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Sujet du devoir
Le brocanteur regarda fixement mon père et dit : ça fait cinquante francs.Oh oh ! Dit mon père ,c'est trop cher !C'est cher,mais c'est beau ,dit le brocanteur,la commode est d'époque.Il montrait du doigt cette ruine vermoulue.Je le crois volontiers,dit mon père.Elle est certainement d'une époque, mais pas de la notre ! Le brocanteur prit unair dégouté: vous aimez tellement le moderne ? Ma foi,dit mon père,je n'achète pas ça pour un musée.C'est pourm'en servir.Le vieillard parut attristé par cet aveu.
Alors, dit-il,ça ne vous fait rien de penser que ce meuble a peut être vu la reine Marie-Antoinette en chemise de nuit ?
D'après son état,dit mon père,ça ne m'étonnerait pas qu'elle ait vu le roi Hérode en caleçon!
Là,je vous arr^te,dit le brocanteur,le roi Hérode avait peut êtr descaleçons,mais pas de commodes:rien que des coffres à clous d'or!Je vous le dis parce que je suis honnête.Je vous remercie,dit mon père,et puisque vous êtes honnête , vous me faites le tout à ternte-cinq francs.Le brocanteur nous regarda d'un air douloureux,hocha la tête et dit :ce n'est pas possible parce que je dois cinquante francs à mon propriétaire qui vient encaisser à midi.
Où j'en suis dans mon devoir
Le brocanteur regarda fixement mon père et dit : » ça fait cinquante francs »« .Oh oh ! Dit: mon père
c'est trop cher ! »
« C'est cher,mais c'est beau » dit : le brocanteur,la commode est d'époque.
Il montrait du doigt cette ruine vermoulue.
« Je le crois volontiers »dit: mon père.Elle est certainement d'une époque, mais pas de la notre !
Le brocanteur prit un air dégouté: vous aimez tellement le moderne ?
« Ma foi,dit : mon père,je n'achète pas ça pour un musée. »
« C'est pourm'en servir »
Le vieillard parut attristé par cet aveu.
« Alors!, dit-il,ça ne vous fait rien de penser que ce meuble a peut être vu la reine Marie-Antoinette en chemise de nuit ? »
« D'après son état,dit : mon père ça ne m'étonnerait pas qu'elle ait vu le roi Hérode en caleçon! »
- »Là,je vous arrête !dit le brocanteur,le roi Hérode avait peut êtr descaleçons,mais pas de commodes:
rien que des coffres à clous d'or!Je vous le dis parce que je suis honnête. »
« Je vous remercie,dit: mon père,et puisque vous êtes honnête , vous me faites le tout à ternte-cinq francs. »
Le brocanteur nous regarda d'un air douloureux,hocha la tête et dit :
« Ce n'est pas possible parce que je dois cinquante francs à mon propriétaire qui vient encaisser à midi. »
9 commentaires pour ce devoir
Tu n'as pas changé le verbe dire.
Voici des verbes que tu peux utiliser :
- pour intervenir dans le dialogue : demander, interroger,répondre, répliquer, rétorquer, proposer, suggérer, interrompre, couper
- pour évoquer le ton de la voix : chuchoter, murmurer, crier, s'écrier, hurler
- pour exprimer un sentiment : s'étonner, regretter, se réjouir, se plaindre
et bien d'autres encore.
A toi de jouer !
Voici des verbes que tu peux utiliser :
- pour intervenir dans le dialogue : demander, interroger,répondre, répliquer, rétorquer, proposer, suggérer, interrompre, couper
- pour évoquer le ton de la voix : chuchoter, murmurer, crier, s'écrier, hurler
- pour exprimer un sentiment : s'étonner, regretter, se réjouir, se plaindre
et bien d'autres encore.
A toi de jouer !
Le brocanteur regarda fixement mon père et dit:
« ça fait cinquante francs,proposa le brocanteur.
- Oh oh ! s'écria mon père ,c'est trop cher !
- C'est cher,mais c'est beau ,répliqua le brocanteur,la commode est d'époque. »
Il montrait du doigt cette ruine vermoulue.
