ecrire une lettre

Publié le 14 mars 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 27 mars 2010 dans 14A
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Sujet du devoir

bonjour vous pouvez maider a ecrire une lettre
le sujet redigez une lettre dans laquelle vous raconterez brivement et avec humour une scene defoule ou un embouteillage dans une ville moderne
aider moi sil vous plais jai vraiment beson de vous et merci

Où j'en suis dans mon devoir

bonjour vous pouvez maider a ecrire une lettre
le sujet redigez une lettre dans laquelle vous raconterez brivement et avec humour une scene defoule ou un embouteillage dans une ville moderne



8 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 14 mars 2010
on veut bien t'aider à rédiger ta lettre, mais on ne peut pas tout faire... il faut que tu nous donnes une ou plusieurs idées de situations cocasses d'une scène de foule ou d'embouillages en ville. J'y réfléchis mais je serais absente une partie de la matinée (élections obligent! + Education canine...). Alors cherche un peu et profite des autres éventuelles aides. Bon dimanche et A+ peut-être
Anonyme
Posté le 14 mars 2010
As tu deja des idées ?
Anonyme
Posté le 14 mars 2010
no
Anonyme
Posté le 14 mars 2010
jai un idee mais celle du livre !!!
Nous sommes à Paris depuis un mois, et nous avons toujours été dans un mouvement continuel. Il faut bien des affaires avant qu'on soit logé, qu'on ait trouvé les gens à qui on est adressé, et qu'on se soit pourvu des choses nécessaires, qui manquent toutes à la fois.
Paris est aussi grand qu'Ispahan: les maisons y sont si hautes, qu'on jugerait qu'elles ne sont habitées que par des astrologues. Tu juges bien qu'une ville bâtie en l'air, qui a six ou sept maisons les unes sur les autres, est extrêmement peuplée; et que, quand tout le monde est descendu dans la rue, il s'y fait un bel embarras.
Tu ne le croirais pas peut-être, depuis un mois que je suis ici, je n'y ai encore vu marcher personne. Il n'y a pas de gens au monde qui tirent mieux partie de leur machine que les Français; ils courent, ils volent: les voitures lentes d'Asie, le pas réglé de nos chameaux, les feraient tomber en syncope. Pour moi, qui ne suis point fait à ce train, et qui vais souvent à pied sans changer d'allure, j'enrage quelquefois comme un chrétien: car encore passe qu'on m'éclabousse depuis les pieds jusqu'à la tête; mais je ne puis pardonner les coups de coude que je reçois régulièrement et périodiquement. Un homme qui vient après moi et qui me passe me fait faire un demi-tour; et un autre qui me croise de l'autre côté me remet soudain où le premier m'avait pris; et je n'ai pas fait cent pas, que je suis plus brisé que si j'avais fait dix lieues.
Ne crois pas que je puisse, quant à présent, te parler à fond des moeurs et des coutumes européennes: je n'en ai moi-même qu'une légère idée, et je n'ai eu à peine que le temps de m'étonner.
Le roi de France est le plus puissant prince de l'Europe. Il n'a point de mines d'or comme le roi d'Espagne son voisin; mais il a plus de richesses que lui, parce qu'il les tire de la vanité de ses sujets, plus inépuisable que les mines. On lui a vu entreprendre ou soutenir de grandes guerres, n'ayant d'autres fonds que des titres d'honneur à vendre; et, par un prodige de l'orgueil humain, ses troupes se trouvaient payées, ses places munies, et ses flottes équipées.
D'ailleurs ce roi est un grand magicien: il exerce son empire sur l'esprit même de ses sujets; il les fait penser comme il veut. S'il n'a qu'un million d'écus dans son trésor et qu'il en ait besoin de deux, il n'a qu'à leur persuader qu'un écu en vaut deux, et il le croient. S'il a une guerre difficile à soutenir, et qu'il n'ait point d'argent, il n'a qu'à leur mettre dans la tête qu'un morceau de papier est de l'argent, et ils en sont aussitôt convaincus. Il va même jusqu'à leur faire croire qu'il les guérit de toutes sortes de maux en les touchant, tant est grande la force et la puissance qu'il a sur les esprits.
Ce que je dis de ce prince ne doit pas t'étonner: il y a un autre magicien plus fort que lui, qui n'est pas moins maître de son esprit qu'il l'est lui-même de celui des autres. Ce magicien s'appelle le pape: tantôt il lui fait croire que trois ne sont qu'un; que le pain qu'on mange n'est pas du pain, ou que le vin qu'on boit n'est pas du vin, et mille autres choses de cette espèce.
Et, pour le tenir toujours en haleine et ne point lui laisser perdre l'habitude de croire, il lui donne de temps en temps, pour l'exercer, de certains articles de croyance. IL y a deux ans qu'il lui envoya un grand écrit qu'il appela constitution, et voulut obliger, sous de grandes peines, ce prince et ses sujets de croire tout ce qui y était contenu. Il réussit à l'égard du prince, qui se soumit aussitôt, et donna l'exemple à ses sujets; mais quelques-uns d'entre eux se révoltèrent, et dirent qu'ils ne voulaient rien croire de tout ce qui était dans cet écrit. Ce sont les femmes qui ont été les motrices de toute cette révolte qui divise toute la cour, tout le royaume et toutes les familles. Cette constitution leur défend de lire un livre que tous les chrétiens disent avoir été apporté du ciel: c'est proprement leur Alcoran. Les femmes, indignées de l'outrage fait à leur sexe, soulèvent tout contre la constitution: elles ont mis les hommes de leur parti, qui, dans cette occasion, ne veulent point avoir de privilège. Il faut pourtant avouer que ce moufti ne raisonne pas mal; et, par le grand Ali, il faut qu'il ait été instruit des principes de notre sainte loi: car, puisque les femmes sont d'une création inférieure à la nôtre, et que nos prophètes nous disent qu'elles n'entreront point dans le paradis, pourquoi faut-il qu'elles se mêlent de lire un livre qui n'est fait que pour apprendre le chemin du paradis?
J'ai ouï raconter du roi des choses qui tiennent du prodige, et je ne doute pas que tu ne balances à les croire.
On dit que, pendant qu'il faisait la guerre à ses voisins, qui s'étaient tous ligués contre lui, il avait dans son royaume un nombre innombrable d'ennemis invisibles qui l'entouraient; on ajoute qu'il les a cherchés pendant plus de trente ans, et que, malgré les soins infatigables de certains dervis qui ont sa confiance, il n'en a pu trouver un seul. Ils vivent avec lui: ils sont à sa cour, dans sa capitale, dans ses troupes, dans ses tribunaux; et cependant on dit qu'il aura le chagrin de mourir sans les avoir trouvés. On dirait qu'ils existent en général, et qu'ils ne sont plus rien en particulier: c'est un corps; mais point de membres. Sans doute que le ciel veut punir ce prince de n'avoir pas été assez modéré envers les ennemis qu'il a vaincus, puisqu'il lui en donne d'invisibles, et dont le génie et le destin sont au-dessus du sien.
Je continuerai à t'écrire, et je t'apprendrai des choses bien éloignées du caractère et du génie persan. C'est bien la même terre qui nous porte tous deux; mais les hommes du pays où je vis, et ceux du pays où tu es, sont des hommes bien différents.
Anonyme
Posté le 14 mars 2010
Je vois que tu as déjà de bonnes idées. J'ai le message précédent, c'est très bien, continue !
Anonyme
Posté le 14 mars 2010
non mais c lidee du livre et moi je doit faire une autre aidez moi
Anonyme
Posté le 17 mars 2010
Tu devrait déjà commencer par trouver les caractéristique de ta lettre (date, formule de politesse, salut, aurevoir,...) et ensuite choisi le nom de la ville la situtation les personnes présentes et surtout n'oublie pas de choisir la situation initiale qui devra ensuite changer (c'est là que tu mets ton embouteilage ou ta scène de foule) par exemple :

