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Sujet du devoir
Charles Bovary, nouvel élève , a provoqué l'hilarité générale en prononçant son nom.
Ce fut un vacarme qui s'élança d'un bond, monta en crescendo, avec des éclats de voix aigus (on hurlait, on aboyait, on trépignait, on répétait : Charbovari! Charbovari!), puis qui roula en notes isolées, se calmant à grand-peine, et parfois qui reprenait tout à coup sur la ligne d'un banc où saillissait encore çà et là, comme un pétard mal éteint, quelque rire étouffé.
GUSTAVE FLAUBERT, Madame Bovary, 1857.
Emma vient d'avaler l'arsenic qui causera sa mort.
Elle ne haïssait personne, maintenant; une confusion de crépuscule s'abattait en sa pensée, et de tous les bruits de la terre Emma n'entendait plus que l'intermittente lamentation de ce pauvre coeur, douce et indistincte, comme le dernier écho d'une symphonie qui s'éloigne.
GUSTAVE FLAUBERT, Madame Bovary, 1857
Questions :
1) Confronter le rythme de ces deux périodes.
2) Comparez la place et le sens des comparaisons qui concluent chaque phrase.
Où j'en suis dans mon devoir
Reponses :2) Sens de la premiere comparaison : La comparaison signifie que malgrés le fait que les moqueries ont diminué, elles sont toujours présentes .
2 commentaires pour ce devoir
merci beaucoup
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le premier texte décrit une situation comique, essentiellement basée sur des références au cri
le second texte est une situation dramatique montrant le silence qui s'installe dans la pensée d'une mourante.
dans le premmier texte beaucoup de métaphores
dans le second une comparaison marquée par "comme".