« Je le crois volontiers,aquiessa mon père,elle est certainement d'une époque, mais pas de la notre ! »
Le brocanteur prit un air dégouté:
« vous aimez tellement le moderne ?
Ma foi,réponda mon père,je n'achète pas ça pour un musée, c'est pour m'en servir. »
Le vieillard parut attristé par cet aveu.
« Alors! S'éxlama le brocanteur,ça ne vous fait rien de penser que ce meuble a peut être vu la reine Marie-Antoinette en chemise de nuit ?
D'après son état ,conclua mon père,ça ne m'étonnerait pas qu'elle ait vu le roi Hérode en caleçon !
Là ! je vous arrête,rétorqua le brocanteur,le roi Hérode avait peut être des caleçons,mais pas de commodes:rien que des coffres à clous d'or! Je vous le confirme parce que je suis honnête.
Je vous remercie, répondit mon père,et puisque vous êtes honnête , vous me faites le tout à ternte-cinq francs. »
Le brocanteur nous regarda d'un air douloureux,hocha la tête et murmura :
« Ce n'est pas possible parce que je dois cinquante francs à mon propriétaire qui vient encaisser à midi. »
« ça fait cinquante francs,proposa le brocanteur.
- Oh oh ! s'écria mon père ,c'est trop cher !
- C'est cher,mais c'est beau ,répliqua le brocanteur,la commode est d'époque. »
Il montrait du doigt cette ruine vermoulue.
« Je le crois volontiers,aquiessa mon père,elle est certainement d'une époque, mais pas de la notre ! »
Le brocanteur prit un air dégouté:
« vous aimez tellement le moderne ?
Ma foi,réponda mon père,je n'achète pas ça pour un musée, c'est pour m'en servir. »
Le vieillard parut attristé par cet aveu.
« Alors! S'éxlama le brocanteur,ça ne vous fait rien de penser que ce meuble a peut être vu la reine Marie-Antoinette en chemise de nuit ?
D'après son état ,conclua mon père,ça ne m'étonnerait pas qu'elle ait vu le roi Hérode en caleçon !
Là ! je vous arrête,rétorqua le brocanteur,le roi Hérode avait peut être des caleçons,mais pas de commodes:rien que des coffres à clous d'or! Je vous le confirme parce que je suis honnête.
Je vous remercie, répondit mon père,et puisque vous êtes honnête , vous me faites le tout à ternte-cinq francs. »
Le brocanteur nous regarda d'un air douloureux,hocha la tête et murmura :
« Ce n'est pas possible parce que je dois cinquante francs à mon propriétaire qui vient encaisser à midi. »
Le brocanteur regarda fixement mon père et dit:
« ça fait cinquante francs,proposa le brocanteur.
- Oh oh ! s'écria mon père ,c'est trop cher !
- C'est cher,mais c'est beau ,répliqua le brocanteur,la commode est d'époque. »
Il montrait du doigt cette ruine vermoulue.
« Je le crois volontiers,aquiessa mon père,elle est certainement d'une époque, mais pas de la notre ! »
Le brocanteur prit un air dégouté:
« vous aimez tellement le moderne ?
Ma foi,réponda mon père,je n'achète pas ça pour un musée, c'est pour m'en servir. »
Le vieillard parut attristé par cet aveu.
« Alors! S'éxlama le brocanteur,ça ne vous fait rien de penser que ce meuble a peut être vu la reine Marie-Antoinette en chemise de nuit ?
D'après son état ,conclua mon père,ça ne m'étonnerait pas qu'elle ait vu le roi Hérode en caleçon !
Là ! je vous arrête,rétorqua le brocanteur,le roi Hérode avait peut être des caleçons,mais pas de commodes:rien que des coffres à clous d'or! Je vous le confirme parce que je suis honnête.
Je vous remercie, répondit mon père,et puisque vous êtes honnête , vous me faites le tout à ternte-cinq francs. »
Le brocanteur nous regarda d'un air douloureux,hocha la tête et murmura :
« Ce n'est pas possible parce que je dois cinquante francs à mon propriétaire qui vient encaisser à midi. »
« ça fait cinquante francs,proposa le brocanteur.
