Le réalisme au 19ème siècle

Publié le 23 sept. 2017 il y a 6A par Anonyme - Fin › 26 sept. 2017 dans 6A
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Sujet du devoir

Je dois prouver que la nouvelle de Maupassant "Coco" est une réaliste sous forme de rédaction

Où j'en suis dans mon devoir

Je ne sais pas trop comment organiser mon texte je ne sais pas comment je peux prouver que c'est réaliste




6 commentaires pour ce devoir


willffy
willffy
Posté le 23 sept. 2017

As-tu regardé la définition du réalisme?

Tu auras ton plan tout fait.

 

http://www.maxicours.com/soutien-scolaire/francais/bep-metiers-de-l-electronique/192367.html

 

Anonyme
Posté le 24 sept. 2017

IL faut  que tu relève tous simplement toutes les chosed qui révèlent être réaliste dans la nouvelle :

- les nombreux détails dans les descriptions, qui donne des indices sur l'époque par exemple ( on parle d'ancrage historique )

- les noms des lieux

 

- le sujet ( qui reflète d'une réalité )

-les personnage ( qui sont normales, qui ne possèdent  rien d'extraordinaire )

ect...

Anonyme
Posté le 24 sept. 2017

Ma réponse est bête et ne sert à rien mais on dit etc... et non pas ect...

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Anonyme
Posté le 24 sept. 2017

DEBUT DE REDACTION APRES A TOI DE FAIRE LE RESTE


 Coco, l'œuvre étudiée est une nouvelle écrite par Guy de Maupassant en 1884, à l'époque où le réalisme est à son apogée. L'histoire est celle d'un vieux cheval justement nommé «  Coco », maltraité par un valet de ferme.
Le texte étudié constitue la situation initiale de la nouvelle : il n'y a pas d'éléments perturbateurs donc il n'y a pas d'action. On peut observer que les verbes sont à l'imparfait, ce qui est typique d'une situation initiale. Puis l'auteur nous fait découvrir Coco, le héros éponyme, Zidore, le valet qui s'occupe de lui, ainsi que la ferme dans laquelle ils vivent.
Nous allons donc étudier la situation initiale de l'œuvre puis, dans une première partie, les différentes descriptions qui constituent le texte; puis dans une seconde partie, nous nous demanderons si ce début de nouvelle peut être qualifiée de réaliste, et comment l'auteur nous fait entrer dans cette histoire.

L'auteur nous présente le personnage de Coco à partir de la ligne 18. Il s'agit d'un « très vieux cheval blanc » (l.18) que l'on garde parce que la maîtresse l'avait élevé depuis tout petit. Ce cheval ne travaille plus, c'est une « bête inutile » ( l.40) Il est si vieux qu'il se déplace difficilement, « presque perclus » (l.25) et lève avec peine ses « jambes lourdes » (l.25) . Coco est donc caractérisé par un champ lexical de la vieillesse mais aussi de la maladie.
On constate également que l'auteur, dans sa description, établit une personnification du cheval : coco a « les jambes lourdes » (l.25) , comme un être humain, ses poils ont « l'air de cheveux blancs » (l.27), il a « l'air triste » (l.27). Il est même qualifié « d'invalide » (l.22), terme que l'on emploie plus tôt pour les jambes.
L'auteur crée donc un personnage pathétique et accentue cet aspect par la personnification.
Ainsi, le lecteur est amené à s'identifier au cheval, à le prendre en sympathie.
Puis, Maupassant nous dresse le portrait d'Isidore Duval, appelé Zidore à partir de la ligne 21.
Il s'agit d'un « goujat de quinze ans » (l.21) chargé de prendre soin de Coco et le mener au pré.
Ce garçon nous est présenté comme un être stupide et s'exprimant difficilement en bégayant, « Il semblait stupide  parlait en bégayant »(l.37). Quant à son physique, il n'est pas plus avantageux.
C'est un grand maigrelet, crasseux, doté de surcroît d'une chevelure rousse qui est la couleur du feu, symbole du diable dans la littérature du 19ème siècle. Zidore est donc considéré par un champ lexical de la stupidité et de la laideur.
La figure de style ici employée « C'était un maigre enfant, haut sur jambes, très sale, coiffé de cheveux roux, épais, durs et hérissés. »(l.36) par l'accumulation de ces qualificatifs renforce le jugement péjoratif de ce personnage.
Malgré ses quinze ans, Zidore tient un comportement bestial, brutal et lâche « son âme épaisse de brute » (l.38) . Il nourrit « une haine de paysan rapace, de paysan sournois, féroce, brutal et lâche » (l.45) car il juge vain de porter une quelconque attention à une vieille bête non rentable et infirme.
On constate que l'auteur emploie l'anaphore « une haine » ( ;.44-45) pour dénoncer l'hostilité de Zidore à l'égard de Coco et à nouveau la figure de style qui est l'accumulation (L.45) pour critiquer le comportement cupide et brutal des paysans.
L'auteur cherche donc à dévaloriser Zidore qui est l'exemple même de la cruauté humaine et
créer ainsi un personnage tyrannique.
Ainsi, par cette description péjorative du portrait de Zidore, le lecteur est amené à éprouver un sentiment d'aversion à son égard.
Le cadre spatial de l'histoire se déroule dans la ferme des Lucas où vit Coco. Cette ferme appelée « Métairie » qui lui donne une idée de richesse, est la plus cossue de « tout le pays environnant » (l.1) où il règne ordre « la plus ordonnée de la contrée » (l.4) et grandeur « la plus vaste, ...

 

Anonyme
Posté le 24 sept. 2017

Pour commencer, relève les éléments qui permet de prouver que le texte est vrai (lieux, date)

Puis prouve également que ton texte n'est pas fantastique et merveilleux.

Tu dois trouver tout seul les éléments qui permettent de prouver tout ça... je n'ai pas le droit d'en dire plus... Bonne chance ^^

Anonyme
Posté le 24 sept. 2017

il faut que tu trouve que ton texte  n est pas merveilleux et prouve avec les élèments  ton texte est vrai


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