Traveau d'écriture sur la nouvelle

Sujet du devoir

Il faut écrire la suite de l'histoire .
Les consignes d'écriture :
Passer simples et l'imparfait
Respect du lien : chez lui ; dans son salon ; sur le palier de sa porte ; apres avoir vue la lettre .
Respect du temps : A la tombée de la nuit ; le soir .
Respect de la personnalité de Tuchini : Sportif de haut niveau ; réserver ; seul ; introverti .
L'Etat de fatigue : Epuiser ; il sonnolait ; hallucination visuellees , auditives ?
Le doute ; de l'incertitude : les modalisation " peut etre " = " sans doute "
interrogatives " pourquoi pas ? "
le conditionnel : il se serait pas tromper .

LA NOUVELLE DOIT ETRE OUVERTE
verbes : sembler ; croire ; penser ; paraitre

Où j'en suis dans mon devoir

Il marchait précipitamment dans le froid vénitien, avec la ferme intention de mettre un terme à cette situation insupportable.
Il admirait de temps à autre le paysage qu'il avait sous les yeux. Il était tellement surpris par toute cette eau qui sillonnait les rues de la ville, et par toutes ces gondoles qu'il connaissait pourtant si bien mais qui lui laissaient inconsciemment une peur au ventre insoutenable.
Lorenzo Tutchinni, fils d'un ancien dieu de la rame , comme on le surnommait jadis, et d'une femme à la gentillesse inégalable qui vendait des fruits sur le marché, était orphelin depuis l'âge de quatorze ans.
Ses parents étaient morts dans un accident d'avion alors qu'ils se rendaient à un championnat du monde de rame. Depuis ce jour, le petit s'était renfermé sur lui même et ne communiquait que très difficilement.
Fermement décidé ce jour là, il pénétra plus à l'intérieur de la ville et aperçut, au détour d'une ruelle, des costumés aux couleurs éclatantes. Intrigué, il s'approcha.
Arrivé sur la place St Marc, il fut émerveillé par les couleurs flamboyantes des costumes soyeux, qui scintillaient sous l’éclat de la lumière des réverbères.
Des femmes au sourire mystérieux portaient de magnifiques loups ornés de pierres précieuses bleu azur, entourées de fils d’or. Elles étaient vêtues de somptueuses tenues, aussi splendides les unes que les autres, semblables aux masques, d’où se dégageait une impression de richesse. Celles-ci défilaient avec élégance, riaient aux éclats et rendaient les rues pleines de gaîté.
Malgré la fête joyeuse , avec toute la musique, toutes ces couleurs, la bonne humeur des gens, Lorenzo se sentait seul et triste. Il se remémora les balades en famille sur les gondoles vénitiennes d’un rouge aveuglant. Lorenzo Tuchini était grand, brun, musclé avec une peau mâte et de sublimes yeux verts insondables. Il avait tout pour lui.
Alors qu’il cherchait à s’approcher des musiciens, il sentit une main se poser sur son épaule. Il se retourna brusquement mais ne vit personne. Il aperçut une silhouette sombre qui se dissimulait dans la foule. Il crut distinguer un visage familier. Au moment où il voulut la rattraper, l’ombre s’échappa…
Il interrogea quelques "carnavaliers" pour vérifier qu'il n'avait pas rêvé. On lui assura que ce n'était pas une illusion. Alors, Lorenzo, perplexe et méfiant décida de ne pas suivre la silhouette tout en restant sur ses gardes.
Après quelques heures, cette silhouette le hantait toujours. Il se posait une avalanche de questions car elle lui paraissait considérablement familière. De vagues souvenirs d'enfance remontaient en lui. Il eut peur d'entrainer de faux espoirs.
Après mûre réflexion, il conclut que si cette silhouette le hantait à ce point, c'est qu'il y avait une raison ...
Il rentra chez lui fatigué de sa journée éprouvante. Pendant qu'il se reposait, toujours pensif, il vit une lettre glisser sous sa porte. Il se rua sur la porte et l'ouvrit brusquement.