- Oh oh ! s'écria mon père ,c'est trop cher !
- C'est cher,mais c'est beau ,répliqua le brocanteur,la commode est d'époque. »
Il montrait du doigt cette ruine vermoulue.
« Je le crois volontiers,aquiessa mon père,elle est certainement d'une époque, mais pas de la notre ! »
Le brocanteur prit un air dégouté:
« vous aimez tellement le moderne ?
Ma foi,réponda mon père,je n'achète pas ça pour un musée, c'est pour m'en servir. »
Le vieillard parut attristé par cet aveu.
« Alors! S'éxlama le brocanteur,ça ne vous fait rien de penser que ce meuble a peut être vu la reine Marie-Antoinette en chemise de nuit ?
D'après son état ,conclua mon père,ça ne m'étonnerait pas qu'elle ait vu le roi Hérode en caleçon !
Là ! je vous arrête,rétorqua le brocanteur,le roi Hérode avait peut être des caleçons,mais pas de commodes:rien que des coffres à clous d'or! Je vous le confirme parce que je suis honnête.
Je vous remercie, répondit mon père,et puisque vous êtes honnête , vous me faites le tout à ternte-cinq francs. »
Le brocanteur nous regarda d'un air douloureux,hocha la tête et murmura :
« Ce n'est pas possible parce que je dois cinquante francs à mon propriétaire qui vient encaisser à midi. »
ahhhhhhhhhh
est ce que j'ai bon ?????
EST CE QUE j'ai bon merci
Le brocanteur regarda fixement mon père et dit:
« ça fait cinquante francs,proposa le brocanteur.
- Oh oh ! s'écria mon père ,c'est trop cher !
- C'est cher,mais c'est beau ,répliqua le brocanteur,la commode est d'époque. »
Il montrait du doigt cette ruine vermoulue.
« Je le crois volontiers,aquiessa mon père,elle est certainement d'une époque, mais pas de la notre ! »
Le brocanteur prit un air dégouté:
« vous aimez tellement le moderne ?
Ma foi,réponda mon père,je n'achète pas ça pour un musée, c'est pour m'en servir. »
Le vieillard parut attristé par cet aveu.
« Alors! S'éxlama le brocanteur,ça ne vous fait rien de penser que ce meuble a peut être vu la reine Marie-Antoinette en chemise de nuit ?
D'après son état ,conclua mon père,ça ne m'étonnerait pas qu'elle ait vu le roi Hérode en caleçon !
Là ! je vous arrête,rétorqua le brocanteur,le roi Hérode avait peut être des caleçons,mais pas de commodes:rien que des coffres à clous d'or! Je vous le confirme parce que je suis honnête.
Je vous remercie, répondit mon père,et puisque vous êtes honnête , vous me faites le tout à ternte-cinq francs. »
Le brocanteur nous regarda d'un air douloureux,hocha la tête et murmura :
« Ce n'est pas possible parce que je dois cinquante francs à mon propriétaire qui vient encaisser à midi. »
« ça fait cinquante francs,proposa le brocanteur.
- Oh oh ! s'écria mon père ,c'est trop cher !
- C'est cher,mais c'est beau ,répliqua le brocanteur,la commode est d'époque. »
Il montrait du doigt cette ruine vermoulue.
« Je le crois volontiers,aquiessa mon père,elle est certainement d'une époque, mais pas de la notre ! »
Le brocanteur prit un air dégouté:
« vous aimez tellement le moderne ?
Ma foi,réponda mon père,je n'achète pas ça pour un musée, c'est pour m'en servir. »
Le vieillard parut attristé par cet aveu.
« Alors! S'éxlama le brocanteur,ça ne vous fait rien de penser que ce meuble a peut être vu la reine Marie-Antoinette en chemise de nuit ?
D'après son état ,conclua mon père,ça ne m'étonnerait pas qu'elle ait vu le roi Hérode en caleçon !
