Rédaction français.

Publié le 1 nov. 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 4 nov. 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

Bonjour, j'ai une redaction à faire pour la rentrée, et je voulais savoir ce que vous en pensiez, si il y avait d'éventuelle faute que je n'aurais pas vu, des phrases mal construite ou même quelque hors-sujet.
Voilà donc le sujet :

Un enfant pauvre, confie son chien (caniche) adoré à une vieille dame très riche.
Un mois après, l'enfant veur s'assurer que son chien est heureux.
Il raconte cet épisode tout en exprimant ses sentiments.
Vous redigerez un récit en incluant un dialogue.
On raconte à la première personne.

Où j'en suis dans mon devoir

J’étais devant un grand portail, d’une grande maison, pour un grand moment. Celui ou j’allais enfin revoir mon ancien chien, Super, après un mois sans sa présence. J’avais hâte, j’avais peur mais j’étais profondément heureux.

A ce moment là je ne me rendis pas vraiment compte de l'endroit ou je venais d' atterrir, j'aurais certainement du me demander qu'est ce qu'un enfant comme moi pouvait bien faire dans un endroit pareil, mais non. Une seule chose m'intéressée, c'était de revoir Super.

Au moment ou je pénétrai dans la demeure de la vieille dame à qui j'avais confié Super, je préfère employer le mot "confier" que "vendre" car mon enrichissement personnel qu'aurait pu inclure cette vente n'étais rien comparé à la souffrance de devoir me séparer de mon caniche, un mélange d'excitation et d'appréhension vint s'immiscer dans mon cœur .
L’idée de pouvoir enfin revoir mon chien, même un bref instant me rendait heureux comme jamais. A ce sentiment de joie venait se mêler un autre sentiment, bien moins agréable et indescriptible, une appréhension pourtant infondée car au fond de moi, en confiant Super à cette vieille femme, malgré ma tristesse, je savais qu’il serait heureux, car il n’était pas rare de voir des vieilles dame chouchouter leur chien et s’en occuper comme leurs propres enfants.

La vieille dame vint m’accueillir, et nous commençâmes une conversation tandis que celle-ci me faisait visité sa vaste demeure.
<<-Je te suis vraiment reconnaissante de m’avoir vendu ce petit chien, commença t-elle.>>
Je m’étais contenté d’un sourire en guise de réponse. Je n’avais pas vraiment envie de discuter avec elle, elle avait l’air d’une femme très riche, et c’est ce que me confirma la visite de sa maison.
Une somptueuse maison, ou plutôt un manoir. Un sol de marbre sur lequel raisonnait chacun de nos pas. Un majestueux lustre en cristal dominant toute l’entrée. De longs couloirs, des portes par dizaines, et on pouvait croiser de temps à autres des domestiques faisant l’allée retour de chambre en chambre. Des tableaux de maître ornant les couloirs et les murs, quelques bustes de personnages célèbres, mais surement pas assez pour que quelqu’un comme moi les reconnaissent.
Mais très vite, l’admiration que je portais à ce magnifique endroit se transforma en haine. Je n’aimais pas cette manière qu’on les gens fortunés de gâcher leur argent dans des futilités pareilles, je les trouvais matérialiste, superficielle et j’en passe. Cette manière de montrer qu’ils avaient de l’argent m’exaspérait au plus au point. Alors qu’en fin de compte, ce n’était pas de la haine, mais plutôt de la jalousie, car je savais pertinemment que j’aurais été incapable d’offrir un lieu de vie aussi plaisant à Super.
Toutes ces mauvaises pensées s’envolèrent lorsque la vieille femme ouvrit une porte, et que je le revis, Super, mon chien bien aimé. Juste là, dans cette pièce qui avait l’air de lui être entièrement consacrée. En effet, on pouvait apercevoir sur les murs, des décorations farfelues en rapport avec le monde canin, ainsi que des petits meubles, apparemment conçus spécialement pour les chiens tel qu’un lit ou Super était justement en train de dormir, une armoire et un bureau dont l’usage à un chien resterais pour moi un mystère, le tout ridiculement petit.
Je me cru incapable de le reconnaître. Super était là, mais il n’était pas là. Son pelage, d’habitude mal propre, était à présent immaculé. Une quantité innombrable de nœud était accrochée à ses oreilles, à son cou ou encore à sa queue. Il portait un espèce de petit gilet mauve ridicule qu’on voit souvent porter les chiens de stars, pris à tord pour des accessoires de mode.
J’aurais aimé le réveillé, mais pour sa nouvelle maîtresse il était inenvisageable d’importuner le sommeil de son bien aimé petit chien. Elle me proposa alors de prendre le thé avec elle, jusqu’à ce qu’il se réveil. J’acceptai car il était hors de question que je reparte.
Je prenais le thé avec mon hôte, mais le silence devenait peu à peu pesant. J’avais pourtant une quantité incroyable de question à lui posait. Je finis par me décider, et rompu le silence en lui demandant :
« -Excusez moi madame ?
-Oui qu’y a-t-il ?
-Je voulais savoir…Quel nom vous lui avez donné ? demandais-je
-Et bien en fait, et c’est en parti pour ça que je t’ai invité à venir aujourd’hui, je voulais justement te demander comment il s’appelle car je n’ai pas eu le temps la dernière fois de le faire, expliqua t- elle.
-Vraiment ? Je pensais que vous lui aviez donné un nom, dis-je, surpris. Et bien il s’appelle Super.
-Super ? Alors je conserverais ce nom, dit elle en souriant. J’ai peur que si je lui donne un nouveau nom, cela ne le déstabilise, et maintenant je vais enfin pouvoir l’appeler.
-Est-ce qu’il se plaît ici ? demandais-je soucieux
-Oh oui, mes petits enfants viennent de temps en temps et jouent avec lui et je le sort souvent, répondis la femme.
-Ca à du vous coutez assez cher tout ces meubles dans sa…chambre, fis-je remarquer
-Tu sais, je n’ai plus vraiment d’enfant à charge, alors je le gâte un peu c’est vrai, mais l’argent, c’est éphémère, il faut en profiter.
-C’est bien les riches de penser comme ça, pensais-je.
-Il était dans un sale état lorsque tu me la vendu ! ajouta la vieille dame
-Heu…En fait je…bafouillais-je
-Il était maigre comme un clou ! Plein de puces, de saleté…
-C’est pour ça que je vous l’ai confié ! l’interrompis-je
-Comment ? demanda elle perplexe
-Je n’avais pas les moyens de m’en occuper convenablement, et c’est pour cela que je vous l’ai confié, expliquais-je honteux
-Ah…dit la vieille femme, gênée.
-Je suis content, vous avez l’air de bien vous en occupez, mentis-je »
Je trouvais en effet qu’elle en faisait beaucoup trop, que c’était excessif. D’un autre côté, si Super était heureux, je ne pouvais que m’en réjouir.
« -Et je vous en remercie, rajoutais-je »
Et cette fois ci, j’étais honnête. Car même si je n’appréciais pas l’excès matériel qu’elle procurait à Super, je savais qu’elle lui procurait également les besoins élémentaires ainsi que de l’amour. Et cela suffisait pour faire mon bonheur.
Une heure plus tard, Super était réveillé. Une joie immense m’envahi lorsque je vu qu’il ne m’avait pas oublié, il me sauta dessus et nous commençâmes à jouer ensemble durant tout le reste de l’après-midi.
Super était en forme, il aboyait et courait dans tout les sens. Il était un chien heureux. Il se faisait tard, et à la plus grande déception de Super qui aboyer à travers le portail alors que j’étais repartis de l’autre côté, comme pour me dire de rester, je dus repartir chez Mme Rosa. De toute manière je savais que ce n’était pas un adieu définitif car la maîtresse de Super m’invita à revenir de temps en temps lui rendre visite à elle et à Super. Je repartis donc le cœur léger, soulagé mais surtout, heureux d’avoir réussis à faire le bonheur de Super.



