Bonjour, Expression écrite pour vendredi, pouvez vous m'aider, ça serait gentil^^

Publié le 26 avr. 2017 il y a 6A par Anonyme - Fin › 28 avr. 2017 dans 6A
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Sujet du devoir

Bonjour, j'ai une expression écrite en français, je dois écrire une nouvelle fantastique, je vous mets les consignes^^

Capture d'écran 2017-04-26 19.11.30

Image concernant mon devoir de Français

Où j'en suis dans mon devoir

j'aimerai que vous m'aidiez jusqu'au bout svpp, je n'ai pas d'imagination^^

 

Merci d'aider et d'accompagner, mais de ne pas faire le devoir dans son intégralité.

la modération




6 commentaires pour ce devoir


willffy
willffy
Posté le 26 avr. 2017

Il faut que tu te lances, on verra ensuite.

Anonyme
Posté le 26 avr. 2017

Bonjour dans le lien en dessous tu verras une courte nouvelle fantastique je la trouve tres bien j'espere que sa t'aidera Bonne soirée

https://www.de-plume-en-plume.fr/histoire/petite-nouvelle-fantastique

 

Anonyme
Posté le 26 avr. 2017

on ne peux pas bien voir le sujet

 

Anonyme
Posté le 26 avr. 2017

Moi, j’ai ressenti la peur l’hiver dernier, par une nuit de décembre…
Mon très long voyage, de Paris à Sandillon, s’achevait enfin. Je pouvais maintenant
apercevoir à travers les arbres, l’imposante façade du manoir de ce fameux bois de
Morchêne.
Quand les chevaux s’arrêtèrent, je descendis de la calèche et le cocher parti, nous
restâmes seuls, le château, la forêt et moi. En effet, le calme régnait dans cette vieille
bâtisse. J’avais trouvé l’endroit parfait pour réviser mes cours, mon objectif étant de
réussir le concours de médecine.
Je visitais les lieux, m’arrêtant à chaque objet, et m’installais sur le grand bureau de
marbre de la bibliothèque pour étudier le système nerveux.
Après trois longues heures de révision, le sommeil me gagnait et je ne distinguais plus
que des formes vacillantes et floues sur mon bureau. A vrai dire je dormais à moitié.
Tout à coup, le feu prit une étrange couleur verte et translucide, qui remplaça
l’ancienne couleur écarlate des flammes.
Suite à cet étrange phénomène, mes feuilles noircies de théorèmes et de schémas
commencèrent à glisser le long du grand bureau de marbre. Tout d’abord, Je
demeurais stupéfait, puis je me frottais les yeux, et, constatant que mes feuilles
continuaient leur « voyage », je cherchais une explication rationnelle à cet étrange
phénomène.
Mais ce fut quand les feuilles se mirent à voler dans les airs que je sentis ma gorge se
nouer, mon sang se glacer. Celles-ci, qui, au départ semblaient voler sans aucun but
précis, parurent soudain prendre une direction, et, malgré mon état de stupeur totale, je
parvins à trouver une glaçante beauté dans cet étrange spectacle.
Puis, elles s’arrêtèrent, suspendues sur place, et je pus percevoir grâce à la disposition
des lettres, un visage humain qui me paraissait bien familier. Des sueurs froides
parcoururent le long de mes tempes et de mon dos.
Mais qui-était ce ? J’étais pourtant certain de connaitre cette personne,
seulement, il m’était impossible de mettre un nom sur ce visage. C’était une tête fine,
angélique, le visage d’une jeune femme. Le doute qui planait en moi autour de ce
visage me rendait malade.
Soudain un éclair de lucidité me traversa l’esprit, et ce fut quand je reconnu cette
personne que je m’évanouis.

Le lendemain matin, je me réveillai la tête posée sur le bureau. Je me levai et
découvrit la bibliothèque sens dessus-dessous ; mes livres, mes cours étaient éparpillés
sur le sol de marbre. Malgré le désordre qui régnait dans la pièce, un seul livre était
intact. Il était éclairé par un faible rayon de soleil qui passait entre les feuillages des
arbres touffus de la forêt.
Je me mis debout, et j’avançai à pas lourds vers cet ouvrage illuminé. Je me baissai, et
le pris. Il était ouvert à une page. En la regardant, j’eus un sursaut de peur et le lâchai.
C’était le visage qui m’était apparu cette nuit. Je voulus sortir, exprimer mon doute,
mes peurs. Mais, au seuil de la porte, je décidai d’en avoir le cœur net.
Je revins sur mes pas et regardai avec plus d’attention l’illustration de cette femme au
visage familier. Elle me ressemblait étrangement. Je lus l’inscription en bas de la
couverture:
« Elizabeth de la Tour, grande scientifique protestante et comtesse de Morchêne. »
1801-1824
Mon nom de famille était réellement écrit en dessous de cette illustration. Ma mère,
peut-être. Soudain, des éclats de souvenirs me revinrent. En effet je l’avais peu
connue. Assassinée deux ans après ma naissance, en 1822, il me semble.
Malgré ma stupeur et la tristesse que m’évoquait cette enluminure, un vague de
bonheur s’empara de moi.
  

 

                                                 voila j ai fait de mon mieux Bonne chance !!

Anonyme
Posté le 27 avr. 2017

jette un coup d'oeil ici https://www.de-plume-en-plume.fr/histoire/petite-nouvelle-fantastique

Anonyme
Posté le 27 avr. 2017

a tu commencer?


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