Rédiger un prologue pour l'acte I scène I de la Thébaïde. URGENT !

Publié le 5 janv. 2012 il y a 12A par Anonyme - Fin › 12 janv. 2012 dans 12A
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Sujet du devoir

Bonjours, je viens d'apprendre par une amie que pour demain je devais rédiger un PROLOGUE sur la pièce de JEAN ANOUILH, " LA THEBAÏDE ", à partir de l'ACTE I SCENE I :

SCÈNE PREMIÈRE.
Jocaste, Olympe.

JOCASTE
Ils sont sortis, Olympe ? Ah mortelles douleurs !
Qu'un moment de repos me va coûter de pleurs !
Mes yeux depuis six mois étaient ouverts aux larmes ;
Et le sommeil les ferme en de telles alarmes ?
Puisse plutôt la mort les fermer pour jamais,
Il devrait bien plutôt les fermer à jamais,"

Et m'empêcher de voir le plus noir des forfaits.
Mais en sont-ils aux mains ?
OLYMPE
Du haut de la muraille,
Je les ai vus déjà tous rangés en bataille.
J'ai vu déjà le fer briller de toutes parts,
10 Et pour vous avertir, j'ai quitté les remparts.
J'ai vu le fer en main Étéocle lui-même,
Il marche des premiers, et d'une ardeur extrême,
Il montre aux plus hardis à braver le danger.
JOCASTE
N'en doutons plus, Olympe, ils se vont égorger.
Que l'on coure avertir et hâter la princesse,
Variantes ed. 1664 : v.15, "(À un page) Que l'on aille au plus vite avertir la princesse,". Suppression de la didascalie en 1676. ed. 1664-1687 : v.17, "Il faut, il faut courir après ces inhumains,". ed. 1664-1687 : v.20, "Nous voici donc, Olympe, à ce jour détestable".

Je l'attends. Juste ciel ! soutenez ma faiblesse.
Il faut courir, Olympe, après ces inhumains,
Il les faut séparer, ou mourir par leurs mains.
Nous voici donc, hélas ! à ce jour détestable
20 Dont la seule frayeur me rendait misérable.
Ni prières, ni pleurs ne m'ont de rien servi,
Et le courroux du sort voulait être assouvi.
Ô toi, soleil, ô toi, qui rends le jour au monde,
Que ne l'as-tu laissé dans une nuit profonde ?
25 À de si noirs forfaits, prêtes-tu tes rayons,
Et peux-tu sans horreur voir ce que nous voyons ?
Mais ces monstres, hélas ! ne t'épouvantent guères,
La race de Laïus les a rendus vulgaires.
Tu peux voir sans frayeur les crimes de mes fils,
30 Après ceux que le père et la mère ont commis :
Tu ne t'étonnes pas si mes fils sont perfides,
S'ils sont tous deux méchants, et s'ils sont parricides ;
Tu sais qu'ils sont sortis d'un sang incestueux,
Et tu t'étonnerais s'ils étaient vertueux.



Pourriez vous m'aider s'il vous plait, c'est vraiment urgent :(

Où j'en suis dans mon devoir

" Voilà. Ces personnages vont vous jouer l'histoire d'Eteocle et Polynice. Eteocle,c'est le garçon dehors, qui se bat contre son propre frère. Son frère ? C'est Polynice, l'autre garçon armé, qui essaye par tout les moyens de tuer Eteocle. Jocaste, leurs mère, assistent à l'affrontement de ses deux fils, voulant tout deux prendre la place de leurs père, elle est triste..."



2 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 7 janv. 2012
Oui. J'ai trouvé que c'était un bon support pour pouvoir rédiger le Prologue de la Thébaïde..Maintenant, il ne manque plus que l'avis de mon prof.
Anonyme
Posté le 7 janv. 2012
Oui. J'ai trouvé que c'était un bon support pour pouvoir rédiger le Prologue de la Thébaïde..Maintenant, il ne manque plus que l'avis de mon prof.

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