5 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 1 nov. 2010

Niveau Orthographe, ce que j'ai relevé :

dans le deuxième paragraphe il y a un accent sur le "dû" et une chose "m’intéressai" que le prononce [é] c'est du passé simple ;).
Ca à du vous coutez assez cher = ça a dû vous coûter assez cher
-C’est bien les riches de penser comme ça, pensais-je. => Tu ne met pas de tiret car il le pense mais ne le dit pas.

à la plus grande déception de Super qui aboyer à travers le portail = qui aboyait

Voilà l'invention en elle-même est très bien c'est une bonne idée, peut être un style un peu lourd par moment notamment avec le temps de tes verbes, tu y exprime bien les sentiments et le dialogue est tout à fait correct.

En conclusion je trouve cela bien, on voit que tu y a travaillé et que tu y a mis du coeur, l'emploi du vocabulaire est parfait, ça s'écoule bien.

J'espère que ça t'auras un peu aidé, même si je n'ai pas grand chose a dire, je mettrais un 16,5 / 17 pour un devoir pareil si j'étais prof :).
Anonyme
Posté le 1 nov. 2010
Merci beaucoup ^^ Un style un peu lourd ? Je vais essayer d'améliorer cela, je ne suis pas très à l'aise avec la conjugaison..
Anonyme
Posté le 1 nov. 2010
Mais vu l'intituler du sujet c'est normal que ça l'est un peu ^^ (moi même je suis tjrs trop lourde dans mes rédactions) En fait, il ne faut pas que tu te complique avec tes temps, met le plus simple possible :) !
Anonyme
Posté le 1 nov. 2010
Vraiment ? Tu veut dire que ca gâche le reste, que ca devient trop prévisible ? Qu'on ne se demande pas s'il y aura une deception ou non ? Si c'est ça, je peut toujours modifié la phrase.
Anonyme
Posté le 3 nov. 2010
"A ce moment là je ne me rendis pas vraiment compte de l'endroit ou je venais d' atterrir,..."

"Au moment ou je pénétrai dans la demeure de la vieille dame à qui j'avais confié Super, "

Tu as oubliée l'accent sur le "u" de "ou".

" je préfère employer le mot "confier" que "vendre" car mon enrichissement personnel qu'aurait pu inclure cette vente n'étais rien comparé à la souffrance de devoir me séparer de mon caniche, un mélange d'excitation et d'appréhension vint s'immiscer dans mon cœur ."
Tu dis que c'est un enfant pauvre qui raconte donc je trouve que c'est un peu trop soutenue pour un enfant. Surtout "enrichissement personnel".

Sinon dans l'ensemble ce n'est pas mal mais un peu lourd.

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