ecriture d'invention

Publié le 28 déc. 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 30 déc. 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

présentez une ville utopique en utilisant une trame narrative et en vous inspirant des procédés et intentions présents dans les différents textes du corpus.
(ces textes étant des extrait de présentation d'endroit utopique...)

Où j'en suis dans mon devoir

je pensais à faire comme-ci je le réveillais un jour dans ma chambre, et qu'en ouvrant ma porte, je remarquais que tout avait changé,etc... et décrire tout cela...
Mais je ne sais pas comment faire, et normalement,, un écriture d'invention fait combien de lignes? parce que notre prof ne nous a rien indiqué!
Merci d'avance...



4 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 28 déc. 2010
au debut d'année jai deja fait ce sujet
utilise des énulérations; des hyoerboles, des adjectifs qualificatifs mélioratifs,...par contre ne decrit pas des trucs irréalistes ...
tu pourrai faire une ville écologique
pas de polution -> voiture électrique que pour les long trajets a l'exterieur de la ville.
si tu veux une invention complete faut que tu reponds a plusieurs questions comme :
il faut que tu parles de l'oraganisation de la ville ( ponts, structures, maison, s'il ya des quartiers, nourriture ... )

commet se deplaceent tes habitants?
quelles sont les regles de vies ?? comment sont tes habitants?
métier? ...

regarde un extrait de l'utopie de THOMAS MORE ça pourrait d'aider.

voila si tu as besoiin d'aide je peux te repondre aujourd'hui ! :)
Anonyme
Posté le 28 déc. 2010
merci, je vais aller voir!
Anonyme
Posté le 28 déc. 2010
merci beaucoup! Je la recommence de suite et si j'ai besoin d'infos en plus je t'écris.
Ton aide m'est très utile!
merci encore!
Anonyme
Posté le 28 déc. 2010
Voila mon travail, pourrais-tu le lire et me dire ce que tu en penses s'il te plait??
Je penses qu'il reste quelques petites choses à modifier, mais dans l'ensemble ça peut aller non?
merci d'avance =D :

Un matin, en me réveillant, je sentis que quelque chose était différent. Aucuns bruits d’enfants en pleurs, de vaisselles, ou encore de véhicules s’affolant dans les rues. Rien, rien de tout cela n’était présent, juste mon lit, ma chambre, et moi. Cela me parut étrange, alors, en me précipitant, j’ouvris la porte de ma chambre, et la, je fus surprise, aucuns sons ne pu sortir de ma bouche, mes yeux restaient grands ouverts, et mes mains s’agrippaient violemment à la porte.
En effet, en face de moi, des milliers de kilomètres de terres verdoyantes, dans lesquelles vivaient hommes, femmes, et enfants dans une paix époustouflante. De ma porte, je pouvais voir tout ces gens, souriants, heureux, ayant l’air satisfait, s’amuser ensemble, s’entre-aider, se donner la main, danser, jouer, ou même rigoler.
Etaient-ils tous amoureux les uns des autres ? Ce fut la seule explication que je pu trouver à cela, tant j’étais habituée à tout ces bruits, ces cris violant et ces bagarres fréquentes.
Je m’habillai donc pour aller voir ce qu’il ce passait, une fois sortie de chez moi, je m’avançai dans ce nouveau monde qui me paressait irréel.
En face de moi, seules des voitures électriques, vélos et tramway étaient utilisés ; des bâtiments écologiques étaient construits. La majorité, en bois, mais certains étaient fait d’acier, de briques de terre cuite, ou encore, de béton. Aussi, les habitants vivaient en harmonie avec le Terre qu’ils semblaient chérir, de par leur comportement vis-à-vis de celle-ci. Les animaux étaient eux aussi respectés. Ces derniers se baladaient la ou ils le voulaient, sans que quiconque ne s’y oppose ; des espaces, aménagés par les Hommes, avaient été installés pour qu’ils puissent s’y reposer, s’y nourrir,…
Aucuns quartiers n’avaient étés mis en place dans cette ville, aucunes inégalités notamment entre riches et pauvres, en effet, la monnaie n’était pas connu de cette civilisation, une autre méthode était employée ; chaque famille se voyait recevoir, mensuellement, une donation de l’Etat leur permettant de manger à leur faim durant tout le mois. Les moyens de transports étaient, eux aussi, répartit par ce même Etat, les habitants de cet endroit pouvaient donc se déplacer comme il le voulait, autant qu’il le voulait, et la oui il le désirait. Aucuns magasins n’existaient, ni même de supermarchés ; seul des centres de loisirs ayant pour but de divertir cette civilisation, existaient.
Chaque habitant se levait à la même heure, et vaquait à ses occupations, et un couvre-feu était mis en place, pour que ces derniers puissent avoir un cota de sommeil qui leur était nécessaire, imposé par l’Etat.
Des métiers simples et amusants étaient exercés, dans le but de les instruire, et encore une fois, chaque mois, ces derniers changeaient.
Le nombre d’enfants par famille était limité à 3, pour veiller à un renouvellement de la population.
Cette société idéale se faisait appelé Paloma et ses habitants, les Palomanes et Palomanesses.

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