Biographie complete sur Louis XVI

Publié le 28 déc. 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 31 déc. 2012 dans 11A
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Sujet du devoir

Svp Il me faudrais une biographie complete sur Louis XVI En ordre ossi je suis désolé si cela est trop demandée !

Où j'en suis dans mon devoir

Je n'ai pas assez de connaisances sur les rois français ! Je voudrais que vous m'aidiez a ce sujet ! Car c'est très important pour mon cours D'histoire !!



7 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 28 déc. 2010
Salut si tu veux savoir la biographie de Louis XVI tu peux aller voir sur ce lien: http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_XVI_de_France
Voila! Salut!
Anonyme
Posté le 28 déc. 2010
Bonjour Waldo

Essaye internet! C'est l'un des roi de France qui suscite le plus d'interêt/ Tu pourra trouver des photos et des textes super en cherchant bien.
Pour faire ton exposé commence par bâtir un plan. Quel message veux-tu faire passer?
Part de sa généalogie, puis son enfance, son règne et la chute de son règne (que s'est-il passé, pourquoi a-t-il été emprisonné? exécuté?)
courage voici quelques liens pour t'aider :
http://roilouis16.free.fr/
http://www.histoire-en-ligne.com/spip.php?article230
http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_XVI_de_France

Essaye de découvrir ce bon roi aimant son peuple et si décrié encore aujourd'hui.
Bon courage
Anonyme
Posté le 28 déc. 2010
Merci pour ton aide précieuse ;)
Anonyme
Posté le 28 déc. 2010
Merci
Anonyme
Posté le 28 déc. 2010
c'est Louis 16
Anonyme
Posté le 28 déc. 2010
c'est Louis 16
Anonyme
Posté le 28 déc. 2010
bonsoir voila j'ai deja eu une biographie de se genre la a faire
j'ai eu 15/20

Né à Versailles le 23 août 1754, il était le second fils de Louis, dauphin de France, et de Marie-Josèphe de Saxe. Il reçut en naissant le titre de duc de Berry. Son âme franche et sans déguisement s'ouvrit de bonne heure à tous les sentiments vertueux, et son esprit droit et sérieux à toutes les connaissances utiles. Mais la fermeté et une juste confiance en lui-même manquèrent à son caractère, et ce défaut rendit inutile ou funeste tout ce qu'il avait reçu ou acquis pour sa gloire et pour le bonheur de ses peuples.

Son éducation fut celle des rois dont les instituteurs oubliaient trop souvent que la même doctrine qui leur enseigne à modérer leur pouvoir, leur commande surtout de le maintenir. En 1765 il perdit son père, qui laissait tant de regrets, et bientôt après sa mère qui ne put survivre à son époux. La douleur du jeune prince fut extrême : il refusa longtemps de sortir ; et lorsqu'en traversant les appartements il entendit
Louis XVI (1774-1792)

dire pour la première fois : « Place à Monsieur le dauphin », des pleurs inondèrent son visage et il s'évanouit.

Le premier événement de sa vie fut son mariage avec la fille de l'immortelle Marie-Thérèse, Marie-Antoinette d'Autriche, qui devait partager son trône et ses malheurs. Les fêtes données à l'occasion de ce mariage (16 mai 1770), mal ordonnées par la police, coûtèrent la vie à un grand nombre de spectateurs ; triste présage du sort qui attendait ces époux infortunés. Bientôt la mort de Louis XV (10 mai 1774) lui imposa un fardeau qu'il n'accepta qu'en tremblant. La faveur publique s'attache d'ordinaire aux jeunes rois : Louis XVI, âgé de vingt ans, la méritait à bien d'autres titres, et il en reçut à son avènement au trône les témoignages les moins équivoques.

Son premier soin avait été d'appeler au ministère M. de Machault, digne de cet honneur et capable de diriger la jeunesse du monarque dans les circonstances difficiles où se trouvait l'État. Une intrigue de cour l'écarta et mit à sa place le comte de Maurepas, courtisan profond dans l'art de l'intrigue, superficiel dans tout le reste, et dont le grand âge n'avait pu guérir l'incurable frivolité. Trop vieux pour un roi de vingt ans, et qui avait besoin d'être enhardi, il intimida sa jeunesse sans guider son inexpérience.

Louis XVI avait de la bonté dans le cœur, mais quelque rudesse dans les manières ; et ses premiers mouvements contre tout ce qui s'écartait de l'ordre, se ressentaient de la franchise de son caractère et de l'austérité de ses vertus. M. de Maurepas qui se jouait des choses les plus sérieuses et voyait tout avec indifférence, adoucit beaucoup trop cette disposition qui ressemble quelquefois à de la force de caractère, et peut du moins en dissimuler l'excessive débonnaireté. Dès lors Louis XVI n'agit que sous l'inspiration de ses ministres ; il appela successivement ceux que lui désignaient d'une part Maurepas, et de l'autre, une prétendue opinion publique, que l'intrigue et les intérêts personnels font parler à leur gré, et qui malheureusement est la seule que les rois soient condamnés à entendre.

