écrire une nouvelle à chute

Sujet du devoir

A partir d'un fait divers écrire une nouvelle à chute en utilisant je ou il, quarante lignes maximum.

Où j'en suis dans mon devoir

C’était un homme qui avait connu l’une des plus grandes misères qu’un être humain puisse avoir. Il avait la cinquantaine, il vivait depuis 5 ans dans une bâtisse abandonnée du 18° siècle, à moitié en ruine, reculé de la ville. Il avait une barbe longue où les poils gris et blanc s’enroulaient entre eux, il avait un nez moyennement long, des yeux bruns en amandes et de gros sourcils. A l’époque, il travaillait pour une industrie de textile à Nantes mais il vivait dans un canton proche de Nantes de mille habitants, l’appartement où il venait que pour dormir, était meublé du minimum quotidien c’est-à-dire d’une chambre avec un lit, d’une vielle armoire qui comportait un miroir centrale très sale et à coté de lit ce trouvait une table de nuit où une bougie posée dessus éclairait la chambre. Inutile de parler des autres pièces à part ci-elles elles étaient aussi banales que sa chambre. Et il vécut cette vie pendant quinze longues années regardent le temps passer. Personne ne savait s’il avait des amis ou même une famille mais la seule chose qu’on savait c’était son origine juif. Les dirigeants de l’industrie étaient endettés à leur fournisseur de coton, la somme s’élevait jusqu’à trois cents million de franc. Pour cette cause l’industrie dut fermer les portes en licenciant plus de cents vingt mille employés et bien sûr notre pauvre se trouva sans métier. Il n’avait pas eu la chance d’avoir droit à l’éduction et c’est évènement bouleversa sa routine. Il ne trouva pas de travaille chez les artisans du coin, cause de personnel complet vue le surnombre de licenciés. Plus du trois quart des licenciés partirent dans les grandes villes comme Paris ou Strasbourg. Le pauvre ne savait pas où aller, il ne connaissait rien des villes. De ce fait il ne recevait plus ces mille neuf cents quarante franc, il ne pouvait plus payer le loyer du propriétaire qui était un homme très avard. Il avait tout de même pu le faire attendre trois moi mais en vain. En bref il se trouva dans la rue. Il s’était trouvé des amis, dans la même situation que lui. Tous les vendredis, ils se donnèrent rendez-vous dans un square abandonné pour discuter entre eux pour ensuite la veille mendier. Mais un vendredi, par un temps de blizzard en hiver pas loin de Noël, cet homme se rendu au square alors qu’il savait que tous ces compères étaient réfugiés dans un centre. La route était longue et fastidieuse mais quand il fut arrivé, il n’y avait personne dans les lieux. L’homme, ensuite s’assit sur un empilement de brique et ferma les yeux. Soudain il crut entendre un pleure aigue puis des gigotements. Il ne savait pas d’où il provenait et de qui, il essaya de suivre le bruit. Il aurait cru entendre un bébé, il n’en était pas sûr. Puis il vit un sac plastique bouger, il s’y rendit. Il était abasourdit, c’était un nourrisson qui venait de naître il y a quelques heures. Quelqu’un l’avait abandonné, il mourrait de froid, il vivait son triste sort. L’homme n’avait pas perdu son humanité, il connaissait un riche retraité, ce dernier venait au square de temps en temps pour offrir aux pauvres des habilles, de la nourriture et des cadeaux, il aimait les œuvres de charité. Alors il se hâta chez l’homme vertueux pour sauver l’enfant. Il vint à la demeure très luxueuse du valeureux homme. Il sonna à la porte d’entrer laissa l’enfant sur le palier de l’entrer et le recouvra de son manteau. Puis il reprit sa route et fila chez lui. Il était harassé, la neige atteignait jusqu’à deux mètre. Quand il parvint chez lui, il était réjoui de son acte mais avait un peu d’inquiétude pour l’enfant mais la repris le dessus et s’endormit. A son réveille, il aperçut une mallette surplomber de son manteau. Il se précipita pour ouvrir se présent et y découvrit un dessin de cadeaux puis vit une carte de crédit et une feuilles de versement où il était inscrit « de M.Richard a M.David ».