réécrtiture au conditionel présent

Publié le 12 févr. 2017 il y a 7A par Anonyme - Fin › 18 févr. 2017 dans 7A
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Sujet du devoir

Un pauvre homme passait dans le givre et le vent.
Je cognai sur ma vitre ; il s'arrêta devant
Ma porte, que j'ouvris d'une façon civile.
Les ânes revenaient du marché de la ville,
Portant les paysans accroupis sur leurs bâts.
C'était le vieux qui vit dans une niche au bas
De la montée, et rêve, attendant, solitaire,
Un rayon du ciel triste, un liard de la terre,

Il s'approcha du feu.
Son manteau, tout mangé des vers, et jadis bleu,
É talé largement sur la chaude fournaise,
Piqué de mille trous par la lueur de braise,
Couvrait l'âtre, et semblait un ciel noir étoilé.
Et, pendant qu'il séchait ce haillon désolé
D'où ruisselait la pluie et l'eau des fondrières,
Je songeais que cet homme était plein de prières,
Et je regardais, sourd à ce que nous disions,
Sa bure où je voyais des constellations.

Où j'en suis dans mon devoir

Il faut le réécrire au conditionnel présent




7 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 12 févr. 2017

Propose une réécriture et nous te corrigerons

Anonyme
Posté le 12 févr. 2017

Et je regarderais, sourd à ce que nous dirions,
Sa bure où je verrais des constellations.

Juste une petite faute ! Tout le reste juste

willffy
willffy
Posté le 12 févr. 2017

Ce serait  le vieux qui vivrait dans une niche au bas
De la montée, et rêverait , attendant, solitaire,

 

D'où ruisselleraient la pluie et l'eau des fondrières,

+ regarderais.

Anonyme
Posté le 13 févr. 2017

Tu mets tout a l'imparfait avec terminaison du futur

Anonyme
Posté le 13 févr. 2017

Passerait/ cognerai/ s'arrêterait / j'ouvrirai 

Anonyme
Posté le 14 févr. 2017

Un pauvre homme passerais dans le givre et le vent.
Je cognerais sur ma vitre ; il s'arrêterait devant
Ma porte, que j'ouvrirais d'une façon civile.
Les ânes reverniraient du marché de la ville,
Portant les paysans accroupiraient sur leurs bâts.
Ce serais le vieux qui vivrait dans une niche au bas
De la montée, et rêve, attendrait, solitaire,
Un rayon du ciel triste, un liard de la terre,

Il s'approcherait du feu.
Son manteau, tout mangé des vers, et jadis bleu,
Étalé largement sur la chaude fournaise,
Piqué de mille trous par la lueur de braise,
Couvrirait l'âtre, et semblait un ciel noir étoilé.
Et, pendant qu'il sécherait ce haillon désolé
D'où ruissèlerait la pluie et l'eau des fondrières,
Je songerais que cet homme était plein de prières,
Et je regarderais, sourd à ce que nous disions,
Sa bure où je voirais des constellations.

Anonyme
Posté le 18 févr. 2017

passerait / cognerais /arrêterait / ouvrirais / reviendraient / ce serait / viverait / appocherait / couvrirait / semblerait / sècherait / ruisseleraient / songerais / regarderais / dirions / verrais


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