Imaginer un décor inquiétant

Publié le 8 déc. 2015 il y a 8A par Anonyme - Fin › 11 déc. 2015 dans 8A
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Sujet du devoir

Décrivez un décor inquiétant en utilisant un narrateur personnage et le passé simple. Mais en fait je sais pas quoi raconter

Où j'en suis dans mon devoir

Merci a ceux qui m'aide !




8 commentaires pour ce devoir


niogret2m
niogret2m
Posté le 8 déc. 2015

La forêt la nuit, une maison qu'on dit hantée, un orage en montagne, une épave de bateau sur un bord de lac ...

Anonyme
Posté le 8 déc. 2015

Merciii bcp !! je raconte en gros la maison ?

 

niogret2m
niogret2m
Posté le 8 déc. 2015

Un exemple : la masure Gorbeau dans les Misérables.

Il y a quarante ans, le promeneur solitaire qui s’aventurait dans les pays perdus de la Salpêtrière, et qui montait par le boulevard jusque vers la barrière d’Italie, arrivait à des endroits où l’on eût pu dire que Paris disparaissait. Ce n’était pas la solitude, il y avait des passants ; ce n’était pas la campagne, il y avait des maisons et des rues ; ce n’était pas une ville, les rues avaient des ornières comme les grandes routes et l’herbe y poussait ; ce n’était pas un village, les maisons étaient trop hautes. Qu’était-ce donc ? C’était un lieu habité où il n’y avait personne, c’était un lieu désert où il y avait quelqu’un ; c’était un boulevard de la grande ville, une rue de Paris, plus farouche la nuit qu’une forêt, plus morne le jour qu’un cimetière.

C’était le vieux quartier du Marché-aux-Chevaux.

Ce promeneur, s’il se risquait au delà des quatre murs caducs de ce Marché-aux-Chevaux, s’il consentait même à dépasser la rue du Petit-Banquier, après avoir laissé à sa droite un courtil gardé par de hautes murailles, puis un pré où se dressaient des meules de tan pareilles à des huttes de castors gigantesques, puis un enclos encombré de bois de charpente avec des tas de souches, de sciures et de copeaux en haut desquels aboyait un gros chien, puis un long mur bas tout en ruine, avec une petite porte noire et en deuil, chargé de mousses qui s’emplissaient de fleurs au printemps, puis, au plus désert, une affreuse bâtisse décrépite sur laquelle on lisait en grosses lettres : DÉFENCE D’AFFICHER, ce promeneur hasardeux atteignait l’angle de la rue des Vignes-Saint-Marcel, latitudes peu connues. Là, près d’une usine et entre deux murs de jardins, on voyait en ce temps-là une masure qui, au premier coup d’œil, semblait petite comme une chaumière et qui en réalité était grande comme une cathédrale. Elle se présentait sur la voie publique de côté, par le pignon ; de là son exiguïté apparente. Presque toute la maison était cachée. On n’en apercevait que la porte et une fenêtre.

Cette masure n’avait qu’un étage.

En l’examinant, le détail qui frappait d’abord, c’est que cette porte n’avait jamais pu être que la porte d’un bouge, tandis que cette croisée, si elle eût été coupée dans la pierre de taille au lieu de l’être dans le moellon, aurait pu être la croisée d’un hôtel.

La porte n’était autre chose qu’un assemblage de planches vermoulues grossièrement reliées par des traverses pareilles à des bûches mal équarries. Elle s’ouvrait immédiatement sur un roide escalier à hautes marches, boueux, plâtreux, poudreux, de la même largeur qu’elle, qu’on voyait de la rue monter droit comme une échelle et disparaître dans l’ombre entre deux murs. Le haut de la baie informe que battait cette porte était masqué d’une volige étroite au milieu de laquelle on avait scié un jour triangulaire, tout ensemble lucarne et vasistas quand la porte était fermée. Sur le dedans de la porte un pinceau trempé dans l’encre avait tracé en deux coups de poing le chiffre 52, et au-dessus de la volige le même pinceau avait barbouillé le numéro 50 ; de sorte qu’on hésitait. Où est-on ? Le dessus de la porte dit : au numéro 50 ; le dedans réplique : non, au numéro 52. On ne sait quels chiffons couleur de poussière pendaient comme des draperies au vasistas triangulaire.

Brayouu
Brayouu
Posté le 8 déc. 2015

Dans une ville ils fait nuit. Il y a des bruit partout des chat qui miaule...

Allez faut imaginer la suite ;)

Anonyme
Posté le 8 déc. 2015

Tu n'as qu'à raconter l'histoire d'un enfant qui s'est perdu sur une île déserte et qui est dans la nuit inquiétante.

Anonyme
Posté le 8 déc. 2015

sa sert a sa les aides :)

 

1° avertissement:

Vous gênez ceux qui veulent travailler, vous trichez pour obtenir des jetons ( pas de cadeaux pour les tricheurs), donc vous perdez votre temps.

La modération

willffy
willffy
Posté le 8 déc. 2015

theterminator, avec tes bêtises , ton compte va être fermé, c'est stupide.

Anonyme
Posté le 8 déc. 2015

je c'est pas tu raconte un endroit comme une ruelle, une vielle maison qui te fait flipper le calme , le paysage 


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