Affaire Dreyfus !! Merci pour chaque Personne qui m'aidera j'en ai Absolument Besoin

Publié le 29 mai 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 1 juin 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

Bonjours , Celui ou celle qui a un résume de L'affaire Dreyfus peut-il me le transmettre Svp car j'en ai besoin . Merci

Où j'en suis dans mon devoir




7 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 29 mai 2010
Je te remercie ; mais en 1898 je n'ais pas vraiment compris ola va voir son ami Georges Clémenceau, propriétaire du journal "l'Aurore", lui demandant la permission... ? ! Il lui demande la permission de publier l'histoire ? cest sa
Anonyme
Posté le 29 mai 2010
Salut Indira91i,

+++++++++++lien++++++++++

http://www.linternaute.com/histoire/affaire_dreyfus/191/a/1/1/3/

va voir
Anonyme
Posté le 29 mai 2010
re...

Une des plus grandes crises politiques et morales de la IIIèmeRépublique, qui déchaîna l'opinion publique de 1896 à 1899 sur la culpabilité du capitaine d'origine juive Alfred Dreyfus, condamné à tort pour espionnage. Au-delà du scandale judiciaire, "l'Affaire" révéla les profonds clivages politiques et idéologiques de la France d'avant 1914.
Le procès Dreyfus
En septembre 1894, en pleine période de révision des plans de guerre après la conclusion de l'accord secret franco-russe, fut découvert au service de renseignements français un bordereau anonyme contenant une liste de documents militaires français confidentiels destinée à l'ambassade d'Allemagne. Un officier du 2e bureau de l'état-major général, juif d'origine alsacienne, le capitaine Dreyfus, fut inculpé sur une simple ressemblance d'écriture et traduit devant le Conseil de guerre qui le condamna le 22 décembre suivant à la dégradation et à la déportation à vie sur l'île du Diable. Rares furent ceux qui mirent en doute sa culpabilité y compris parmi les socialistes (Jean Jaurès par exemple) et le procès alimenta la campagne antisémite du journaliste Drumont qui s'exprimait dans le journal la Libre Parole. Pourtant, la famille du capitaine, et notamment son frère, Mathieu, continua d'agir pour faire triompher son innocence. Sans cette volonté familiale, il n'y aurait pas eu d'Affaire Dreyfus. À l'automne 1896, l'Éclair puis le Matin attirèrent l'attention du public sur la nature suspecte des preuves qui avaient entraîné la condamnation de l'officier. Bernard Lazare, un critique et publiciste juif, publia une brochure favorable à Dreyfus. Le colonel Piquart, nouveau chef du service des renseignements, découvrit un document accablant un officier d'infanterie, le commandant Esterházy. Un an plus tard le Figaro, sous la plume de Mathieu, le révéla au public. Pour éviter une révision du procès de Dreyfus, les autorités militaires traduisirent Esterházy devant le Conseil de guerre qui l'acquitta, le 10 janvier 1898. Le gouvernement progressiste qui n'entendait remettre en cause ni l'autorité de la chose jugée ni l'autorité de l'armée approuva. Piquart fut envoyé en Tunisie. Le surlendemain, l'écrivain Émile Zola publia dans le journal de Georges Clemenceau, l'Aurore, une lettre ouverte au président de la République, sous le titre "J'accuse", dans laquelle il dénonçait le déni de justice commis par l'armée et ses complices, hommes politiques et magistrats. Zola fut condamné pour diffamation à un an de prison ferme et à une amende, mais l'affaire Dreyfus était devenue "l'Affaire".

Anonyme
Posté le 29 mai 2010
Merci beaucoup mais ce lien apport plusieur date et non un resume..
Anonyme
Posté le 29 mai 2010
voir aussi

http://pedagogie2.ac-reunion.fr/LYVERGERP/FRANCAIS/Bel-Ami/Hoareau-Rebeca-Vidot/AFF_DREYFUS3.HTM
Anonyme
Posté le 29 mai 2010
Ok je t'en cheche un ^^ ou je regarde sur mon classeur de 4e
Anonyme
Posté le 29 mai 2010
trouvé sur Wikipédia

À la fin de l'année 1894, le capitaine de l'armée française Alfred Dreyfus, polytechnicien, Juif d'origine alsacienne, accusé d'avoir livré aux Allemands des documents secrets, est condamné au bagne à perpétuité pour trahison et déporté sur l'île du Diable. À cette date, l'opinion comme la classe politique française sont unanimement défavorables à Dreyfus.

Certaine de l'incohérence de cette condamnation, la famille du capitaine, derrière son frère Mathieu, tente de prouver son innocence, engageant à cette fin le journaliste Bernard Lazare. Parallèlement, le colonel Georges Picquart, chef du contre-espionnage, constate en mars 1896 que le vrai traître avait été le commandant Ferdinand Walsin Esterházy. L'État-Major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte Picquart en Afrique du Nord.

Afin d'attirer l'attention sur la fragilité des preuves contre Dreyfus, sa famille contacte en juillet 1897 le respecté président du Sénat Auguste Scheurer-Kestner qui fait savoir, trois mois plus tard, qu'il a acquis la conviction de l'innocence de Dreyfus, et qui en persuade également Georges Clemenceau, ancien député et alors simple journaliste. Le même mois, Mathieu Dreyfus porte plainte auprès du ministère de la Guerre contre Walsin-Esterházy. Alors que le cercle des dreyfusards s'élargit, deux événements quasi simultanés donnent en janvier 1898 une dimension nationale à l'affaire : Esterházy est acquitté, sous les acclamations des conservateurs et des nationalistes ; Émile Zola publie « J'Accuse…! », plaidoyer dreyfusard qui entraîne le ralliement de nombreux intellectuels. Un processus de scission en deux de la France est entamé, qui se prolonge jusqu’à la fin du siècle. Des émeutes antisémites éclatent dans plus de vingt villes françaises. On dénombre plusieurs morts à Alger. La République est ébranlée, certains la voient même en péril, ce qui incite à en finir avec l’affaire Dreyfus pour ramener le calme.

Malgré les menées de l'armée pour étouffer cette affaire, le premier jugement condamnant Dreyfus est cassé par la Cour de cassation au terme d'une enquête minutieuse, et un nouveau conseil de guerre a lieu à Rennes en 1899. Contre toute attente, Dreyfus est condamné une nouvelle fois, à dix ans de travaux forcés, avec, toutefois, circonstances atténuantes. Épuisé par sa déportation de quatre longues années, Dreyfus accepte la grâce présidentielle, accordée par le président Émile Loubet. Ce n'est qu'en 1906 que son innocence est officiellement reconnue au travers d'un arrêt sans renvoi de la Cour de cassation[4], décision inédite et unique dans l'histoire du droit français. Réhabilité, le capitaine Dreyfus est réintégré dans l'armée au grade de commandant et participe à la Première Guerre mondiale. Il meurt en 1935.

Les conséquences de cette affaire sont innombrables et touchent tous les aspects de la vie publique française : politique (elle consacre le triomphe de la IIIe République, dont elle devient un mythe fondateur[5] tout en renouvelant le nationalisme), militaire, religieux (elle ralentit la réforme du catholicisme français, ainsi que l'intégration républicaine des catholiques), social, juridique, médiatique, diplomatique et culturel (c'est à l'occasion de l'affaire que le terme d'intellectuel est forgé). L'affaire a également un impact international sur le mouvement sioniste au travers d'un de ses pères fondateurs : Théodore Herzl et de par l'émoi que ses manifestations antisémites vont provoquer au sein des communautés juives d'Europe centrale et occidentale.

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