Nous étions en train de marcher dans les rue pavés de Romes, nous bavardions ensemble et nous vîmes une foule tellement intense... (ou) Nous étions préssés d'arriver dans l'hôtel de ville pour signer ce maudit papier et avoir enfin nos passeports et notre rendez-vous était fixé à 15h30 et il n'était que 14h , nous avions le temps de nous rendre à la gare pour acheter des billets de train pour demain.Sur le chemi nde la gare le chauffeur s'arrêta et il nous dit : "Nous n'arriverons pas a la gare avant 16h mesdames regardez devant nous!"

Ce ne sotn que des exemples que je veins d'inventer pour t'expliquer ce qu'est un bouleversement de situation initiale alors ne les suit pas à la lettre !

Bybye !! (:
Anonyme
Posté le 17 mars 2010

Bonjour yosser

Tu peux imaginer une scène à New-York ,un embouteillage en plein centre ville avec des mormons venant rendre visite à des cousins éloignés et perdus ,assis sur leur cariole tirée par 2 chevaux dans cette grande ville,pris de panique ,face aux moqueries et aux remarques des citadins.
Des policiers à cheval interviennent pour essayer de calmer la situation et descendent de leur monture.
Les chevaux des policiers s'emballent et une course poursuite s'engage alors pour rattrapper les animaux grâce aux mormons qui leur proposent de les rattrapper en montant dans leur cariole.

Je sais ,c'est complètement loufoque ,mais c'est justement ça l'idée ...


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