts d'écriture cela nous aidera a t'aider, et puis corriger si besoin tes erraurs.
BONNE CHANCE!
BONNE CHANCE!
elles racontent des conneries sur la gouvernante, elles demandent des nouvelles à la suissesse
Ils ont besoin d'aide !
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