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Sujet du devoir
je dois transposer ce dialogue narratif en dialogue de théâtre mais je ne sais pas du tout comment m'y prendre
voilà le texte :
Assis à sa table, Pierre cria : « Je n’y arriverai jamais ! ». Jean vint s’asseoir à côté de son petit frère et lui dit : « Ne te décourage pas si vite. » L’aîné prit la feuille, dit « Voyons voir... ». Il se mit à lire la lettre de motivation sur laquelle Pierre avait planché et laissa échapper un « Hum... ». Jean, depuis toujours, estimait qu’il était un génie et méprisait secrètement son frère au point d’entreprendre de séduire sa belle-sœur Julia. Ayant lu le texte, le futur amant de Julia ne put s’empêcher de penser : « Une pure nullité : cet idiot a raison de s’inquiéter ! ». Jean reposa la feuille et dit : « Mais ta lettre est très bien, tu n’as aucune raison de te faire du souci ! ».
C’est à ce moment-là que Luc entra avec sa brusquerie habituelle, lançant : « Salut, la compagnie ! ». Le malheureux Luc était également marié à une femme qui le trompait avec Jean. Ce dernier se leva pour aller serrer la main au mari d’Isabelle et répondit : « Salut ! ». Pierre énonça aussi une salutation mais sans bouger de là où il se trouvait. Inquiet de voir Pierre si peu expressif, Luc se décida à interroger le frère aîné de son meilleur ami, il lui murmura : « Qu’est-ce qu’il a ? ». Jean lui répondit à voix basse : « Il a une lettre de motivation à rédiger. Il n’arrive pas à s’en sortir et ... ». Luc l’interrompit : « Tel que je te connais, j’imagine que tu n’as rien voulu faire pour l’aider. » Ayant clairement dit à Jean ce qu’il pensait, il s’adressa au cadet : « Ne panique pas, petit ! ». L’ami s’assit à côté de Pierre, prit la feuille et le stylo avant de lancer: « Laisse faire le maître ! ». Jean se dit : « Pendant que Monsieur Je-sais-tout fait la lettre de l’idiot, je vais aller saluer leurs charmantes épouses. » Il mentit aux deux amis en affirmant qu’il sortait acheter du pain puis partit.
merci
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Assis à sa table, Pierre cria : « Je n’y arriverai jamais ! ». Jean vint s’asseoir à côté de son petit frère et lui dit : « Ne te décourage pas si vite. » L’aîné prit la feuille, dit « Voyons voir... ». Il se mit à lire la lettre de motivation sur laquelle Pierre avait planché et laissa échapper un « Hum... ».
Pierre:( assis à sa table) - Je n'y arriverai jamais
Jean ( il rejoint Pierre) - Ne te décourage pas si vite
( il prend la feuille) Voyons voir
( il lit) Humm!
Utilise les didascalies pour que le texte soit compréhensible.
merci!
Bonne suite!
Mais évite de faire ce que tu viens de faire ( points à répétition)
Ils ont besoin d'aide !
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PIERRE « Je n’y arriverai jamais ! » dit il, assis à sa table en criant
et ainsi de suite