Ce furent : Turgot, partisan fanatique de cette politique matérialiste, qui ne voit dans le gouvernement des peuples que de l'argent, du commerce, du blé et des impôts, fier de se croire le chef d'une secte dont il n'était que l'instrument ; Malesherbes, ami de Turgot, qui avait à la fois des vertus antiques et des opinions nouvelles ; Saint-Germain, élevé dans les minuties de la tactique allemande qui détruisit le plus ferme rempart de la royauté, la maison du roi, dont la bravoure et l'incorruptible fidélité ne pouvaient racheter aux yeux des faiseurs militaires ce qui lui manquait en précision dans les manœuvres et en rigidité dans la discipline ; Necker enfin, banquier protestant et Genevois, et à ce double titre, imbu de cette politique rétrécie qui veut régler un royaume sur le système dune petite démocratie et les finances d'un grand État comme les registres d'une maison de banque ; qui s'irrite contre toute distinction autre que celle de la fortune, et ne voit dans le dépositaire du pouvoir monarchique que le président d'une assemblée délibérante, ou le chef d'une association commerciale, révocable au gré des actionnaires.

Aucun de ces hommes ne comprenait la monarchie française, et il eût suffi de l'un d'eux pour la renverser. Louis XVI, naturellement porté à l'économie, commença son règne par des retranchements sur ses dépenses ; réductions qui honorent la modération d'un souverain quand elles ne coûtent à la royauté aucun sacrifice sur ses droits et sa dignité. Il remit au peuple le droit de joyeux avènement ; il établit pour Paris le mont de piété et la caisse d'escompte ; il fit cesser les craintes d'une banqueroute en assurant le payement des rentes sur l'hôtel de ville ; il abolit les corvées, qu'il convertit en impôt pécuniaire, et il abolit aussi dans la Franche-Comté un reste de servitude territoriale, dont n'avaient peut-être jamais entendu parier ceux qui firent de cet affranchissement un texte aux plus emphatiques éloges ; il supprima la torture, ou question judiciaire avant la condamnation à mort, sévérité à peu près tombée en désuétude, mais dont la menace importunait les conspirateurs.

Louis XVI rendit plus tard aux protestants la plénitude des droits civils (1787), en imprimant à leurs mariages un caractère légal : bienfait immense, n'eût-il été qu'un acte de justice, et trop mal reconnu. Enfin, il essaya des administrations provinciales, formées par Necker dans des vues et sur un plan assez peu monarchiques. Cette nouveauté était d'une extrême conséquence : avec l'esprit qui régnait alors, c'était faire un changement de front sous le feu de l'ennemi.

Louis XVI, en montant sur le trône, avait rappelé les compagnies de magistrature, remplacées sous son prédécesseur par des juges sans dignité et sans influence politique. La cour, qui depuis longtemps croyait gouverner toute seule, quand elle ne faisait qu'administrer, oubliait que la France n'avait jamais été et même ne pouvait dans les temps difficiles être régie que par l'autorité de la justice, qui rendait la royauté présente aux peuples dans toute sa force et sa majesté. Renfermés, sous les rois forts et les règnes tranquilles, dans les fonctions modestes de la justice distributive, ces grands corps en sortaient par nécessité sous les règnes faibles et dans les temps orageux, pour exercer à la place du roi un pouvoir qui, échappé de ses mains, serait tombé dans celles d'un ministre ou d'un favori.

Sous les rois forts comme sous les rois faibles, instruments des uns ou appui des autres, ils avaient fait la royauté dépendante des lois et indépendante des sujets, et rendu la législation imposante, l'obéissance honorable : puissants à servir le pouvoir, ou à le suppléer, incapables de l'usurper eux-mêmes, et opposant à toute autre usurpation un obstacle insurmontable : tels avaient été jusqu'à ces derniers temps les parlements de France, heureux tempérament d'aristocratie et de démocratie, confondus dans une magistrature véritablement royale et qui, seule en Europe, avait donné à la haute police, à la police des révolutions, ces formes augustes et solennelles qui dans l'exercice de l'autorité ne laissaient voir que la justice, et dans l'emploi de la force qu'un jugement.

Le premier événement politique du règne de Louis XVI fut la guerre d'Amérique, guerre que repoussait le cœur droit du monarque. Mais on fit parler l'opinion publique, surtout celle de la capitale, avide de nouveautés et d'émotions ; et la guerre fut décidée. Ce fut une grande faute : il eût fallu laisser l'Angleterre s'épuiser sans soumettre les colonies, ou les épuiser pour les soumettre. Dès lors, il s'élevait entre les deux peuples une haine irréconciliable, que les Anglais tournèrent contre nous, et dont l'équivoque amitié des Américains ne pouvait empêcher ou compenser les effets. Nous fûmes heureux dans cette guerre comme auxiliaires : l'Amérique fut affranchie du joug des Anglais ; mais notre marine et celle de l'Espagne, notre alliée, essuyèrent de grandes pertes.


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