Quelques idées pour écrire un fabliau ou un roman de renart

Sujet du devoir

Je dois écrire un fabliau ou une nouvelle aventure de renart qui soit marante. 15 lignes ou plus.

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai rassemblée plusieurs fabliau pour n'en faire qu'un sauf que je ne le trouve pas bien.

Les fabliau que j'ai fait.

C’est l’histoire d’une vilaine stupide dotée d’une beauté digne d’une princesse. Elle arrive dans un village où elle voit un vilain qui travailler sous la surveillance d’un bourgeois. Elle se rendit compte qu’elle aimait le jeune bourgeois. Comme un hasard, cette homme lui aussi l’aimait et lui donna rendez-vous. Puis elle partit le raconter à l’autre paysan mais ce qu’elle ne savait pas, le paysan était d’une méchanceté inimaginable.
-Dîtes, j’ai rendez-vous avec le jeune bourgeois
- Si vous l’aimez vraiment, posez-lui un lapin.
Alors elle partit au rendez-vous sur son cheval noir à crinière blanche, son lapin mort à la main mais le prince était déjà là.
- Vous êtes très belle aujourd’hui mais que faîtes-vous avec ce lapin mort ?
-Le paysan m’a conseillé de vous poser un lapin
-Mais vous m’aimez ?
-Oui, pourquoi ?
-Car poser un lapin veut dire ne pas aller à un rendez-vous.
-Ah ! Venez avec moi, je vais le paysan
Alors le bourgeois sur son cheval marron et la jeune femme sur son cheval noir à crinière blanche partirent en direction du village et ils allèrent voir le paysan.
Le paysan se mit à les insulter et le jeune bourgeois en a eu assez et lui donna un coup d’épée et le paysan tomba par terre : il est mort. Alors les deux jeunes tourtereaux partirent vers le coucher de soleil, la jeune femme sur son cheval noir à crinière blanche, et le bourgeois sur son beau cheval marron.
La morale de ce fabliau est que quand on aime une personne on ne doit écouter que son cœur et personne d’autre.

Le dernier je n'est pas trouver la morale

Le fermier qui avait trop de puces.

Un jour un paysan fermier vit ses vaches se gratter si brusquement qu'elles se sont mis à saigner. En voyant cela il se demanda ce que le Bon Dieu lui avait donné. Il se mit, donc, à chercher un vétérinaire pour ses vaches. Lorsqu'il put venir le fermier lui demanda inquiet :
"-Est-ce grave?
-Ce n'est rien que des puces !
-Alors pourquoi se sont-elles mit à saigner ?
-C'est une démangeaison si intense qu'elles n'ont pu se contrôler"
Un jour plus tard il vit ses âne se gratter comme des sauvages. Il appela donc un autre vétérinaire qui guérit ses vaches et lui informa :
-Écoutez, monsieur je vous conseille de vous mettre la puce à l'oreille car certaine puces sont ont des venins mortels. Maintenant je dois aller voir d'autres animaux, qui ont sûrement de puces eux aussi !
Plus tard dans la journée il vit sur ses poules des insectes sautant il en conclut, donc, que c’était des puces. IL en prit une en pleins sauts, il pencha sa tête sur la droite et enfonça la puce dans son oreille gauche.
La morale de ce fabliau est

Merci d'avance