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Sujet du devoir
Bonjour,Je dois trouver une musique sur le thème "L'autoportrait".
Ensuite je devrais expliquer comùment est faites la musique, que j'aurais choisi. On devras parler de la musique, dire ce quell signifie, les timbres insrumentaus, la forme.
Je devrais parler de cette musique durant 15 min.
Je peux égalment prendre 2 musiques et les comparer.
Où j'en suis dans mon devoir
Merci de m'aider à trouver une chanson sur quoi travailler. J'ai beau chercher je n'en trouve pas une où on puisse dire grand chose.Merci d'avance de m'aider
6 commentaires pour ce devoir
il y a eu un petit couac ! tu t'y retrouves?
Ouai sa pourrais le faire. Merci
Oui je dois parlé de l'analyse des formes, l'analyse des techniques, l'analyse des significations et l'analyse des usages.
A vrai dire je suis pas doué du tout en musique!
A vrai dire je suis pas doué du tout en musique!
tu dois forcément prendre une chanson française ?
Non par forcement, mais si c'est en anglais, il faudra que je la traduise.
Ils ont besoin d'aide !
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Charles Aznavour
Artiste: Charles Aznavour
Chanson: Autobiographie
J'ai ouvert les yeux sur un meublé triste
Rue Monsieur Le Prince au Quartier Latin
Dans un milieu de chanteurs et d'artistes
Qu'avaient un passé, pas de lendemain
Des gens merveilleux un peu fantaisistes
Qui parlaient le russe et puis l'arménien
Si mon père était chanteur d'opérette
Nanti d'une vois que j'envie encore
Ma mère tenait l'emploi de soubrette
Et leur troupe ne roulait pas sur l'or
Mais ma soeur et moi étions à la fête
Blottis dans un coin derrière un décor
Tous ces comédiens chargés de famille
Mais dont le français était hésitant
Devaient accepter pour gagner leur vie
Le premier emploi qui était vacant
Conduire un taxi ou tirer l'aiguille
Ça pouvait ce faire avec un accent
Après le travail les jours de semaine
Ces acteurs frustrés répétaient longtemps
Pour le seul plaisir un soir par quinzaine
De s'offrir l'oubli des soucis d'argent
Et crever de trac en entrant en scène
Devant un public formé d'émigrants
Quand les fins de mois étaient difficile
Quand il faisait froid, que le pain manquait
On allait souvent honteux et fébrile
Au Mont de piété où l'on engageait
Un vieux samovar, des choses futiles
Objet du passé, auxquels on tenait
On parlait de ceux morts près du Bosphore
Buvait à la vie, buvait aux copains
Les femmes pleuraient, et jusqu'au aurores
Les hommes chantaient quelques vieux refrains
Qui venaient de loin, du fond d'un folklore
Où vivaient la mort, l'amour et le vin
Nous avions toujours des amis à table
Le peu qu'on avait on le partageait
Mes parents disaient: "Ce serait le diable
Si demain le ciel ne nous le rendait"
Ce n'était pas là geste charitable:
Ils aimaient les autres, et Dieu nous aidait
Tandis que devant poêles et casseroles
Mon père cherchait sa situation
Jour et nuit sous une lampe à pétrole
Ma mère brodait pour grande maison
Et nous avant que d'aller à l'école
Faisions le ménage et les commissions
Ainsi j'ai grandi sans contrainte aucune
Me soûlant la nuit, travaillant le jour
Ma vie a connu diverses fortunes
J'ai frôlé la mort, j'ai trouvé l'amour
J'ai eu des enfants qui m'ont vu plus d'une
Fois me souvenir le coeur un peu lourd
La la di la la la...
Rue Monsieur Le Prince au Quartier Latin
Dans un milieu de chanteurs et d'artistes
Qu'avaient un passé, pas de lendemain
Des gens merveilleux un peu fantaisistes
Qui parlaient le russe et puis l'arménien
J'ai ouvert les yeux sur un meublé triste
Rue Monsieur Le Prince au Quartier Latin
Dans un milieu de chanteurs et d'artistes
Qu'avaient un passé, pas de lendemain
Des gens merveilleux un peu fantaisistes
Qui parlaient le russe et puis l'arménien
Si mon père était chanteur d'opérette
Nanti d'une vois que j'envie encore
Ma mère tenait l'emploi de soubrette
Et leur troupe ne roulait pas sur l'or
Mais ma soeur et moi étions à la fête
Blottis dans un coin derrière un décor
Tous ces comédiens chargés de famille
Mais dont le français était hésitant
Devaient accepter pour gagner leur vie
Le premier emploi qui était vacant
Conduire un taxi ou tirer l'aiguille
Ça pouvait ce faire avec un accent
Après le travail les jours de semaine
Ces acteurs frustrés répétaient longtemps
Pour le seul plaisir un soir par quinzaine
De s'offrir l'oubli des soucis d'argent
Et crever de trac en entrant en scène
Devant un public formé d'émigrants
Quand les fins de mois étaient difficile
Quand il faisait froid, que le pain manquait
On allait souvent honteux et fébrile
Au Mont de piété où l'on engageait
Un vieux samovar, des choses futiles
Objet du passé, auxquels on tenait
On parlait de ceux morts près du Bosphore
Buvait à la vie, buvait aux copains
Les femmes pleuraient, et jusqu'au aurores
Les hommes chantaient quelques vieux refrains
Qui venaient de loin, du fond d'un folklore
Où vivaient la mort, l'amour et le vin
Nous avions toujours des amis à table
Le peu qu'on avait on le partageait
Mes parents disaient: "Ce serait le diable
Si demain le ciel ne nous le rendait"
Ce n'était pas là geste charitable:
Ils aimaient les autres, et Dieu nous aidait
Tandis que devant poêles et casseroles
Mon père cherchait sa situation
Jour et nuit sous une lampe à pétrole
Ma mère brodait pour grande maison
Et nous avant que d'aller à l'école
Faisions le ménage et les commissions
Ainsi j'ai grandi sans contrainte aucune
Me soûlant la nuit, travaillant le jour
Ma vie a connu diverses fortunes
J'ai frôlé la mort, j'ai trouvé l'amour
J'ai eu des enfants qui m'ont vu plus d'une
Fois me souvenir le coeur un peu lourd
La la di la la la...
Rue Monsieur Le Prince au Quartier Latin
Dans un milieu de chanteurs et d'artistes
Qu'avaient un passé, pas de lendemain
Des gens merveilleux un peu fantaisistes
Qui parlaient le russe et puis l'arménien
C'est une vraie autobiographie de Charles Aznavour.
bonne soirée.