- Partage ce devoir avec tes amis !
Sujet du devoir
je dois et vous devez le faire vite je devrez le rentre bientot
conjuguant les verbes à l'imparfait le texte
Où j'en suis dans mon devoir
Je vois des ombresj'émergeais de ces puits latéraux, et se mouvais , masses énormes et difformes : des espèces d’ours qui pataugent et grognent. C’est nous.
Nous sommes emmitouflés à la manière des populations arctiques. Lainages, couvertures, toiles à sac, nous empaquettent, nous surmontent, nous arrondissent étrangement. Quelques-uns s’étirent, vomissent des bâillements. On perçoit des figures, rougeoyantes ou livides, avec des salissures qui les balafrent, trouées par les veilleuses d’yeux brouillés et collés au bord, embroussaillées de barbes non taillées ou encrassées de poils non rasés.
Tac ! Tac ! Pan ! Les coups de fusil, la canonnade. Au-dessus de nous, partout, ça crépite ou ça roule, par longues rafales ou par coups séparés. Le sombre et flamboyant orage ne cesse jamais, jamais. Depuis plus de quinze mois, depuis cinq cents jours, en ce lieu du monde où nous sommes, la fusillade et le bombardement ne se sont pas arrêtés du matin au soir et du soir au matin. On est enterré au fond d’un éternel champ de bataille ; mais comme le tic-tac des horloges de nos maisons, aux temps d’autrefois, dans le passé quasi légendaire, on n’entend cela que lorsqu’on écoute.
4 commentaires pour ce devoir
"je dois et vous devez le faire vite": ça donne vraiment envie de t'aider!
Version polie: "Je dois rendre rapidement ce devoir et je vous remercie d'avance si vous voulez bien m'aider".
La première phrase est mal recopiée. Le texte de Barbusse:
"Je vois des ombres émerger de ces puits latéraux, et se mouvoir, masses énormes et difformes : des espèces d’ours qui pataugent et grognent. C’est nous."
Je t'aide pour celle-ci. Mais revérifie le texte d'origine, que tu trouveras ici:
https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Barbusse_-_Le_Feu_:_journal_d%E2%80%99une_escouade.djvu/14
D'abord, une précision: les verbes à l'infinitif n'étant pas conjugués ne se mettent pas à l'imparfait.
"Je voyais des ombres émerger de ces puits latéraux, et se mouvoir, masses énormes et difformes : des espèces d’ours qui pataugeaient et grognaient. C’était nous".
Continue, à partir du texte initial.
Je voyais des ombres j'émergeais de ces puits latéraux, et se mouvaient, masses énormes et difformes : des espèces d’ours qui pataugeaient et grognaient. C’est nous.
Nous étions emmitouflés à la manière des populations arctiques. Lainages, couvertures, toiles à sac, nous empaquettaient, nous surmontaient, nous arrondissaient étrangement. Quelques-uns s’étiraient, vomissaient des bâillements. On perçevait des figures, rougeoyantes ou livides, avec des salissures qui les balafraient, trouées par les veilleuses d’yeux brouillés et collés au bord, embroussaillées de barbes non taillées ou encrassées de poils non rasés.
Tac ! Tac ! Pan ! Les coups de fusil, la canonnade. Au-dessus de nous, partout, ça crépitait ou ça roulait, par longues rafales ou par coups séparés. Le sombre et flamboyant orage ne cessait jamais, jamais. Depuis plus de quinze mois, depuis cinq cents jours, en ce lieu du monde où nous étions, la fusillade et le bombardement ne s'étaient pas arrêtés du matin au soir et du soir au matin. On était enterré au fond d’un éternel champ de bataille ; mais comme le tic-tac des horloges de nos maisons, aux temps d’autrefois, dans le passé quasi légendaire, on n’entendait cela que lorsqu’on écoutait.
depuis cinq cent jours,
Ils ont besoin d'aide !
- Aucun devoir trouvé, poste ton devoir maintenant.
Je vois des ombres j'émergeais de ces puits latéraux, et se mouvaient, masses énormes et difformes : des espèces d’ours qui pataugeaient et grognaient. C’est nous.
Nous étions emmitouflés à la manière des populations arctiques. Lainages, couvertures, toiles à sac, nous empaquetions, nous surmontions, nous arrondissions étrangement. Quelques-uns s’étiraient, vomissaient des bâillements. On perçevait des figures, rougeoyantes ou livides, avec des salissures qui les balafraient, trouées par les veilleuses d’yeux brouillés et collés au bord, embroussaillées de barbes non taillées ou encrassées de poils non rasés.
Tac ! Tac ! Pan ! Les coups de fusil, la canonnade. Au-dessus de nous, partout, ça crépitait ou ça roulait, par longues rafales ou par coups séparés. Le sombre et flamboyant orage ne cessait jamais, jamais. Depuis plus de quinze mois, depuis cinq cents jours, en ce lieu du monde où nous étions, la fusillade et le bombardement ne se sont pas arrêtés du matin au soir et du soir au matin. On était enterré au fond d’un éternel champ de bataille ; mais comme le tic-tac des horloges de nos maisons, aux temps d’autrefois, dans le passé quasi légendaire, on n’entendait cela que lorsqu’on écoute.