Là ! je vous arrête,rétorqua le brocanteur,le roi Hérode avait peut être des caleçons,mais pas de commodes:rien que des coffres à clous d'or! Je vous le confirme parce que je suis honnête.
Je vous remercie, répondit mon père,et puisque vous êtes honnête , vous me faites le tout à ternte-cinq francs. »
Le brocanteur nous regarda d'un air douloureux,hocha la tête et murmura :
« Ce n'est pas possible parce que je dois cinquante francs à mon propriétaire qui vient encaisser à midi. »
N'oublie pas les tirets aux changements d'interlocuteur.
Je t'ai corrigé les erreurs.
Le brocanteur regarda fixement mon père:
« ça fait cinquante francs, proposa-t-il.
- Oh oh ! s'écria mon père, c'est trop cher !
- C'est cher, mais c'est beau ,répliqua le brocanteur, la commode est d'époque. »
Il montrait du doigt cette ruine vermoulue.
« Je le crois volontiers, acquiesça mon père, elle est certainement d'une époque, mais pas de la nôtre ! »
Le brocanteur prit un air dégouté:
« vous aimez tellement le moderne ?
- Ma foi, répondit mon père, je n'achète pas ça pour un musée, c'est pour m'en servir. »
Le vieillard parut attristé par cet aveu.
« Alors! s'exclama-t-il, ça ne vous fait rien de penser que ce meuble a peut-être vu la reine Marie-Antoinette en chemise de nuit ?
- D'après son état, ironisa mon père, ça ne m'étonnerait pas qu'elle ait vu le roi Hérode en caleçon !
- Là ! je vous arrête, rétorqua le brocanteur, le roi Hérode avait peut-être des caleçons, mais pas de commodes: rien que des coffres à clous d'or ! Je vous le confirme parce que je suis honnête.
- Je vous remercie, répondit mon père, et puisque vous êtes honnête , vous me faites le tout à trente-cinq francs, ajouta-t-il. »
Le brocanteur nous regarda d'un air douloureux, hocha la tête et murmura :
« Ce n'est pas possible parce que je dois cinquante francs à mon propriétaire qui vient encaisser à midi. »
Je t'ai corrigé les erreurs.
Le brocanteur regarda fixement mon père:
« ça fait cinquante francs, proposa-t-il.
- Oh oh ! s'écria mon père, c'est trop cher !
- C'est cher, mais c'est beau ,répliqua le brocanteur, la commode est d'époque. »
Il montrait du doigt cette ruine vermoulue.
« Je le crois volontiers, acquiesça mon père, elle est certainement d'une époque, mais pas de la nôtre ! »
Le brocanteur prit un air dégouté:
« vous aimez tellement le moderne ?
- Ma foi, répondit mon père, je n'achète pas ça pour un musée, c'est pour m'en servir. »
Le vieillard parut attristé par cet aveu.
« Alors! s'exclama-t-il, ça ne vous fait rien de penser que ce meuble a peut-être vu la reine Marie-Antoinette en chemise de nuit ?
- D'après son état, ironisa mon père, ça ne m'étonnerait pas qu'elle ait vu le roi Hérode en caleçon !
- Là ! je vous arrête, rétorqua le brocanteur, le roi Hérode avait peut-être des caleçons, mais pas de commodes: rien que des coffres à clous d'or ! Je vous le confirme parce que je suis honnête.
- Je vous remercie, répondit mon père, et puisque vous êtes honnête , vous me faites le tout à trente-cinq francs, ajouta-t-il. »
Le brocanteur nous regarda d'un air douloureux, hocha la tête et murmura :
« Ce n'est pas possible parce que je dois cinquante francs à mon propriétaire qui vient encaisser à midi. »
Ils ont besoin d'aide !
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Voici les erreurs que j'ai notées :
Je le crois volontiers » dit mon père.
Le brocanteur prit un air dégoûté et dit : vous...
Ma foi, dit mon père..... C'est pour m'en servir.
D'après son état, dit mon père...
(...)des caleçons, mais pas de commodes !
Rien que des coffres...
Je vous remercie, dit mon père. Et puisque vous...
Pourquoi tous ses guillemets ?
Bonne continuation.