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Sujet du devoir
Bonjour, j'ai une dissertation de philosophie à rendre pour la semaine prochaine " qu'est ce qu'une bonne interprétation"Où j'en suis dans mon devoir
J'ai fait un brouillon et j'aimerais savoir si je ne sors pas trop du sujet et si mon plan et ma problématique ne sont pas hors sujet ( mais aussi avoir quelques conseils )Voila en problématique je pense mettre soit
1- sachant que l'interprétation a plusieurs définitions comment peut on définir qu'est ce qu'une bonne interprétation
2- l'interprétation étant un acte propre à chacun, et subjectifs comment peut il y avoir une bonne interprétation
Comment plan je pensais mettre
I- Qu'est ce qu'une interprétation
A/ que va t-on interpréter ( je montre les différentes choses que l'on interpréte, comment ? et je conclu que sa vient d'un libre choix )
B/ la je montre que on ne peut pas tout interpréter notamment la nature et les sciences.
II-Les limites de l'interprétation
A/ Superstitions et paranoia
B/ ?
III-
A/ Faire preuve de rationalité
B/ ?
Donc voila j'ai pas fait grand chose mais j'y ai mis du temps parce que je suis vraiment perdu dans ce sujet.
1 commentaire pour ce devoir
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. Toute interprétation, et on le voit par exemple dans l'interprétation d'un rôle par un acteur au théâtre, est subjective. La bonne interprétation est-elle la plus fiable, la plus vraie, la plus objective ? Est-ce d'ailleurs en termes de vérité que l'on doit parler de bonne interprétation ? Il semble que non puisque la connaissance vise généralement un idéal d'objectivité, de conformité à l'objet, si l'interprétation n'y a en effet pas sa place, car elle est souvent partielle et partiale. Autant dire comme le fait Ricoeur que: « Il y a interprétation là où il a sens multiple, c'est dans l'interprétation que la pluralité des sens est rendue manifeste ». Devant cette multiplicité de sens ne faut-il pas imposer une interprétation considérée comme seule légitime afin d'éviter toute interprétation qui serait indigne à une religion, mais aussi à un texte, à une oeuvre ? Mais cette interprétation, somme toute imposée, n'a pas plus de légitimité si elle s'impose à la manière d'un dogme, et non en accord avec la raison. Celle-ci étant la seule faculté pouvant prétendre à instaurer accord entre les hommes. Seulement l'interprétation n'est pas une connaissance, elle porte en elle un caractère subjectif et relatif qui dessine certes sa limite mais instaure la possibilité pour toute interprète de s'enrichir et de dialoguer et d'éprouver sans cesse la diversité des sens et leurs foisonnements irréductibles.
Bonne chance !